Fable Le Lion

Introduction : La fable, un art datant de l'Antiquité déjà, est "ressucité" vers le milieu de XVII èeme siècle, notamment par Jean De La fontaine, mettant en scène des animaux la plupart du temps. Il réussit alors a bâtir une comédie humaine et prodigieuse de délices et de cruauté. Faut-il penser judicieux de faire appel à des animaux pour analyser des comportements humains et ainsi faire passer un message ? Dans un premier temps, nous verrons que, effectivement, la présence d'animaux dans

La fable et le conte sont des récits illustrant des péripéties et aventures souvent mythiques pour donner une morale, la fontaine par exemple est un fabuliste du 17éme qui mettait en scène des animaux, les contes eux ont plus une origine de bouche à oreille. Reste à savoir à qui ces textes s'adressent-ils véritablement ? Un public innocent ou déjà averti ? De simples enfants ou des adultes ayant une certaine culture ? D’après les conteurs contemporains : «  les contes ne sont pas faits pour endormir

à l’intention de l’auteur, et qu’au lieu de s’observer sur le défaut dont on les veut guérir ou préserver, ils penchent à aimer le vice avec lequel on tire parti des défauts des autres. Dans la fable précédente, les enfants se moquent du corbeau, mais ils s’affectionnent tous au renard; dans la fable qui suit, vous croyez leur donner la cigale pour exemple; et point du tout, c’est la fourmi qu’ils choisiront. On n’aime point à s’humilier : ils prendront toujours le beau rôle; c’est le choix

saisit, et dit : "Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. " Le Corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. Dans cette fable La Fontaine dénonce les beaux parleurs , ce qui flattent par intérêt et les personnes vaniteuses, ici le renard qui compliment le corbeau pour avoir sa proie (« que vous êtes joli ») et par vanité («  et pour montrer sa belle voix ») le corbeau lui

une poésie de Charles Baudelaire, intitulé « Le Chat » qui révèle la vision de la femme selon l’auteur. Ce poème est extrait du recueil Les fleurs du mal, publié en 1847. Nous poursuivrons avec le poème « Conseil tenu par les Rats » et «  La cour du Lion », extraits de du recueil Les Fables, écrites au XIIe siècle par Jean de La Fontaine. Grave au symbolisme animalier présent dans ses poèmes, permet de dénoncer les vices et les défauts des Hommes. « Comme un Chevreuil » est un sonnet écrit par Pierre

que pour cela même l'auteur a mise par préférence à la tête de son livre. En lui supposant réellement l'objet d'être entendue des enfants, de leur plaire et de les instruire, cette fable est assurément son chef-d'oeuvre : qu'on me permette donc de la suivre et de l'examiner en peu de mots. Le corbeau et le renard Fable Maître corbeau, sur un arbre perché, Maître ! que signifie ce mot en lui-même ? que signifie-t-il au-devant d'un nom propre ? quel sens a-t-il dans cette occasion ? Qu'est-ce

Texte1 : Les animaux malades de la peste de Jean De La Fontaine, Fable VII,1, 1678 1). Distinction des divers actes de la fable. Vers 1 au V. 14 : Présentation de la peste V.15 au V.33 : Le discours du Lion V.34 au V.42 : Le discours du renard V.43 au V.48 : Les autres animaux V.49 au V.54 : La condamnation de l’âne Négation=> ne pas ; ni ; n’ ; nul ; plus ; plus d’ ; plus de La peste apporte une négation de vie, tout les instincts sont anéantis : se nourrir (V.10 ; V.12), l’instinct

Dans la fable classique intitulée « Les animaux maladies de la peste », écrite par Jean de La Fontaine en 1678, l’auteur dénonce l’injustice de la justice sous le règne de Louis XIV en dévoilant quelques cas d’injustice impliquant l’inculpation d’innocents. Cette fable représente une réflexion d’ordre politique divisée en quatre grandes parties. (53) [La fable de La Fontaine présente comme thèmes principaux la justice ainsi que la culpabilité au temps de l’auteur]. La justice transparait tout

On n'en voyait point d'occupés À chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie ; Les tourterelles se fuyaient : Plus d’amour, partant plus de joie. Le Lion tint conseil et dit : « Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend

On n'en voyait point d'occupés À chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie ; Les tourterelles se fuyaient : Plus d’amour, partant plus de joie. Le Lion tint conseil et dit : « Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend