Externalités Et Biens Publics

Rnm Vnma Flux provenant de la nature, production domestique, externalités positives (lien social) Valeur non marchande (biens publics) Vma Valeur marchande (simple et capitaliste) En Externalités négatives (pollution) La séparation entre valeur marchande et non marchande peut être représentée par un trait oblique (en pointillés) pour faire apparaître sur le schéma le fait que l’activité marchande peut engendrer des externalités positives (donc de la richesse, ici non monétaire) et que l’activité

même peut être induite par son accroissement, donc par la croissance. En clair, la croissance ne permet pas de mesurer les externalités négatives, à partir du moment où sa mesure reste fondée sur un indicateur de flux. C’est notamment ce que déplore D. Meda, dans Qu’est-ce que la richesse ? ; et plus précisément, le fait que le PIB ne puisse pas prendre en compte les externalités négatives, implique que la croissance ne peut pas être considérée comme un gage de bien-être et le PIB comme un indicateur

d’intérets et de leurs revenus Chapitre 2 ; La monnaie dans l’échange Monnaie ; Constituée d’ensemble de moyens de paiement pour régler les achats de B&S. Son rôle ; * Unité de compte ; permet d’exprimer les Px, piur comparer les biens par rapport aux autres, * Instument de paiement ; Intermédiaire dans les échanges, facilite l’échange, * Réserve de valeur ; Peut etre conservée pour utilisation ultérieure : réserve de pouvoir d’achat, Inflation ; elle perd de la valeur

Production de services collectifs par opposition aux biens marchands (défense nationale, hôpitaux, recherche, enseignement, etc.). Notion d’efficience allocative : adapter de manière optimale l’offre de biens à la demande Notion d’efficacité productive : produire de manière optimale à partir des ressources réelles données Pourquoi l’Etat intervient-il dans l’allocation des ressources ? – – – – – Non rivalité / non exclusion Les externalités (positives ou négatives) Les fonctions de coûts décroissants

monnaie. Les fonctions de la monnaie sont les suivantes : Monnaie intermédiaire des échanges : * Monnaie = instrument de paiement qui permet d’acquérir n’importe quel B ou S * Bien directement échangeable contre tous les autres biens. Monnaie comme unité de compte : * Monnaie constitue 1 étalon qui permet de fixer la valeur, le prix des ≠ Tx * Mesurer & comparer B & S diff Monnaie comme instrument de réserve de valeur : * Monnaie rend possible

notion de bien public et le passage de la téléphonie en tant que service public à universel. Puis nous verrons les dysfonctionnements sur le marché et des externalités négatives indirectement générées. Enfin, nous analyserons le rôle de l’Etat sur le marché. Un bien public est un bien dont l’utilisation est collective et illimitée ainsi tout le monde peut y avoir recours sans affecter la quantité disponible de ce dernier. C’est à l’état que revient le soin d’assurer la fourniture des biens collectifs

l’État de gérer les externalités, une externalité étant un acte de consommation ou de production commis par un agent qui agit de façon positive ou négative sur l’utilité d’un autre agent, sans que cette interaction ne transite pas le mécanisme des prix c’est-à-dire par le marché. Arthur PIGOU distingue alors le produit marginal net privé du produit marginal net social et explique que quand le second est inférieur au premier cela signifie qu’un agent produit des externalités négatives supportées

en contact pour échanger des biens ou des services. Une grande part de l'économie concerne le fonctionnement du marché, par exemple la demande de l'acheteur pour les biens et le désir du vendeur de les fournir interagit pour déterminer les prix. Vous pourrez entendre les termes: économie positive (étude des biens et services produits sur le marché, des ressources utilisées pour les produire et de comment elles sont distribuées) et normative (essaye d'estimer quels biens et services seront produits

Chapitre 4 – L’état et le fonctionnement du marché Définitions : Bien public : c’est un bien qui peut être utilisé simultanément par plusieurs individus sans que la consommation de l’un ne réduise la consommation de l’autre. Une fois produit il profite même a ceux qui ne l’ont pas payer (éclairage public, la défense, la justice). Concurrence : Compétition entre les offreurs d’un même bien ou service sur un marché. Externalité : c’est lorsqu’un individu ou entreprise réalise une action qui affecte

la majorité des groupes sociaux. 1 Rostow, Les étapes de la croissance économique, 1960 o L'ère de la consommation de masse correspond à la dernière période. Les services se développent, la pauvreté se marginalise et la consommation des biens durables se répand massivement. L'Etat intervient de plus en plus dans la vie économique et sociale. C'est l'Etatprovidence, soucieux du bien-être collectif. II. LES FACTEURS DE CROISSANCE On distingue ici les facteurs à court terme des facteurs