Exposé Sur Les Poilus

guerre… », édition Hachette * C’était la guerre des tranchées, Tardi Ces ouvrages m’ont permis d’approfondir mes connaissances sur la Première Guerre mondiale. Et donc de faire en sorte que mon développement ne reste pas simplement sur les faits exposer dans les manuels scolaires, ou dans les manuels du CRPE. Revus : * L’Histoire n°325 de Novembre 2007, Déserteurs, mutinés et embusqués 1914-1918 * L’Histoire n°336 de Novembre 2008, 11 novembre 1918 C’est deux revus m’ont été bénéfique

La guerre de mouvement laisse place à la guerre de position à la fin 1914. Les offensives sont très meurtrières (Verdun en 1916). En 1918 la guerre de position reprend et l’Allemagne signe l’armistice le 11 novembre 1918. La vie au front : Les poilus vivent dans les tranchées. Ils risquent de mourir à tout moment. Ils vivent dans la peur, la boue, les rats, le froid, sont fatigués, le ravitaillement est mauvais et ils n’ont que de très rares périssions. Des mutineries éclatent. Une guerre totale :

ce début de XXIe siècle, la disparition des derniers acteurs, trace d’une expérience personnelle et d’un vécu intime du conflit, est alors perçu comme une perte du sens de l’événement (ll est vrai que notre époque se plait - et se complait ? - à exposer sur la place publique l’intimité des individus). Les émotions, la personnalité et ses ressorts psychologiques de l’individu dans le groupe apparaissent alors porteur d’un sens « profonds » qui permettrait de renouer avec la mémoire du conflit. Aussi

publication. Ainsi, dans notre exposé nous allons nous intéresser à la censure qui a touché la France pendant la première guerre mondiale. Nous nous sommes posé plusieurs questions par apport à ce sujet. Nous nous sommes tout d'abord demandé comment s'était organisée cette censure tout au long de la guerre. Puis, nous nous sommes interrogées sur la nécessité de cette censure. Finalement nous nous avons voulu savoir comment le peuple avait vécu cette dernière. Dans notre exposé nous tenterons de répondre

ressources locales : ● Palais de justice de Rouen, Tour Jeanne d’Arc ● L’architecture de la reconstruction : gros plan sur celle de Rouen et certains bâtiments emblématiques. ● Statuaire publique et commémorative Récits d’expérience de guerre : Paroles de poilus ; Si c’est un homme ; L’écriture ou la vie ; Inconnu à cette adresse ; Groupement de poèmes surréalistes… ● Un film : La vie et rien d’autre, Capitaine Conan ● Une BD : C’était la guerre des tranchées de Tardi pour 14/18 ou Le Sursis de Gibrat pour

la fureur humaine déchaînée. Description et Analyse Cette œuvre a une forme bien particulière nommée triptyque. Ce procédé ne date pas du XV ème siècle. Les triptyques étaient souvent ralliés à un domaine religieux, ils étaient notamment exposés dans les églises. La particularité des triptyques étaient qu’ils pouvaient se repliés sur eux même, ne effet les deux panneaux latéraux se repliaient et la prédelle (partie inférieure du tableau) sur le panneau central. Voici un triptyque qui inspira

les traits pourrait s'apparenter à ceux des singes: « il est écrasé comme celui des gorilles. » , page 54; - Ils possèdent une apparence plutôt animale: « les oreilles sont plantées trop haut. » à la page 23; « les mâles, par exemple, sont épais et poilus comme des ours! » ou encore: « [leur] front est bas et fuyant, la mâchoire puissante, armée de canines impressionnantes... », page 54; - Ils possèdent quatre mains: « c'est quand même un singe, il est quadrumane. » à la page 23; - Ils usent d'un langage

vivent, ou plutôt survivent, dans la précarité des tranchées. Maurice Genevoix décrit les lieux comme « une terre bouleversée, calcinée, puante, semée de débris de fer, de piquets, de vêtements hachés et sanglants, de paquets de chair humaine ». Il y expose les dures conditions de vie, « j'ai été pendant 4 jours souillé de terre, de sang, de cervelle ». Les soldats vivent dans le froid, la boue, la puanteur, l'humidité ambiante, la promiscuité, mais surtout dans la peur de l'ennemi, la peur de la mort

locales : ● Palais de justice de Rouen, Tour Jeanne d’Arc ● L’architecture de la reconstruction : gros plan sur celle de Rouen et certains bâtiments emblématiques. ● Statuaire publique et commémorative Récits d’expérience de guerre : Paroles de poilus ; Si c’est un homme ; L’écriture ou la vie ; Inconnu à cette adresse ; Groupement de poèmes surréalistes… ● Un film : La vie et rien d’autre, Capitaine Conan ● Une BD : C’était la guerre des tranchées de Tardi pour 14/18 ou Le Sursis de Gibrat

devient internationale grâce à ses gravures sur bois et à ses illustrations en noir et blanc qui font sensation. À partir de 1899, il se consacre essentiellement à la peinture. Il expose régulièrement à Paris, notamment en janvier 1910, lors d'une exposition dont le catalogue est préfacé par Octave Mirbeau. Il expose aussi en Suisse et dans d'autres pays. Vallotton était un travailleur dévoué, sans cesse à la recherche de nouvelles formes d'expression. Touché par l'horreur de la Première Guerre