Fable Comique

antropomorphes (= attribution des caractères morphologiques ou comportementales humaines) et contiennent une morale. La fable étudiée relate la mort de la reine et le s réactions de la Cour pour aboutir à une morale. Tout d'abord, nous verrons un récit tendu puis un récit édifiant et enfin une satire généralisée. I. Un récit tendu 1. Les différents étapes du récit La fable est constituée de plusieurs étapes, on observe donc une première du vers 1 à 14 qui relate la mort et les obsèques de

Mise en scène [pic] 1 Sommaire Le Rat qui s’est retiré du monde, Jean de la Fontaine Page 3 La mise en scène de la fable Page 4 Le décor Page 5-6 Les costumes Page 7 Le travail de metteur en scène Page 8-9 Point de vue des metteurs en scène

deux coqs PRESENTATION •- Extrait des Fables, L7,fl3. 17lème . Thème abordé = revers de la fortune. Proverbe : « un tiens vaut mieux que deux tu l'auras », mais ce tiens est à la merci des caprices de la Fortune. HYPOTHESE DE LECTURE Cette Fable met en garde contre la réversibilité de la Fortune, en mettant en scène, non sans humour, un mouvement de retournement perpétuel. LECTURE METHODIQUE l'er axe : Une comédie galante qui n'est pas animale mais humaine D'une certaine manière, le texte

Lecture Analytique : Les deux Coqs La fable « Les deux Coqs » est une fable de Jean de La Fontaine (1621-1695) est un grand fabuliste français, qui s’est beaucoup inspiré d’Esope et de Phèdre, a écrit de nombreuses fables mettant en scène des animaux. Celle ci est extraite du livre VII des Fables de La Fontaine, recueil publié entre 1668 et 1693. Elle met en scène deux coqs qui se livrent un combat pour une poule. Le vainqueur crie sa victoire sur tous les toits et se fait attraper par un vautour

La fable et le conte La fable est un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique. Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est, soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Les fables les plus caractéristiques comportent une présence animale qui remplace l homme. La forme de conte la plus connue est celle du conte merveilleux

« Phédon » I. Similitude des textes ? II. Les éléments du portrait III. Une argumentation implicite Victor Hugo, « discours sur la misère » I. Prise à témoin des députés II. Le rôle des exemples Charles Baudelaire,  « Le joujou du pauvre » I. Une fable II. Les leçons implicites Voltaire, « Il semble (…) le bannir. » I. Utilisation d’un raisonnement II. Les arguments III. Les différents registres Voltaire « prière à dieu » I. Une forme de prière II. Une prière aux Hommes III. Déisme Voltaire

Commentaire composé est basé sur l'étude d'une fable de Jean de la Fontaine, plus précisément le Gland et la Citrouille. C'est une étude précise, complète, réalisée de manière minutieuse reprenant des éléments du XVII ème siècle puisque La Fontaine est un auteur de ce siècle. Extrait: Jean de La Fontaine travailla plus de trente années à la rédaction de toutes ses fables rassemblées en pas moins de trois recueils et douze livres. Cette fable écrite en 1679, appartient au livre IX. Fuyant le

d'opéra. La Fontaine est multiple et semble côtoyer tous les genres, il fait alors de sa carrière un travail de diversité. Il fige cette diversité que le caractérise et en fait une description de ses fables dans un vers du Bucheron et Mercure (Livre V, fable 1): « C'est une ample Comédie aux cent actes divers, / Et dont la scène est l'Univers ». Comment comprendre alors que les fables de la Fontaine soient une comédie, c'est-à-dire une construction théâtrale, une feinte destinée à être représentée mais

progression de la fable. INTRODUCTION : *Biographie de La Fontaine *Situer et présenter le texte C’est une fable de structure classique, un petit drame : 3 actes suivis d’un épilogue. Elle appartient au 7ème live du second recueil des Fables de La Fontaine ; il existe 3 recueils : - 1er recueil ( Livres 1 à 6 - 2ème recueil ( Livres 7 à 11 - 3ème recueil ( Livre 12 La Fontaine ici s’est inspiré d’un compte d’un dénommé Bonaventure des Périers. Cette fable est originale

« améliorations » de leur comportement à la file des siècles. Ainsi on constate que les valets fourbes (tel que Scapin n’hésitant pas à développer de sournois stratagèmes pour se venger de leur maitre Géronte a coups de bâtons ou a les duper) des pièces comiques de Molière, on laisser place a des individus moins sournois ayant le souci et la volonté de se sentir libérer, comme c’est le cas dans le registre lyrique «L’ile des Esclaves » de Marivaux. Enfin ces derniers laisseront place au 20e siècle aux personnes