Exprimer Le Souvenir

Voici une analyse du poème « Souvenir de la nuit du quatre » de Victor Hugo. Souvenir de la nuit du 4, introduction : « Souvenir de la nuit du 4 » est extrait du recueil Les Châtiments, publié en 1853. Ecrit en 1852 lors de l’exil de Victor Hugo à Jersey, soit un an après le Coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte, cet apologue aux registres pathétique, polémique et satirique revient sur la politique douteuse de l’empereur. Questions possibles sur « Souvenir de la nuit du 4 » de Victor

L’année précédente, Lamartine avait sauvé de la noyade de ce lac une femme plus âgée dont il tomba amoureux. Il lui écrivit des élégies amoureuses sous le nom d’Elvire. Le poète qui revient seul l’année suivante demande au lac de lui restituer les souvenirs des merveilleux moments passés ensemble. I- (V.1 à 8) Une plainte face au temps trop court   : V. 1-2 → Le “ainsi” en début de vers et l’absence de césure permettent de créer le mouvement du premier vers : le lecteur est lui-même ” poussé ”

(Elvire) qu’il a aimée et qui est malheureusement décédée. L’auteur évoque son obsession du temps à travers les lignes de son poème dédié à sa douce. Il se remémore les moments de bonheur vécus autour du lac aux cotés de Julie à travers la nature. Ses souvenirs d’un amour passé le hantent sans cesse. L’obsession du temps Tout au long de son poème, Lamartine mentionne constamment le temps. On observe son obsession envers le temps qui ne cesse de s’écouler à travers les lignes de son œuvre. On comprend

suivants : - Spleen : J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans - Spleen : Je suis comme le roi d'un pays pluvieux - Spleen : Pluviôse, irrité contre la ville entière - Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle - Spleen moderne L’anthologie vous fera découvrir que ce type de poésie exprime des plaintes, mais pas n’importa lesquelles. Tout d’abord, dans ce premier spleen (Jai plus de souvenirs que si j’avais mille ans) la plainte est exprimé à partir du ver 15 lorsqu’il parle

une droite qui passe par le C / ?/ O+ les vers du deuxième dessins sont des octosyllabes à rimes plates. Lecture : Problématique: Comment l'auteur exprime t-il sa tristesse à propos de la guerre ?Axes : I) Des souvenirs de guerre / Un monument funéraire ( qui évoque la mort de personnes)II) Un poème élégiaque I) Des souvenirs de Guerre ?1) Des souvenirs des amis du poèteIl écrit les noms de ses amis défunts : ils sont écrits en haut du calligramme et en majuscules d'imprimerie → la mise en page ressemble

voyage, les souvenirs Structure qui se clôt sur elle-même • Musicalité, effet rythmique : répétition de verbes, rythme ternaire • émotion : échos sonores: Allitération en :       - « m » > douceur        - « f » > mélanges       - « p, b » > bercements • 1ère et 2ème personne > présence d'un locuteur et d'un destinataire (poème lyrique) • Impératif -> adresse direct du poète au destinataire  • présent d'énonciation : immédiateté du discours I) Un poème qui exprime la sensualité

en prenant pour exemple la poésie lyrique pour laquelle le poète explore ce qu'il ressent, puis j'évoquerai la nécessité d'être conscient de son imaginaire, et je finirai en démontrant que l'écriture poétique passe également par l'évocation des souvenirs du poète. Enfin, je nuancerai mes propos en prouvant que la création poétique peut aussi requérir d'autres connaissances: la connaissance du monde et la connaissance et de la poésie. L'homme qui veut être poète se doit d'étudier son soi intérieur

pourrait mourir sur le champ de bataille, on le voit par le vers "Si je mourais sur le front de l’armée". Ici cette hypothese est envisageable mais improbable alors que dans la derniere strophe la ou il cite la meme hypothese "Lou, si je meurs la-bas, souvenir qu'on oublie", celle-ci est devenue probable grâce au passage de l’imparfait au présent de l’indicatif et l’impératif, l’hypothèse n’est donc plus irréelle mais réelle. Apollinaire fait la repetition du verbe "mourrir" qu'il ecrit trois fois dans

inachevé et sans retouche, ni correction, en 1994. Ce roman décrit la vie d’Albert Camus au travers les yeux de personnages fictifs. Nous tenterons de savoir comment Camus exprime ce souvenir d’enfance, et ce qu’il en fait ressortir au travers cet extrait de Le premier homme . Dans une première partie, nous analyserons le souvenir d’enfance, puis dans une seconde partie nous constaterons la présence de l’inconscience et de l’inutile.

« mouchoir odorant ». La chevelure semble dégager un parfum qu’il apprécie beaucoup.L’adverbe « longtemps » répété deux fois exprime le désir du poète de prolonger ce moment dans le temps. La senteur de la chevelure l’enivre, lui procure du plaisir et semble vitale pour lui. La comparaison « y plonger tout mon visage, comme un homme altéré dans l’eau d’une source » exprime la nécessité de Baudelaire de toucher, de voir et de sentir la chevelure pour vivre. Cette dernière est comparée à « l’eau d’une