Faiblesse Lamy Lutti

|Utilisateurs | | |Haribo, |Enfants et adolescents | | |Lamy-Lutti, |Emergence de la consommation des adultes : phénomène | | |Wrigley |d’adulescence

|7,5 |-0,5 | |Haribo |7,5 |8,6 | |Lamy Lutti |4,7 |-2,1 | |Ferrero |2,7 |13,6

lancements de produits. D’autre part, cette stratégie vise également la simplification de la vie de l’entreprise. Finalement, pour résumer de manière concrète, la stratégie de Mondelēz International peut être analysée au travers d’un SWOT : Forces Faiblesses F a ct eu rs i n te rn es  Certification ISO14001  Variété de produits (chocolat, confiserie, biscuits, chewing-gum…)  Marques très connues (LU, Oreo, Milka, Toblerone, Carambar…)  Des centres R&D à travers le monde (France, Mexique

sa politique d’innovation ou à l’extension de ses gammes produites. Positionnement de Chupa Chups par rapport à ces concurrents 0,8 HARIBO 0,9 1 | Prix relatif perçu CHUPA CHUPS | 1,1 1,2 | PIERROT GOURMAND LEAF INTERNATIONAL (LAMY-LUTTI) | 120 110 100 90 80 Valeur relative perçue Nous pouvons voir que Chupa Chups se positionne assez bien par rapport à ses concurrents que ce soit au niveau de son prix ou de sa valeur perçue. Chupa Chups est perçu en bon rapport qualité-prix

dont Camaris qui crée un centre de relation clients à Longuenesse (213 emplois). Dans la région , trente décisions ont permis de conserver ou créer 3 159 emplois : le canadien Bombardier qui étend son site de Crespin (+ 213 emplois); reprise de Lamy-Lutti par Nimbus&Varova (530 emplois), centres logistiques d’Hygena à Feuchy et de Lidl à Tilloy-lez-Cambrai. Entre 1993 et 2008, la Belgique arrive en tête des investisseurs, suivie par l’Allemagne, les Etats-Unis, le Japon et le Royaume-Uni. Les activités

juridique dans le montage, l'administration française pourra soutenir que l'entité étrangère a sa direction effective en France, et donc sa résidence fiscale, ce qui justifie un assujettissement à l'impôt sur les sociétés en France. Les faiblesses des régimes fiscaux des pays voisins européens tiennent à l'existence de droits d'enregistrement frappant les apports faits à des sociétés étrangères, ce qui n'est pas le cas en France (droit de 0,5% sur les apports aux Pays-Bas et en Belgique,