Extrait De La Logique De Kant

qui demeure indépendamment des qualités). Par exemple, mon apparence physique peut changer de même que certains de mes traits psychologiques, et pourtant c'est toujours de moi qu'il s'agit. Mais qu’est-ce que le moi ? Etude du texte de Pascal, extrait des Pensées, fragment 323, « Qu’est-ce que le moi ? » Qu'est-ce que le moi ? Un homme qui se met à la fenêtre pour voir les passants, si je passe par là, puis-je dire qu'il s'est mis là pour me voir ? Non ; car il ne pense pas à moi en particulier

œuvre une théorie de la démocratie, qui soit à la fois générale et spécifique. Pour cette théorie, l’auteur se sert d’expériences tirées de l’histoire et va pouvoir analyser différentes situations et divers concepts. Nous sommes confrontés dans cet extrait, aux toutes premières pages de son œuvre, au chapitre premier intitulé « Homo democraticus ». Dans les premières pages, l’auteur va donc présenter son objet d’étude « l’homme démocratique », avec l’objectif de le relier à la notion de politique.

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique comme

l’académie (mathématiques : base de son enseignement)      *Socrate* #Platon#     *Démarche ironique* #Philo sérieuse#     *Pensée aporétique (dépasser les contradictions)* #Pensée fondée#     *Moment négatif* #Moment positif#     Extrait de la République : « allégorie de la caverne » (métaphores+symboles)  -          Caverne= Monde sensible= monde des apparences changeantes et trompeuses -          « région supérieur »= Monde intelligible= monde des formes éternelles et immuables

Hussein cachait des armes de destruction massive et entretenait des relations avec Al Quaïda et Ben Laden n’a jamais été prouvé. Manipulation qui a conduit à une guerre inextricable et a crispé l’équilibre déjà bien précaire de la planète dans une logique plus qu’explosive. - C’est dire donc que la question centrale de la philosophie, la question de la vérité entretient un rapport au politique. Dans le sens noble du terme « politique » qui signifie organisation de la cité. On pourrait dire que la philosophie

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique comme

est une appréciation subjective sur la valeur d'un objet, d'une action. Le jugement synthétique, d'après Kant, correspond au jugement de réalité, par opposition au jugement analytique, qui correspond aux propositions tautologiques de la logique (par exemple: un triangle a trois angles). JUGEMENT ESTHETIQUE : Acte de l'esprit par lequel nous déterminons si une chose est belle ou laide. Extrait du corrigé : Poésie : art du langage, recherche de la beauté, travail du rythme, de la forme, etc. La poésie

JOSIANE BOULAD-AYOUB FICHES POUR L’ÉTUDE DE KANT FICHES POUR L’ÉTUDE DE KANT CAHIERS RECHERCHES ET THÉORIES Collection Symbolique et idéologie dirigée par Josiane Boulad-Ayoub Dans la même collection Nº S 7 — Un modèle informationnel de la représentation, par Normand Lacharité. (tome II de L'efficacité du symbolique I) Nº S 8 — L'efficacité du symbolique II. Approches politiques et sémiologiques. Sous la direction de J. Ayoub. (Actes du deuxième colloque GRI-UQAM) Nº S 9 — Cinq

même qu’il a fondé indirectement la philosophie au travers de la question du souverain bien, du bien à rechercher. Poser la question de l’origine du mal, c’est déjà tenter de circonscrire le mal, d’en comprendre — si tant est qu’elle existe — la logique de son existence, les conditions de son émergence. Aussi les récits et les raisonnements sur l’origine du mal répondent à un faisceau de volontés mêlées mais divergentes : - Prévenir le retour du mal : la première fonction des mythes du mal peut sembler

seul de sa destinée ? Par ailleurs, n'est-il pas plus honnête d'affirmer que la liberté produit ses propres obstacles plutôt que de soutenir qu'ils sont un empêchement à notre liberté ? C'est en se sens que Sartre nous conduit tout au long de cet extrait de l'Être et le Néant. Ainsi, sommes nous capables de liberté ? C'est la question à laquelle nous allons tenter de répondre. I. L'HOMME N'EST PAS ENTIERMENT LIBRE DE SES CHOIX : IMPUISSANCE DE L'HOMME. A. L'homme n'est pas libre.