Externalité

aux attentes sociétales de son environnement institutionnel. L’auteur Sain Saulieu dans ces théories institutionnelles de l’entreprise souligne les nouvelles responsabilités sociétales de l’entreprise. L’entreprise en étant citoyenne limite les externalités négatives c'est-à-dire l’impact négatif sur la société. Pour réussir une entreprise a besoin d’un environnement sain, durable… L’entreprise ne peut évoluer dans un environnement conflictuel où les relations de confiance seraient absente. Cela

à ses dérèglements : _ Réchauffements climatiques : élévation de la température. _ Coûts sociaux. _ Coûts de pollution. On peut regrouper dans la rubrique des externalités négatives. Le marché a échoué dans l’allocation optimale des facteurs de production : ressources. 3) Les raisons : _ Le prix n’intègre pas les externalités (impact d’une action d’un acteur éco sur autrui, il existe deux catégories d’externalités : positive, négative) ou effet de la croissance. _ Certains biens et services

l’impact de l’homme sur son environnement. La prise en compte de l’environnement devient donc nécessaire. En effet, à cause des activités humaines, l’environnement est confronté aux externalités générant des coûts. Dites positives ou négatives selon qu’elles génèrent des coûts ou des bénéfices. Pour corriger ces externalités, il faut les internaliser en faisant supporter ces coûts, non pas aux contribuables en général, mais à ceux qui en sont à l’origine : c’est le principe du pollueur payeur. Deux outils

a des degrés d’intervention dans l’économie ; les pouvoirs publics peuvent intervenir dans differents domaines pour differents motifs : L’Etat peut, par exemple intervenir pour prévenir certains accidents, prévenir de la pollution etc. => Les Externalité Négatives. Mais il est également le seul à pouvoir entretenir les infrastructures, activités non rentables dont ne s’occupe pas les entreprises privées. Mais l’Etat peut également contribuer à la création d’emplois dans la fonction publique/les

Les externalités : On parle d’externalité (ou d’effet externe) à chaque fois que les décisions d’un agent économique ont des effets sur les autres agents. Il existe des effets externes positifs : les dépenses d’éducation et de formation, les dépenses de santé, la recherche et l’innovation par le CNRS et autres labo .... Des effets externes négatifs : la pollution est l’exemple le plus étudié par les économistes. Cf document 9 du livre page 28. Pourquoi s’intéresser aux externalités ? Parce

contrepartie monétaire. Il existe les externalités positives, c’est à dire que l’effet de l’activité économique profite aux personnes alentours et les externalités négatives qui au contraire sont néfastes. Une activité produisant des externalités positive n’est pas récompensée et les externalités négatives ne sont pas pénalisées. La pollution est l’exemple d’externalité négative les plus utilisé. Pour en revenir au PIB, il ne prend pas en compte ces externalités, un pays peut s’enrichir fortement tout

démographique, tout ceci assure un développement économique dans un pays. Pour autant, si la croissance dans le développement économique d’un pays offre des externalités positives (exemple : enrichissement général), elle produit des effets néfastes dans certaines situations ce qui inquiète aujourd’hui les décideurs. Afin de réduire ces externalités négatives les gouvernements ont développé une politique de développement durable à la fois local, national et international qui concilie l’écologie, le

disfonctionnement en instaurant des réglementations ou des taxes, voir il peut aussi nationaliser les secteurs d’activités visés. Elle cherche aussi a corriger les effets des externalités des agents sur les marchés, à l’aide de subvention pour les agents créants des externalités positives et des taxes pour celles créants des externalités négatives. La production de bien public et la financement de la R&D fait aussi partie de la fonction d’affectation des ressources. La fonction de la stabilisation macroéconomique

Schumpeter, Juglar) enfin, elle est inégale sur le plan mondial et la relation à l’intérieur de chaque pays, entre croissance et inégalité sociale, fait l’objet de nombreuses interrogations. De même, des inquiétudes se renforcent concernant les externalités négatives de certaines activités productives, notamment la pollution. I) La croissance et les déséquilibres spatiaux, environnementaux et sociaux A) Une croissance inégale dans le monde 1) Le décollage des économies industrialisées :

l’on augmente d’autant les revenus d’un pauvre que l’on diminue ceux des riches, alors cela entrainera à coup sur un accroissement du bien être. La taxe Pigouvienne : le but est d’internaliser les externalités, c'est-à-dire de taxer les externalités négatives et de subventionner les externalités positives. Nicholas Kaldor : Les objectifs essentiels de l’Etat se résument dans le concept de carré magique de Nicholas Kaldor ; assurer un maximum de croissance, assurer le plein emploi, minimiser