Fabuliste

temps : il a pu les observer grâce à sa position privilégiée dans les salons d'époque, ayant pour mécènes de grands personnages d’État (comme de surintendant Nicolas Fouquet, l'aristocrate Mme de La Sablière...) -Il s'inspire des anciens : Esope → fabuliste Grec et Phèdre → philosophe et auteur Grec Introduction: Les fables de LF s'inscrivent dans le courant moraliste qui trouve son apogée en France dans le seconde partie du 17ème siècle. Ce que dénoncent alors les auteurs moralistes comme

discours moralisateurs ? {text:list-item} -double récit : récit du narrateur ds lequel est enchassé le récit de l'orateur -récit cadre : situat° présentée c historique « Athènes » v.1 ; époque « autrefois » v.1 → Antiquité -narrateur = fabuliste : « je »v.33 → présent d'énonciat° ( « nous » v.32) -histoire présentée c vraie : orateur politique confronté à l'indifférence de son auditoire : « patrie en danger » v.2 [→ résultat négatif : « ne daignait l'écouter » v.12 « autre tour

La Fontaine s'est inspiré d'un auteur grec nommé Esope et d'un auteur latin nommé Phèdre. L'oeuvre complète de ses fables comporte 12 livres. Le mot fables vient de l'étymon latin fari qui signifie parler. Celui qui écrit des fables s'appelle un fabuliste et un recueil de fables est un fablier. L'Aigle et le Renard Maître Renard, fort occupé, alla trouver compère l'Aigle accompagné de ses petits; « Bonjour Monsieur l'Aigle! J'ai beucoup à faire Pourriez-vous surveiller mes renardeaux ? »

Pour argumenter de nombreux auteurs ont eut recourt à la fiction. C’est le cas notamment du fabuliste Jean de La Fontaine qui l’explicita dans sa fable « Le Lion et le chasseur » en affirmant « Une morale nue apporte de l’ennui/Le conte fait passer le précepte avec lui/En ces sortes de feintes il faut instruire et plaire. » Ainsi il expliquait sa préférence pour l’apologue pour présenter ses idées. Aussi on retrouve ici le principe fondamental du Classicisme : plaire tout en instruisant. L’apologue

Jean de la Fontaine est un fabuliste et écrivain du XVIIe siècle (1621-1695). De caractère rêveur, il débute sa carrière de poète en 1654 en publiant L’Eunuque, une pièce de théâtre en cinq actes. Elle restera méconnue et ne lui vaudra pas le succès qu’il n’atteindra que plus tard, après avoir connu la disgrâce à la suite de l’arrestation de Fouquet, pour qui il travaillait et qu’il tenta de défendre par ses écrits, ordonnée par Louix XIV. Jean de la Fontaine se lance alors dans la rédaction de contes

l’humain Le laboureur et ses enfants et les végetaux Le chêne et le Roseau. Le monde est rempli d’injustice “La raison du plus fort est toujours la meilleure” dans Le loup et l’agneau, nous pouvons prendre l'exemple du pouvoir des fables, VIII, 4 du fabuliste dans laquelle un orateur tente dans l'antiquité de capter l'attention d'un public distrait, mais finalement, en leur racontant une histoire, il parvient à se faire écouter. On peut donc convaincre par une histoire car l'histoire est amusante et

l’Huître et la gruge (v.17). *vers 19 à 21 : la situation finale est introduite dans le discours du juge, qui demande aux pèlerins : « qu’en paix chacun chez soi s’en aille » (v.21). * Les vers 22 à 25 correspondent à la morale ajoutée par la fabuliste et adressée directement au lecteur à l’impératif (Mettez, v.22 ; Comptez, v. 23) puis au futur (Vous Verrez, v.26). Dans cette narration, la SI et la SF sont les parties qui occupent le moins de place alors qu’en générale ce sont celles qui sont

style en prose. Petits et grands ont leurs propres visions des fables et je trouve que cette idée est digne de la Fontaine car il est inconcevable qu’à l’époque qu’une fable puisse faire transmettre une morale. Voilà pourquoi j’admire beaucoup ce fabuliste hors pair en plus de ses nombreux jeux de mots.» Sandra : « Je vois, donc c’est un moyen pour détourner la censure de son époque. Je comprends mieux le but de Jean de la Fontaine et son imagination est vraiment exceptionnel. Peut-être à l’avenir

Fénelon écrit en 1718 une fable en prose, « Le pigeon puni de son inquiétude », contant les mésaventures d’un pigeon désireux de changer de vie. La Fontaine, fabuliste du XVII° siècle, met en scène deux cours d’eau dans « Le Torrent et la Rivière », incarnant deux personnalités opposées. Enfin Baudelaire, dans « Le joujou du pauvre », décrit la rencontre de deux enfants appartenant à des milieux différents. Chaque texte peut être lu comme un apologue, bref récit mettant en scène des personnages

fidélité à Fouquet. De son éloignement de la cour, La Fontaine tirera une liberté d’esprit et l'amènera à critiquer habilement l’absolutisme du « Roi-Soleil ». Toutefois ses écrits furent appréciés de la cour . Toutefois ses écrits font de lui le fabuliste du 3- Les Fables : Célèbres recueils publiés par Jean de La Fontaine en trois séries (1668, 1678-1679, 1693-1694) et regroupant au total quelque 240 fables en douze livres. Commencées vers 1660, le premier recueil de Fables (intitulé, comme les