Exposé épargne Des Ménages

INTRODUCTION La redistribution des revenus est une politique d'égalisation des ressources opérée au moyen des impôts. Elle vise à réduire les écarts de revenu entre les ménages d'une même société. La redistribution concerne davantage les États-providence que les pays les plus libéraux. Pour donner une définition plus compréhensible nous disons que la redistribution est définie comme l‘ensemble des opérations par l’intermédiaire desquelles une partie des revenus est prélevée sur certains agents

et des Affaires Européennes, de son coté a présenté les membres de la délégation française, notamment M. Léonardo Pupetto, M. Olivier Simon et M. Jean Pierre Broclawski. La session du matin : l’Après crise Cette session a été marquée par deux exposés, celui de M. Philipe Gudin de Valerin, intitulée : « La Sortie de la crise : Analyse de la situation macroéconomique au printemps 2010 au niveau international et en France » et celui de M. Mohamed Chafiki, ayant pour thème : « l’économie marocaine

de la richesse. Qu’apporte le PIB (ou le PIB par habitant) sur la richesse et le bien être d’une société et qu’elles en sont ses limites ? Afin de répondre à cette question, nous allons mettre en évidence l’utilité du PIB avant d’en exposer ses limites. Le PIB est un agrégat qui mesure l’activité économique d’un pays. Il totalise l’ensemble des valeurs ajoutées brutes réalisées par les unités économiques résidentes, plus les impôts sur les produits moins les subventions sur

économiques .Ces institutions sont souvent qualifiés d’institutions de micro finance qui correspondent à une offre de services financiers de base (épargnes, crédit, assurance, transfert de fond etc.) destinées à des individus ou à des groupes d’individus pauvres qui n’ont pas accès aux services financiers formels dans le but de satisfaire les besoins de leur ménage ou de leur micro entreprise et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production , dépenses imprévues

bancaires. La masse monétaire - est la quantité de monnaie en circulation dans un pays donné. Elle permet de connaître la capacité de dépense des agents économiques. les actif monétaire liquide (pièce, billet, dépôt de vu). les actifs non monétaire épargne Pour mesurer la masse monétaire, on utilise des agrégats monétaires : M1 masse monétaire (comprend la monnaie fiduciaire et scripturale, c'est l'agrégat étroit). M2 agrégat intermédiaire (M1 + plus des placements a vu rémunérés qui peuvent être

Notes de macroéconomie, dernière mise à jour octobre 2009 Enseignant A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès France Cours de macroéconomie suite Partie 5 : La consommation et l’investissement La troisième partie a exposé les théories explicatives du comportement de l'économie dans le long-terme. Ces théories sont basées sur la dichotomie classique selon laquelle les variables nominales telles que l'offre de monnaie et le niveau générale des prix n'affectent pas les variables

les biens économiques de plusieurs manières: - selon la nature du besoin: *biens de consommation: ce sont ceux qui vont satisfaire les besoins des individus (consommation finale). Ils vont aller sur une notion de consommation. C’est le fait des ménages. * biens de production (= biens d’équipement):ce sont ceux qui servent à produire d’autres biens. Ils vont aller sur une notion d’investissement. C’est le fait, pour l’essentiel, des entreprises. Le bien mixte a un usage dual, il peut être à la fois

Principales orientations et recommandations . . . . . . . .35 Synthèse du Rapport public thématique de la Cour des comptes 4 33 La situation du financement de l’économie française peut paraître paradoxale : alors que le taux d’épargne des ménages se situe depuis plusieurs années à un niveau élevé, de nombreux acteurs économiques (entreprises et collectivités territoriales) mettent en avant leur difficulté à se financer. Au-delà de ce paradoxe, les conditions de financement ne sont pas sans

(1974 et 1981) ont duré environ seize mois). James Mirrlees, « prix Nobel » d’économie 1996, envisage une récession de trois ou quatre ans. En effet, la banque centrale prend la décision de baissé ses taux, rendant les crédits moins cher pour les ménages très modestes. Cette politique entraîne alors un affaiblissement de la monnaie et une augmentation de l'inflation. Les crédits à risque se concentrent de plus en plus dans l'immobilier. Les prix de l'immobilier augmentent, ce qui semble profiter aux

protection sociale 15 3.1 L’ optique normative & juridique . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 3.2 L’ approche microéconomique de la protection sociale . . . . . . . 16 3.2.1 Incertitude, risque & prévoyance . . . . . . . . . . . . . . 17 3.2.2 L’ épargne et l’ imperfection du marché du capital . . . . . 20 3.2.3 L’ assurance et l’ asymétrie d’ informations . . . . . . . . . 26 3.3 L’ approche macroéconomique de la protection sociale . . . . . . . 33 3.4 Le débat sur la justice sociale . . . . . .