Fables Contes Et Enfants

cinquième livre des fables de Jean De la Fontaine. Son frère jumeau Lawrence, garçon ayant un niveau élevé en culture générale la vit et demanda son avis sur l’ouvrage. Sa sœur était exaspérée car on lui avait imposé de lire cet ouvrage pour son cours de français et elle n’appréciait pas particulièrement les œuvres de Jean de la Fontaine. Là commence une discussion autour de cette œuvre : Lawrence : « Voyons Sandra… Les fables de Jean de la Fontaine ne sont pas que des livres pour enfants… » Sandra

[pic]Doc : Fables – La Fontaine Introduction : Entrée en matière – Exposé du sujet – Annonces des parties du dvlpt Exemples d’entrée en matière : La fable est un genre littéraire très ancien dont on trouve des exemples dans l’antiquité, ainsi Esope au Vème siècle avant J.-C. rédige des histoires très connus en grec. Beaucoup de ses histoires seront reprises chez les romains et en latin par Phèdre. Enfin au XVIIème siècle, La Fontaine les adaptera en français. Les auteurs anciens aimaient

facilement accessible pour le lecteur. En effet quelque soit l’âge ou le niveau de culture du lecteur, l’apologue est compréhensible par tous. Par exemple des contes merveilleux tels que « le petit chaperon rouge »   ou « Blanche neige » ou des fables comme « la cigale et la fourmi » ou « le loup et l’agneau » peuvent être compris aussi bien par un enfant, un adulte, que par quelqu’un érudit ou inculte. L’apologue contient toujours un premier degré de compréhension accessible à tous. En plus d’être accessible

Dissertation de Français. Sujet : “Les contes ne sont pas faits pour endormir les enfants, mais pour réveiller les adultes”. Telle est la devise d’une association de conteurs contemporains. Selon vous, fables et contes n’ont-ils pour fonction que de « réveiller » les hommes ? Les fables, les contes, ou plus généralement les apologues n’ont pas pour but « d’endormir les enfants », bien qu’ils leur plaisent a eux comme aux autres. Et si, comme le dit la devise d’une association de conteurs

très brièvement. Nous connaissons l’atmosphère qui nous aidera à comprendre l’action. L’action quant à elle est très vivante. Les fables sont destinées à des enfants comme à des adultes. Il y a, comme dans la plupart des contes, les gentilles et les méchants. Mais aussi des animaux comme le lion qui représente le pouvoir, l’âne la lâcheté, et le chat l’hypocrite. La fables est théâtraliser, Le Fabuliste utilise des dialogue comme dans le corbeau et le renard, ce qui rend la fable plus agréable et vivante

Sujet : Estimez-vous, comme le prétend Anouilh dans sa préface des Fables, qu’écrire des fables soit une « entreprise futile » ? La Fontaine a longtemps écrit pour les enfants, notamment pour le dauphin qui était seulement âgé de sept ans à l’époque. Ainsi, on pourrait être amené à penser que la fable n’est qu’un divertissement puéril dépourvu d’esprit et de profondeur. Mais les fables qui constituent l’autre partie de son œuvre (à partir du livre VII) sont destinés à un public d’adultes et

Les Fables de La Fontaine I. Les caractéristiques des Fables 1. Qu'est-ce qu'une fable ? • La fable raconte une histoire courte et drôle qui a pour but d'apprendre quelque chose au lecteur tout en le distrayant. Les personnages sont typiques, parfois incarnés par des animaux. • La fable se compose souvent de deux parties, très inégales cependant : « le corps est la fable, l'âme la moralité », écrit dans sa préface La Fontaine. Le récit imagé permet ainsi de saisir une règle morale abstraite. • Les

Amorce : pour éduquer les enfants, on recourt aux histoires peuplées de personnages inventés, souvent destinées à forger leur vision de la vie ou à les édifier. L’âge adulte oublie un peu ce goût du récit, considéré en tout cas comme moins sérieux que les autres formes d’argumentation. Cependant, des écrivains comme La Fontaine et Voltaire savent le parti que l’on peut tirer de la force argumentative de la fiction. Pour La Fontaine : « Une morale nue apporte de l’ennui Le conte fait passer

Introduction • Amorce : pour éduquer les enfants, on recourt aux histoires, peuplées de personnages inventés, souvent destinées à forger leur vision de la vie ou à les édifier. L’âge adulte oublie un peu ce goût du récit, en tout cas considéré comme moins sérieux que les autres formes d’argumentation. Cependant des écrivains comme La Fontaine et Voltaire savent le parti que l’on peut tirer de la force argumentative de la fiction. Pour La Fontaine : « Une morale nue apporte de l’ennui Le

Texte A : La Fontaine, « À Monseigneur le Dauphin », Préface aux Fables, 1668. MONSEIGNEUR, S'il y a quelque chose d'ingénieux dans la république des lettres, on peut dire que c'est la manière dont Ésope1 a débité sa morale. Il serait véritablement à souhaiter que d'autres mains que les miennes y eussent ajouté les ornements de la poésie, puisque le plus sage des anciens a jugé qu'ils n'y étaient pas inutiles. J'ose, MONSEIGNEUR, vous en présenter quelques essais. C'est un entretien convenable