Fabuliste

Résumé Etude analytique de la fable de Jean de La Fontaine Le Singe et le Léopard. Extrait: La fable 3 du livre IX, Le Singe et le Léopard, est située dans le second recueil des Fables, où le bestiaire et l'imaginaire en liberté du fabuliste se sont nettement amoindris pour s'orienter vers une réflexion plus sérieuse et sentencieuse. Si de nombreuses versions antérieures traitent de ce sujet inspiré par un texte d'Ésope Le Renard et la Panthère, La Fontaine sera le premier à remplacer le

qui parlent, à moins que ceux-ci cèdent la place à des éléments naturels ou à des personnages types. La moralité, exprimée à la fin ou au début de la fable, est parfois implicite, le lecteur devant la dégager par lui-même. Pour Phèdre, le grand fabuliste latin, « Le mérite de la fable est double: elle suscite le rire et donne une leçon de prudence1. » Cette portée didactique des fables explique la facilité avec laquelle elles ont circulé et ont été reprises d'une culture et d'une société à une autre

montre que la fable est constituée d'un récit plaisant, qui sert de support à la satire du clergé, mais aussi à une réflexion sur la condition humaine. Extrait: La thématique de l'imagination prend donc une importance décisive. Comment le fabuliste traite-t-il le fait divers dans l'apologue, et quelle est son ambition morale ? Nous étudierons tout d'abord l'art de la narration dans cette fable, puis la visée satirique de La Fontaine dans sa description du curé songeur. Nous analyserons enfin

des personnages mythiques pourrait avoir plus d’impact et pourrait faire d’avantage passer le message que l’auteur souhaite nous adresser. Fables: Récit en vers d'où l'on tire une morale. Esope, les Fables, la Morale La FontaineEsope est un fabuliste grec, il serait né vers 620 avant JC et mort en 560 avant JC. On connaît peu de choses d’Esope. C’est un personnage semi légendaire.Les acteurs de ses fables mettent en scène des animaux dont le comportement est une véritable morale pour l’homme

humaine.           Nous venons d'examiner le coté plaisant des fables par plusieurs exemples. Cependant les fables n’ont pas un aspect qui se limite à ce côté plaisant. Les fables ont également pour vocation d’instruire. Voyons donc comment le fabuliste à travers son œuvre, instruit ses lecteurs. Comme nous l’avons précédemment vu, les fables possèdent une morale. Cette morale a pour but d’instruire le lecteur, elle peut se trouver en début ou en fin de texte. Elle se place en fin de texte afin

Opposition entre les discours lion/âne II. Une critique de son époque a) L’ironie b) Critique injustice/superstition c) Réaction de la foule Conclusion : A travers cette fable, LF critique la société de son époque. Le récit animalier permet au fabuliste d’exprimer son opinion en montrant les inégalités. La cour apparait comme le lion et l’hypocrisie. Inégalités sociales et description péjorative de la cour sont au cœur des préoccupations de LF. La fable Le loup et l’agneau aborde d’ailleurs le

Le détour par le Levant : artifice habile pour déjouer la censure. Mais la prétérition finale ramène le lecteur en France. Le détour par l’apologue relève de l’art de persuader : ce récit inventé séduit le lecteur par sa drôlerie et permet au fabuliste un amalgame commode : ce moine est particulièrement antipathique : la brutalité de son geste final contredit le caractère doucereux de ses propos ; le portrait initial montre qu’il ne respecte pas son vœu d’abstinence, et le dernier adjectif employé

aussi une humanité corrompue et injuste par l'usage du pouvoir, de l'argent, où l'honnêteté subit le mensonge. Ces textes font un tableau satirique de la cour de Louis XIV. Mais la Fontaine est sage, et tout ses textes sont une leçon de sagesse, le fabuliste écrit cela comme on pourrait écrire un message codé de nos jours. Analyse des Fables La cigale et la fourmi : La toute première Fable publiée par Jean de la Fontaine qui s'est grandement inspiré d'Esope, où une cigale

fables de ce premier recueil) ; d’autres signes témoignent de la gravité de la fable : l’emploi de l’alexandrin et ce, dès le vers liminaire (« Il était une vieille/ ayant deux chambrières ») mais aussi le recours à des références savantes : le fabuliste n’est pas qu’un simple amuseur, il est avant tout un érudit et un professeur, maniant aussi bien les références historiques (avec l’Antiquité de Phébus et Thétis) que géographiques (« Charybde », « Sylla » au vers de clôture). Enfin, la fable prétend

, un bruit subsiste , les deux rats vont alors se cacher par crainte et le rat des champs propose alors d'aller manger chez lui la prochaine fois , le rat des villes est obligé d'accepter malgré qu'il ne dis rien -> L'homme et son image 1) Le fabuliste nomme le personnage " Narcisse " car malgré sa laideur il arrive quand même à s'aimer et à se trouver beau 2) Les mirroirs reflétent le visagent du héros , l'homme cherche à s'en détourner car il n'aprécie pas son visage , il se trouve moche ,