Fable Les Obsèques De La Lionne

fables, son œuvre majeure, se cache une critique de la société de son époque. Le cerf, contrairement aux courtisans ne pleure pas la lionne disparue.A la colère du roi et aux chatiments qu’il lui promet, le cerf répond en inventant un songe où la lionne l’a dispensé de pleurer.En définitive , le cerf obtient même un cadeau.Les obsèques de la Lionne est la 14ème fable du livre 8 des Fables, c’est une reprise de l’italien Abstinuis.L’imitation au 16 et 17 eme siecle est reconnue.Ici il s’agit d’Abstinuis

Les obseques de la lionne Jean de la fontaine La Fontaine a commencé à écrire sous le règne de Louis XIV. Cette fable est tirée du second recueil, publié en 1694. L'une de ses protectrices était la marginale Mme de la Sablière. C'est par les contes, puis par les fables, sur le tard, que la fontaine a connu la gloire. Le second recueil est dédicacé a Mme de Montespan. Les fables de ce recueil sont plus philosophiques, plus longues que celles du premier. La Fontaine est quelqu'un de

LES OBSEQUES DE LA LIONNE Les obsèques de la lionne attaque les puissantes en dénonçant le caractère tyrannique du roi parce que il est injuste et bet. Encore il dénonce l’hypocrisie des courtisans. Donc il fait de la satire de la société du XVII siècle. Dans cette fable le plus faible est le cerf qui est vainqueur grâce à son intelligence et à sa vivacité d’esprit. La fontaine traite ce sujet parce qui il croit en les hommes honnêtes et en la morale par rapport à une société corrompue. Ce pensée

Les obsèques de la lionne L'art du fabuliste: il a construit sa fable comme une pièce de théâtre. La moralité est tout au long de la fable, le récit est riche en pensées. I) Le premier acte 1) Scène d'exposition: "la femme du lion mourut" ( v.1) > économie des mots: art du fabuliste > ambiguïté entre les animaux et les humains: satire 2) 2ème scène (v.2 à 5): les condoléances Plus longue que la scène 1 > excès des courtisans serviles "s'acquitter" (v.3) > le verbe montre le devoir

Analyse littéraire formative Les obsèques de la lionne (1678) Jean de la Fontaine Alors que la France est le pays le plus puissant de l’Europe, le roi Louis XIV mène à l’effervescence révolutionnaire du français. Sous son règne, les bourgeois et le peuple se conforment à la langue française pour écraser peu à peu les autres dialectes. La fable apparaît donc, en parfaite correspondance aux règles du Classicisme de l’époque, et amène un nouveau genre littéraire qui donne toujours une morale et

époques : de l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui. Un apologue est un récit en prose ou en vers qui a pour fonction d'illustrer une leçon de morale. Sa visée est donc argumentative et didactique. L'apologue apparaît sous différentes formes : la parabole, la fable ou encore le conte ( philosophique … ). Ce genre de récit a pour but d'instruire le lecteur et permet à l'auteur de dénoncer des faits révoltants ou encore d'avancer des valeurs ou des idées nouvelles. De ce fait, l'apologue est en vogue chez les moralistes

Les obsèques de la lionneJean de La Fontaine Introduction     La Fontaine a commencé à écrire sous le règne de Louis XIV. Cette fable est tirée du second recueil, publié en 1694. L'une de ses protectrices était la marginale Mme de la Sablière. C'est par les contes, puis par les fables, sur le tard, que La Fontaine a connu la gloire. Le second recueil est dédicacé à Mme de Montespan. Les fables de ce recueil sont plus philosophiques, plus longues que celles du premier. Les fables sont liées les

l’argumentation indirecte : la fiction poétique, narrative ou théâtrale est mise au service d’une cause à défendre. Précisément, ces textes ont tous recours à la fiction pour dénoncer les abus de pouvoir. Au XVIIe siècle, La Fontaine écrit la fable intitulée « Les obsèques de la Lionne » ; en 1885, Zola publie son célèbre roman Germinal et, à la toute fin du XIXe siècle, Jarry renouvelle la comédie en composant la pièce de théâtre Ubu roi. Les auteurs utilisent des registres différents pour transmettre leur critique

pouvoir des fables ». Ainsi que Mademoiselle de Sillery dans « Tircis et Amarante ». Livre 9 : Discours à Madame de la Sablière, qui fut aussi sa protectrice. Livre 10 : Monsieur le Duc de La Rochefoucauld. Livre 11 : Monseigneur le Duc du Maine (fable 2), Livre 12 : Monseigneur le Duc de Bourgogne (les fables 1, 2, 5) 2. Les grands thèmes du second recueil. Il évoque les vices des Hommes tels la jalousie, l’ambition, la vanité, l’hypocrisie, le mensonge, l’ingratitude, l’avarice, la prétention

comportementales humaines) et contiennent une morale. La fable étudiée relate la mort de la reine et le s réactions de la Cour pour aboutir à une morale. Tout d'abord, nous verrons un récit tendu puis un récit édifiant et enfin une satire généralisée. I. Un récit tendu 1. Les différents étapes du récit La fable est constituée de plusieurs étapes, on observe donc une première du vers 1 à 14 qui relate la mort et les obsèques de la Lionne avec donc un registre pathétique pour émouvoir le destinataire