Fable Convaincre Ou Persuader

Introduction : Le vieux Chat et la jeune Souris est la 5ème fable extraite du livre XII de La Fontaine, paru en 1694. Elle s'inscrit dans une série consacrée aux chats et aux souris. La fable est précédée d'un poème, prologue destiné « A  MONSEIGNEUR LE DUC DE BOURGOGNE qui avait demandé à M. de La Fontaine une fable qui fût nommée Le Chat et la Souris ». La Fontaine met ici en scène une jeune souris attrapée par un vieux chat. Elle tente de le convaincre de ne pas la manger ; mais le chat n'est pas réceptif

entendre » et une antithèse « vice » et « vertu ». D'autre part, Rousseau appuie sa démonstration et renforce ses arguments grâce à l'emploi de 3 exemples : Le corbeau et le renard, La cigale et la fourmi, Le loup et le chien que Rousseau rebaptise : La fable du loup maigre et du chien gras. Enfin, le dernier paragraphe va réaffirmer la thèse : ligne 25 à 26 : « mais pour mon élève, permettez que je ne lui en laisse pas... » et résumer son argumentation (ligne 26 à la fin). Dans ce dernier paragraphe

Dissertation : « Dans quelle mesure la fiction littéraire est-elle capable de convaincre et persuader le lecteur ? » Note et observations : Le mot «fiction» est formé à partir du latin « fictio», lui-même venant du verbe «fingo, ere» signifiant «façonner», « imaginer» et «feindre». D'après son étymologie, ce mot signifie donc "action d’imaginer" ou "chose imaginée". La fiction est la forme littéraire la plus répandue et la plus accessible aux lecteurs. Sa fonction est principalement divertissante

l'efficacité des différentes formes que peut prendre l'argumentation. Pour convaincre, faut-il nécessairement recourir à l'art de persuader ? L'art de convaincre peut-il se suffire à lui-même ? Nous dégagerons tout d'abord les atouts, mais aussi les limites de l'art de convaincre, pour ensuite montrer qu'allier l’art de convaincre et de persuader, garantit une meilleure efficacité argumentative. L’art de convaincre permet d’amener le lecteur, par des raisons ou des preuves, à reconnaître quelque

parole, notamment en s'étalant sur l'envie de persuader autrui, et l'idée qu'elle serve de substitut aux cris et aux coups. Puis, en second lieu, nous démontrerons que la violence n'essaie pas de convaincre mais de contraindre et ce qu'est une solution brutale et non constructive. La parole est une forme d'expression et l'art de la parole est une manière de convaincre. Les orateurs jouent avec l'éloquence dans les débats. Le but étant de persuader l'autre grâce à son discours. Par exemple, on

une « impuissance », celle de l’homme. Ce ne sont pas des éléments terrestres concrets qui peuvent « remplir » ce vide, mais un « objet infini et immuable, c’est-à-dire Dieu ». C’est donc de la religion et de la foi que dépend le bonheur. Pour convaincre son lecteur, Pascal construit un raisonnement explicite très structuré, à la rigueur scientifique, dont chaque étape occupe un paragraphe : le premier pose une affirmation que consolident des connecteurs logiques (« et cependant », « donc »).

« la raison du plus fort est toujours la meilleure » ne se vérifie pas car le loup n'a pas d'arguments pour manger l'agneau.Il existe encore bien d'autres registres,le polémique, le comique dans lesquels l'argumentation indirecte sert à persuader ou à convaincre. Cette stratégie présente aussi bien des avantages que des inconvénients.En effet, , le message caché derrière une histoire évite la censure et permet une plus grande accessibilité. Cependant ce message n'est pas toujours décripté et

idée, une abstraction en montrant que les homme sont fous et ont pleins de défauts. Il persuade le lecteur de se moquer des hommes et de lui-même. Il mets en évidence la satire de la superstition en montrant que l'homme se fait des allusions et se ment à lui-même afin de se rassurer. En effet, on retrouve des éléments merveilleux comme « prodiges mensongers » (l.5) ou encore « il y a ceux qui se sont persuadés » (l.15), « imposteur fantaisistes » (l.38). Voltaire, par un discours indirecte où il

(un point de vue, une opinion) qui réponde à une problématique. Il faut convaincre un adversaire, soit pour modifier son opinion ou son jugement, soit pour l’inciter à agir. Un argumentation a pour but de convaincre, c'est-à-dire d’amener le destinataire à adhérer à un point de vue en jouant sur la logique, la rigueur et le rationnel. On peut aussi faire appel aux sentiments, au plaisir et à l’émotionnel, pour le persuader. De plus, le récit fictif utilise l’argumentation indirecte alors que pour

1 - Argumenter = convaincre, délibérer, persuader Argumenter Argumenter consiste à soutenir ou à contester une opinion, une thèse sur un thème ou un sujet, mais aussi à agir sur le destinataire en cherchant à le convaincre ou à le persuader. Le locuteur tient généralement compte de thèses différentes des siennes, avec lesquelles il entre en discussion dans une délibération, solitaire ou collective. A) Convaincre Pour convaincre, celui qui argumente fait appel à la raison, aux facultés