Exposé Sur Marylin Monroe

avec la notion de production en série. Ce n’est pas tellement surprenant pour cet ancien publiciste. Beaucoup de ses œuvres ont par exemple été réalisée en sérigraphie, notamment celles de portraits de célébrité et notamment une certaine Maryline Monroe (En 1963, nous y reviendrons avec Bernard Pras). L’œuvre présentée ici est une série de peinture (acrylique sur toile) de toute la gamme des célèbres Soupes Campbell (qui sont surtout célèbres grâce à cette œuvre). Elle est elle-aussi

s’ouvre au Grand Palais. La cause : la salle qui réunit les toiles de Derain, Matisse et Vlaminck, est jugée inacceptable par l’ensemble des critiques. La salle est bientôt rebaptisée « la cage aux fauves ». Par extension, les artistes y ayant exposé sont assimilés à cette expression et leur peinture est qualifiée de « fauviste ». Un mouvement sans manifeste Premier véritable scandale artistique du XXe siècle, le fauvisme ne s’est pas constitué volontairement autour d’un manifeste (contrairement

campagnes publicitaires de N°5 ; qui ne réunit pas moins de quatre-vingts ingrédients au cœur de sa bouteille facettée, dont le conditionnement, aujourd'hui, s'effectue encore à la main ! En 1954, lors d'une interview, un journaliste demanda à Marilyn Monroe ce qu'elle portait pour dormir, l'actrice répondit naïvement : « quelques gouttes de N° 5 ». Sans le vouloir, la déclaration de Marilyn fit un superbe slogan publicitaire. Quelle chance pour Chanel, car depuis, le N°5 demeure le produit vedette de

celle-ci n’est pas le résultat du choix sans contrainte d’une intention première subjective, mais celui d’une longue et perpétuelle intériorisation des rôles masculins et féminins auxquels dès l’enfance les jeunes garçons et les jeunes filles sont exposés. Donc, chacun s’estiment parfaitement libre alors qu’on obéit tous à un ordre social souvent prédéfinis, ce phénomène de sens commun est invoqué par le sociologue DURKHEIM. Concernant les manières légitimes de se conduire en Homme ou en Femme à

l’élaboration d’une iconographie singulière des figures, une iconographie accompagnée de ce que le français appelle très significativement une « légende ». Qu’il s’agisse de l’Abbé Pierre (une des mythologies modernes repérées par Barthes) ou de Marylin Monroe (une icône du pop art), la figure mythique se construit surtout dans des journaux comme « Life » à partir des années 50 à coup de « micro-biographies », des récits de vie très courts toujours illustrés de photographies, une pratique qui se généralise

Exposé : Le pop art, Tom Wesselmann Introduction : Globalement issu du travail de Robert Rauschenberg et surtout de Jasper Johns, Wesselmann se caractérise par un intérêt pour les objets ordinaires, l'ironie, ainsi que par la confiance en la puissance des images. Le foyer du Pop Art américain est localisé à New York, où exposent tout d’abord des artistes comme Claes Oldenburg, Roy Lichtenstein, Andy Warhol, puis James Rosenquist et Tom Wesselman. Inventé par Lawrence Alloway à la fin des années

valorisation sociale du bronzage Jusqu’au XX siècle, il fallait avoir la peau blanche dans la haute société à l’opposé du bronzage des paysans signe d’un travail à l’extérieur dévalorisant. Et quand les médecins grecs et romains recommandaient que l’on expose exceptionnellement son corps au soleil, c’était pour soigner l’arthrite ou l’obésité. Dès les années 1920, le bronzage devient un signe de vacances, un effet de signe, un critère de beauté (apparition des crèmes solaires et des Ray-Ban), voire d’émancipation

regret. C'est le paradis à côté. Alors ne laisses pas passer cette chance " « Garde tes rêves au plus profond de toi, et un jour ils se réaliseront.»" Pleurer, c'est risquer de paraître fragile. Aller vers quelqu'un c'est risquer des'engager. Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond. Présenter ses idées ou ses rêves aux autres, c'est risquer de les perdre. Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour. Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer de désespérer

soldats pendant le conflitque par la sophistication des années 1930. Pendant l’après-guerre, les stars de cinéma ont devenu nettement sexualisées. L’imagerie érotique homosexuelle qui circulait sous le manteau était construit sur les mêmes corps exposés et supposait le même regard indiscret. Pendant les années 1990, le glamour s’est démocratisé : les studios photographiques des centres commerciaux américains proposaient à leurs clients coiffure, maquillage et tenus adéquates pour poser devant

associé à son ami Jacques Bonjean, ils ouvrent une galerie d’art consacrée aux peintures néoromantiques, ou il exposent Picasso, Matisse, Dufy, Bérard, Dali et les néo-humanistes. Puis la crise venant, il s’associe à Pierre Colle, continuant à exposer les œuvres des Surréalistes. “Dans ce climat bigarré, non seulement je me formais le goût, mais je nouais les amitiés graves qui ont composé et composeront jusqu’à mon dernier jour le fond sérieux de ma vie”, écrit Christian Dior. Dans les