Exposé Sur Les Monétaristes

pas remplies alors l’actif ne sera pas de la monnaie. L’exemple de la monnaie créée à Toulouse, elle doit être dépensée tout de suite, elle n’a pas la fonction réserve de valeur, donc ce n’est pas vraiment de la monnaie. Pour les néo-classiques/monétaristes (Friedman) : la monnaie sert principalement aux transactions, donc on a 2 types de transactions : immédiate / différée. Cela signifie que la monnaie doit être réserve de valeur, mais cette fonction est « purement technique », c’est une nécessité

classiques en introduisant des nouveaux concepts :  Le comportement rationnel des agents économiques.  Une approche micro-économique.  La notion d’utilité marginale. Actuellement, la pensée néo-classique est représentée :  Par le courant monétariste qui met en avant le rôle de la monnaie dans une économie.  Par les théoriciens de l’offre, qui font de la rationalité des agents et du marché les éléments essentiels de l’économie. CHAPITRE 1 : LA CROISSANCE : LA MESURE ET LES FACTEURS DE LA

général que les missions de l’État, celles qui correspondent à son intérêt, sont, dans le cadre d’une économie concurrentielle où l’État n’est pas directement producteur, celles qui ont été identifiées par l’économiste Richard Musgrave. Ce dernier a exposé son schéma sur le rôle de l’État dans plusieurs ouvrages, mais celui qui a assuré sa notoriété est son livre The Theory of Public Finance paru en 1959. Les fonctions économiques de l’État décrites par Musgrave sont au nombre de trois. La première

découvre l'influence que pouvait avoir la variation de son taux d'escompte. Malgré cette ancienneté, les jugements les plus divers ont été portés sur son efficacité, allant d'un pouvoir presque miraculeux pour certains économistes néo - libéraux (monétaristes), à l'affirmation pour d'autres (Keynésiens) de son inutilité presque totale pour remédier aux principaux maux économiques, tels que l'inflation et le chômage. Cette opposition provient de l'influence globale de la monnaie, sur laquelle insistent

9 La théorie de la valeur chez Ricardo. Il envisage la richesse non pas comme un stock de moyen de paiement mais comme un pouvoir d’achat des biens utile a la vie, et que la richesse se situe dans le travail. Il va nuancer la théorie exposé par SMITH qui pour lui la valeur d’une marchandise s’établie sur le marché. Ricardo reprend bien chez smith que c’est la valeur d’échange qui prime en repreneant le paradox de l’eau et du diament en montrant l’utilité de la marchandise et le rapport

véritable « saut quantique [...] si l'on veut que l'humanité évite des catastrophes majeures, ne serait-ce que pour le premier quart de ce siècle ». Dans le sixième chapitre l’auteur apporte une vision fondamentale et authentiquement différente lorsqu’il expose l’existence d’un rapport entre la discipline de la thermodynamique et l’économie. M. Aktouf ouvre d’astronomique possibilités dans le déjà très vaste champ d'application de la thermodynamique. L’auteur montre la nécessité de considérer l'étroite relation

successeur Laurent Fabius vont donc commencer de mettre en œuvre cette politique de monnaie forte et de déficit financier limité qui annonce la politique financière européenne que mettra en place le traité de Maastricht en 1992. C’est une politique « monétariste » qui est dans une certaine mesure la continuation des idées de Raymond Barre (ex premier ministre et ex ministre des finances de Valérie Giscard d’Estaing). A partir de la première cohabitation, en 1986, les coalitions gouvernementales de gauche

aussi contrastées : Pour les pays exportateurs de pétrole, les termes de l’échange s’améliorent lorsque les cours du pétrole augmentent fortement (chocs pétroliers et hausse tendancielle). les pays exportateurs de produits manufacturés sont moins exposés à la croissance appauvrissante : la demande de ce type de produits est plus dynamique que celle des produits primaires (surtout en cas de compétitivité-prix élevée). Débat : l’analyse de Prebish se situe dans un contexte caractérisé par l’ancienne

modernes dont le principe fondamentale est la gestion rationnelle des ressources de l’États sous le contrôle d’autres institutions. b) Sur le plan économique Karl MARX conceptualise la notion de modernité dans son ouvrage intitulé LE CAPITAL ou il y expose sa théorie de l’exploitation. Celle- ci suppose concrètement que le monde, les sociétés sont gouvernées par la logique de l’accumulation des marchandises. La valeur de ces marchandises provient du travail humain qui y est incorporé en compensation

Par conséquent ces SICAV monétaires connaissent un grand succès. Quel est le portefeuille de ces SICAV? : - les obligations proches de leurs échéances : il s'agit d'obligations qui n'ont plus qu'un an à courir avant échéance, celles ci sont peu exposé aux variations des taux d'intérêt. - les obligations à taux variables : à l'origine le taux d'une obligation est normalement fixe , ici l'innovation est qu'en cas de baisse des taux d'intérêts, le taux de l'obligation peut varier. Pour prévenir contre