Expression Ecrite Paysage

INTRODUCTION : Jean Nicolas Arthur Rimbaud est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville et mort le 10 novembre 1891 à Marseille. Il écrit ses premiers poèmes à quinze ans et demi. Ses derniers à 20 ans. Il renonce donc à l’écriture à jeune âge malgré la reconnaissance de ses pairs. Pourtant, bien que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature française. En 1998, l’Editorial Pocket, publie un livre nommée Œuvres

principale caractéristique était de faire une reproduction la plus fidèle possible de la réalité. De nombreux auteurs tels que Balzac ou encore Stendhal, ont marqué ce courant artistique. De même Gustave Flaubert, auteur réaliste du XIXème siècle, écrit l’Education Sentimentale en 1869. C’est dans l’incipit de cette œuvre, que l’auteur va nous faire découvrir le personnage principal, M. Frédéric Moreau. Il nous met face à la précipitation et l’agitation qui sont présentes lorsqu’il quitte la ville

de cette partie représentent à droite la Tentation de Saint Antoine, évoquant l’agression du Saint par une horde de figures démoniaques, un paysage lumineux et agressif, qui contraste avec celui de gauche, la Visite de Saint Antoine à Saint Paul l’ermite, illustrant une discussion entre les deux Saints quant à celui qui est le meilleur ermite, avec un paysage plutôt paisible. La partie étudiée du retable est ici celle de La Crucifixion, peinte sur le devant du retable. Le tableau, de format grossièrement

outil de comparaison. • La personnification : c’est une métaphore qui assimile un objet ou un animal à une personne, en lui attribuant les caractéristiques ou les conduites d’un être humain. • L’anaphore : reprend le même mot ou la même expression en tête de phrase, de vers, ou de groupes de mots. • La redondance : c’est la reprise d’une même information sous des formes différentes ; c’est le cas lorsqu’une même idées est reformulée pour être mieux comprise, ou est exprimée par des synonymes

abordé le texte descriptif en seconde B.E.P, il me semblait important de consacrer du temps à cette notion du programme de français, d’autant plus que parallèlement ceux de géographie et d’histoire invitent les élèves à observer et à décrire des paysages, des caricatures, des affiches politiques … J’ai retenu le thème de la peinture comme sujet d’étude car j’avais envie de donner une dimension esthétique à la première séquence de français et de travailler différemment avec les élèves (travail

Corpus : extraits « Mémoires d'Outre-Tombe », Chateaubriand, « Sylvie », Gérard de Narval, « La morte amoureuse », Théophile Gautier. Les trois textes du corpus sont écrits en prose et appartiennent au courant romantique du 19e siècle. Ils ont été écrits à peu près au même moment, entre 1836 et 1854. Le texte A est un extrait de « Mémoires d'Outre-Tombe » (1848/1850), l'autobiographie de François René de Chateaubriand (1848/1850). Le registre est lyrique, avec une tonalité épique. Le lyrisme

siennoise qui consiste un des premiers paysage panoramiques connus dans l’art occidental. On y découvre une vie quotidienne du XIVe siècle avec des habitants souriants, s’amusant à faire une multitude d’activités… Dans la campagne à droite, Securitas veille. Les personnes circulent paisiblement et en nombre sur les chemins. Des animaux les accompagnent. Les champs sont fertiles et cultivés, plusieurs autres villages ou villes fortifiées sont visibles dans ce paysage idyllique Lorenzetti privilégie

que Hugo fit paraître à Paris et à Bruxelles et dont la composition commença dès 1834 et s’étala sur près de vingt ans, sont, selon la préface, les «mémoires d’une âme». Ils assument la remémoration, traditionnelle dans le lyrisme («une destinée est écrite là, jour après jour»), de l’enfance, de l’amour pour Juliette Drouet, et, surtout, de la mort de Léopoldine. Cet événement sépare les deux volumes qui forment un diptyque : “Autrefois”, “Aujourd’hui”, composés de trois livres chacun. Ces «mémoires

Une poésie de la simplicité Les Regrets est un recueil de poèmes de Joachim du Bellay (1522-1560), écrit lors de son voyage à Rome de 1553 à 1557 et publié à son retour en 1558. On observe dans ce recueil la désillusion du poète par rapport à la « capitale de l’antiquité », idéalisée par les humanistes, et dont il s’aperçoit qu’elle n’est plus que ruine et débauche. Cependant ce recueil est une véritable révolution poétique : d’abord par sa forme toute nouvelle : un recueil de sonnets portant

fit la peinture : Les Bergers d’Arcadie. Une peinture à l’huile, qui désormais se trouve au musée du Louvres à Paris. Il mesure quatre-vingt-cinq centimètre de hauteur sur cent vingt et un de largeur. Dans ce tableau, Nicolas Poussin représente un paysage sauvage, l’Arcadie, une sorte de paradis terrestre dans la mythologie grecque antique. Au centre du tableau se trouve un tombeau et quatre personnages qui en déchiffrent l’épitaphe : « Et in Arcadia ego » que l’on peut interpréter par « Moi, la Mort