Extase

aussi dans l’évolution du comportement de Philaminte, d’abord autoritaire, cassante au vers 23 par exemple («  Si nous parlons toujours, il ne pourra rien dire. ») puis magnétisée par Trissotin ; elle répète avec extase les termes et finit la scène de façon pantelante, dans une extase syntaxique : «  Couler je ne sais quoi qui fait que l’on se pâme » (v.50). 3) Un plaidoyer à contrario de l’esthétique classique Tout cet extrait est presque la manière pour Molière d’exprimer la façon dont

Dieux ! » (v. 1278) et « Ô Dieu » (v. 1285) marquent le triomphe de l’émotion. L’énumération renforcée par la répétition de « et » imprime un rythme rapide à la phrase, les mots se bousculent somme si le bonheur était trop intense. (v. 1281) « Joie, extase et mystère, / Et l’ivresse, et l’orgueil, et […] » La longue énumération déborde sur les vers suivants et traduit le flot de joie qui l’envahit (mot sublime). L’ivresse (v. 1282) ressentie traduit par le rythme haché de l’alexandrin qui est proche

encourager la tendance à fuir et à se fuir. Ce n’est pas neutre. L’éloge de la fuite dans l’imaginaire, c’est la justification de la recherche d’une extase en marge de la réalité et contre réalité. Implicitement, c’est donner des arguments au drogué qui, n’osant voir en face une existence qu’il sait assez malheureuse et minable, se donne des petites extases, histoire de se donner de la gaieté là où règne beaucoup de souffrance. L’imaginaire, le rêve ou le surréel ne nous permettent pas de distinguer

état, et ne l'ayant goûté qu'imparfaitement durant peu d'instants n'en conservent qu'une idée obscure et confuse qui ne leur en fait pas sentir le charme. Il ne serait pas même bon, dans la présente constitution des choses, qu'avides de ces douces extases ils s'y dégoûtassent de la vie active dont leurs besoins toujours renaissants leur prescrivent le devoir. Mais un infortuné qu'on a retranché de la société humaine et qui ne peut plus rien faire ici-bas d'utile et de bon pour autrui ni pour soi, peut

se livre alors à un monologue qui révèle sa goujaterie et sa bassesse . Le meurtre est enfin exécuté très rapidement. Une fois le tyrannicide accompli le héros est pris d'une forme d' extase . [plan de lecture linéaire]I- Lorenzo prépare le meurtreTout d’abord, la scène s’ouvre sur les derniers préparatifs du meurtre. - La didascalie

efficace. Notre rôle est de maintenir ces visions magnifiques de la Nouvelle Terre afin que chaque Âme qui s’ouvre puisse entrevoir les berges de ce Nouveau Monde et ainsi se nourrir d’espoir et de douceur ! Plein d’Amour à Vous et à Tous !» 1 I« Extase musicale » I Un cadeau de guérison à l’Humanité Par Joao et Patricia-Diane Cota-Robles, Le 21 juin 2011 (Traduit par Dominique-Claire Germain) « Âmes précieuses, j’aimerai partager avec vous cette information concernant cette musique sacrée

regarde les sœurs comme lui, le père, le fait. Hugo multiplie ainsi les regards sur le « tableau » que forment les jeunes filles : il les regarde lui-même, il appelle le lecteur à les regarder, et il imagine que même les choses inanimées regardent, avec extase, les jeunes filles. - V.8, « immobile et vivant » : oxymore, le bouquet semble à la fois bouger et être immobile. Il est peut-être, lui aussi, entre la vie et la mort. - V.9, « au bord du vase » : l’idée du seuil, de la frontière, revient encore.-

Théâtre ! Aimez-vous le théâtre ? Je voudrais vous demander : est-ce que vous aimez le théâtre comme moi, je l’aime ? Plutôt avec tous les forces de votre âme, avec l’enthousiasme, avec tous extase, de qui apte à juste la jeunesse fougueux avide et passionné jusqu’à l’impression de Beauté. C’est mieux de dire – est-ce que vous pouvez n’aimer pas le théâtre plus que quelque chose dans le monde ? Est-ce que le théâtre est l’excitateur constant de vos sentiments apte à n’importe quelle temps, n’importe

Article FANATISME     Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste; celui qui soutient sa folie par le meurtre est un fanatique. Jean Diaz, retiré à Nuremberg, qui était fermement convaincu que le pape est l'Antéchrist de l'Apocalypse, et qu'il a le signe de la bête, n'était qu'un enthousiaste; son

quelles paupières ! quels sourcils noirs ! quelles flammes brillaient dans mes deux prunelles, et effaçaient la scintillation des étoiles, comme me disaient les poètes du quartier. Les femmes qui m'habillaient et qui me déshabillaient tombaient en extase en me regardant par-devant et par-derrière, et tous les hommes auraient voulu être à leur place. « Je fus fiancée à un prince souverain de Massa-Carrara. Quel prince ! aussi beau que moi, pétri de douceur et d'agréments, brillant d'esprit et brûlant