Exposé Utopie

de nombreuses utopies avaient été pensés dans le passé, et cela déjà au IVème siècle av. J-C dans La République de Platon, mais que la plupart de ces utopies avait mené à un échec une fois mises en œuvre. A travers ce TPE, nous avons cherché à comprendre pourquoi l’utopie menait généralement à un échec lorsqu’elle était mise en œuvre. Le terme utopie, du grec "ou" = non, et "topos" = lieu, signifie étymologiquement un lieu inexistant, un lieu qui ne serait "nulle part". Une utopie est une conception

l’épilogue de Gargantua il décrit un lieu merveilleux, idéal et utopiste. Nous allons étudier ce texte en deux grandes parties dans un premier temps nous verrons le tableau d’une utopie apparemment harmonieuse et parfaite et dans un deuxième temps le tableau complexe d’un monde inversé. PLAN : I- Le tableau d’une Utopie apparemment harmonieuse et parfaite 1) Un mode de vie guidé par la « libre-volonté » 2) Une société en quête du bonheur : un mode de vie hédoniste II- Le tableau complexe d’un monde

Le siècle des Lumières a usé de l’utopie pour exposer ses idées novatrices dans les domaines politique, moral et religieux, c’est le cas ici. En cela ils dépaysent le lecteur occidental, européen du XVIIIème siècle comme le lecteur d'aujourd'hui. Pourtant ce n’est pas là leur seule vocation. Ainsi Fénelon, dans Les Aventures de Télémaque, place le pays extraordinaire de la Bétique dans l’Antiquité héroïque. Montesquieu, dans ses Lettres persanes, nous rapporte la fable d’un peuple oriental imaginaire

création de ce qui est du domaine de l'imaginaire ? Ou par le moyen d'une composition d'un travail sur les mots, un art du langage en jouant sur les sonorités et la richesse d'une langue ? Ou encore, grâce a un texte argumentatif dans lequel l'auteur expose ses réfléxions ? Il semble des lors intéressant de se demander quelle forme de texte littéraire reflète avec le plus de pertinance le message de la philosophie du Bonheur du Carpe diem. Afin de répondre a cette problématique l'étude se portera sur

culture et établit la démocratie et le communisme. Les champs sont répartis également entre tous les fermiers. PAS DE PROPRIÉTAIRES en Utopie, tout est partagé. Roulement entre citadins et paysans (tout le monde doit nourrir tout le monde) tous les deux ans (ceux qui sont déjà restés un an apprennent aux nouveaux arrivés le métier). Il n’y a pas de commerce en Utopie. Le dirigeant de la ville décide de combien il faut produire pour nourrir tout le monde, le surplus est donné. Quand des outils manquent

Selon le livre de Thomas More, Utopia. Il voit son utopie comme un monde imaginaire où les échanges commerciaux sont inexistants et où la collectivité reçoit ce dont elle a besoin pour vivre. En imaginant dans Utopia une société égalitaire, juste et heureuse, dans une ile absente des cartes marines, Thomas More dénonce les inégalités, la proprité privée qui règnent à son époque en Angleterre. 1° Les connaissances littéraires a) Utopie Une utopie est une vision qui renvoie à un éventuel pays de

Notre corpus comporte 3 textes. Le premier (texte 1) est de Thomas More, célèbre philosophe du 16ème siècle. Cet extrait a été écrit en 1516 et se nomme Utopie. Dans ce passage, Thomas More décrit un pays et une société parfaite pour lui. Le deuxième texte (texte 2) est de François Rabelais. Son texte se nomme Gargantua et a été publié en 1534. Ici, Rabelais imagine une abbaye originale et nous la décrit. Le dernier texte (texte 3) est extrait du chapitre 17 de Candide ou l’optimisme de Voltaire

qui feraient d'eux des sortes de robots exposés aux yeux de tous. Ces individus-robots feraient partie d'une sorte de cercle vicieux duquel il leur serait impossible de sortir car leur vie serait surveillée, organisée et planifiée au détail près. Pour répondre à cette question, les avis sont donc très partagés. Ici on peut parler de contre-utopies pour illustrer le rapprochement des deux points de vues opposés suggérés précédemment. Ces contre-utopies en récupère fidélement le schéma général

ridicule. Voltaire crée une complicité avec son lecteur : Eldorado n’est qu’une utopie. Il insiste sur les perfections exagérées. A force d’être parfait, ça devient excessif, il en fait trop. Un jeu entre le conteur et le lecteur s’installe. Ce monde n’est pas parfait : il y a des limites à la liberté, à la tolérance. En effet, personne ne peut en sortir : il est isolé du reste du monde. Preuve que les utopies ont des limites. De plus, Cunégonde ne s’y trouve pas. C’est ce qui cause le départ

L’utopie : Le mot utopie vient du grec "ou-topos" littéralement : le lieu qui n'existe pas. Il a été inventé en 1516 par Thomas Moore quand il a publié son livre Utopia. Ce genre apparenté à l'apologue a été beaucoup repris par différents auteurs avec différents buts. Ainsi, certains ont utilisé l'utopie pour faire réfléchir le lecteur et d'autres pour le faire rêver. Nous pouvons donc nous demander si la fonction principale de l'utopie est de nous faire rêver ou de nous faire réfléchir.  Lorsque