Fahrenheit 451

Dans Fahrenheit 451, Ray Brabury tente d’explique sa vision de la tournure que le monde est en train de prendre. En effet, il croit que la population s’éloigne de plus en plus des livres, ce qui n’est pas totalement faux, et pour expliquer cela, il se sert de la progression de Guy Montag à travers du roman. Montag rencontrera trois mentors pendant son périple, chacun avec une vision du monde différente. Tout d’abord, Beatty, le chef des pompiers, lui expliquera sa philosophie qui mènerait possiblement

Platon, Le Banquet. – Épicure, Lettre à Ménécée. – Épictète, Manuel. – Marc-Aurèle, Pensées pour moi-même. – Pascal, Pensées 2/ Littérature – Molière, Dom Juan. – Huxley, Le Meilleur des Mondes. – Ira Levin, Un Bonheur insoutenable. – Ray Bradbury, Fahrenheit 451. – Griffo & Jean Van Hamme, S.O.S. Bonheur (BD) 3/ Ouvrages d'initiation – Jean Salem, Le bonheur ou l'art d'être heureux par gros temps. – André Comte-Sponville, Le bonheur, désespérément ; ou bien, du même, Traité du désespoir et de la béatitude

ne sommes pas dans un régime dictatorial, ou bien nous pouvons écrire ce que nous voulons tant que cela ne porte pas atteinte à autrui. Nous pouvons aussi nous confier, partager ou bien dénoncer en écrivant un livre. Par exemple, dans le livre Fahrenheit 451 de Ray Bradbury nous sommes dans un régime dictatorial, les livres y sont interdits étant donné que ceux-ci peuvent instruire, dénoncer. Ils permettent d'être moins naïf, de se forger une opinion par soi-même et donc de comprendre qu'un dictateur

par le temps montrer à tous les lecteurs de ce pays que c'est cette idée et seulement celle-ci est idéale. Ils les manipulent et les soumettent à leurs idées. Le peuple ne peut plus agir selon sa propre volonté, mais avec celle du gouvernement. Fahrenheit 451 de R. Bradbury paru en 1955 est un livre qui explique que la population n'a pas le droit de lire de livre. Une brigade de pompiers existe pour les brûler. Dans ce livre le capitaine de la brigade dit « ils nivellent les gens par le bas car leur

mises entre parenthèses. Projection du lecteur dans les intrigues, vivre par procuration grâce aux héros : Marc Lévy Anna Gavalda Twilight – Stephenie Meyer Ouvrages apparemment originaux qui ne sont que le reflet de nos sociétés : Fahrenheit 451 – Bradbury : les pompiers brûlent les livres donc reflet d’une civilisation qui refuse la réflexion, privilégie la télévision. Société qui oublie de lire pour partager les opinions des autres. 1984 – Georges Orwell : futur étrange. MAIS la

de Poche Jeunesse Genre: Science-fiction / Roman d'anticipation / Conte philosophique Nombre de pages: 184 Année de parution: 1998 Pays d’origine: France Prix: 4,95 € Information utile: Ce roman est un hommage à Ray Bradbury. (Auteur de Fahrenheit 451) -Analyse: Les thèmes: Thèmes apparents:Apparition d’un virus: * Les amateurs d’écrans et d’ordinateur, refusant ainsi la lecture, ont créé un virus qui détruit chaque mot d’un livre lors de sa lecture.Exrait:”Me redressant d’un bond

le prix du mètre carré dans les grandes villes atteint des sommets et en Chine le port du masque antipollution est devenu une mode vestimentaire. Diapo Conclusion: « Soleil Vert » fait parti de ces films au futur pessimiste mais probable, Fahrenheit 451 rentre également dans cette catégorie mais lui parle plus du savoir et de la « lobotomisation » du cerveau par la technologie. Je finirai cet exposé sur une citation de Philip Mortiner « L'homme est une créature étrange qui ne peut s'empêcher

croire à un monde irréel, d’être capable de se propulser dans ce monde et vivre une vie complètement différente de la nôtre. De plus, on est capable de s’identifier à au moins un des personnages du roman. Par exemple, dans le roman Fahrenheit 451 écrit par Ray Bradbury, on s’identifie au personnage de Montag, un pompier chargé de brûler des livres dont la lecture est considéré comme un crime contre la société. Ce roman de fiction nous met directement dans sa place, dans son

siècle des Lumières, siècle de combat s’il en est, que ce soit sous la forme du conte philosophique ou de la fable, par exemple, mais il ne faut pas non plus oublier des romans contemporains qui condamnent l’un et l’autre le totalitarisme comme Fahrenheit 451 ou la dystopie de La Ferme des animaux. Voltaire dans De l’ horrible danger de la lecture use d’une forme largement répandue à son époque, celle d’une fiction orientale, attirante par la teinte exotique développée, et qui distrait. Mais au-delà

un. Seuls les membres du parti intérieur peuvent arrêter le télécran qui se trouve à leur domicile pendant une courte période. On peut rapprocher le télé écran des écrans géants de télévision interactive qui peuplent les murs des maisons dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury (1953). Allumés en permanence, ils abrutissent la population, puisque les livres et le développement de l'imaginaire sont interdits par la loi. Les pompiers pyromanes sont d'ailleurs chargés de brûler les livres et de pourchasser