Faillite Lehman Brother Et Contrôle Interne

i l i P P e h e r l i n France, la faillite ? Les scénarios de crise de La dette Des conseils pour protéger votre patrimoine user 177 at Fri Nov 05 04:04:55 +0100 2010 Ce document est la propriété exclusive de Algeria Educ (tagkaiss@gmail.com) - 17 Novembre 2010 à 03:14 user 177 at Fri Nov 05 04:04:55 +0100 2010 Ce document est la propriété exclusive de Algeria Educ (tagkaiss@gmail.com) - 17 Novembre 2010 à 03:14 France, la faillite ? user 177 at Fri Nov 05 04:04:55 +0100

accouché d’une souris (Martin WOOLF, 21 septembre 2010) Pour que les banques gèrent leurs risques, ce n’est pas à 7 % qu’il faudrait porter l’exigence de capitaux propres, mais à 20 % ou 30 % Pour marquer le deuxième anniversaire de la chute de Lehman Brothers, le Comité de Bâle n'a su accoucher laborieusement que d'une souris, le dimanche 12 septembre 2010. Bien entendu, l'industrie bancaire prétendra que cette souris est un tigre prêt à dévorer l'économie mondiale. Ignorons ces prétentions dans lesquelles

dépôts. Elle peut également conduire à une raréfaction, voire une disparition, de l’intention des banques de se prêter entre elles, de par la crainte de faillites bancaires en chaîne. Mais cette illiquidité du marché du financement interbancaire – sans interventions des Banques Centrales en tant que prêteurs en dernier ressort – produit les faillites tant redoutées. En outre, d’autres formes d’illiquidité peuvent se produire. Certains marchés financiers, liquides hier, peuvent se révéler soudainement

international, marqué par une forte mondialisation, un seul espace économique, une la sacralisation du principe de la libre circulation de capitaux, la bonne santé des établissements bancaires et financiers conditionne la stabilité financière aussi bien interne qu’à l’échelle mondiale d’où l’intérêt de veiller notamment à la consolidation du système financier international. C’est dans ce sens que s’inscrivent les travaux du comité de Bâle qui se sont traduits par un ensemble de recommandations (Bâle I

BIBLIOGRAPHIE………………………………………………….……………………….……….25 1 INTRODUCTION La récente crise financière qui a frappé les économies mondiales a été d’une ampleur inégalée depuis 1929. Les événements du 15 septembre 2008 que constituent la faillite de la banque d’investissement Lehman Brothers et le rachat de la banque Merrill Lynch par Bank of America, en ont été le détonateur. Cette crise est le résultat de l’enchaînement d’une série de facteurs qui ont modifié le comportement des investisseurs parmi lesquels ont

emprunteurs et les prêteurs. Cette fonction est réservée aux banques et à elles seules. La troisième est relative aux conditions dans lesquelles s’opèrent les transactions financières. La plupart des institutions bancaires et financières sont sous le contrôle de l’Etat [en France, en 1984, les banques nationalisées contrôlent 87% des dépôts à vue et 76% des crédits distribués]. Le crédit est encadré et les taux d’intérêt « administrés ». Nous sommes dans une économie administrée par l’Etat. La quatrième

déflation – les biens sont trop nombreux, trop chers par rapport à la quantité de l’argent disponible La réalisation du crédit, notamment du crédit bancaire, a un effet de création monétaire. Pour contrôler la masse monétaire, il faut donc que les états contrôlent le volume global de crédit. Comment contrôle-t-on le volume des crédits octroies : sur agissant sur des taux. La banque centrale va augmenter ou baisser des taux directoires, et ça va influencer le volume global des crédits. Si les crédits

sont à la recherche d'une rentabilité maximale ; les gestionnaires ne peuvent l'assurer que temporairement par la création de bulles financières qui s'effondrent périodiquement. La crise de 2007-2008 apparaît comme un révélateur : elle montre la faillite des mathématiques financières qui étaient censées permettre d'optimiser les rentabilités, de réduire et de distribuer les risques. Elle met en évidence la stratégie aventureuse des banques qui contournaient les ratios prudentiels et intervenaient

se chiffrent en milliards de dollars. L'ingénierie financière multiplie les types d'actifs financiers, les sommes en cause deviennent colossales, et si les profits sont énormes, il en est de même des pertes, les risques paraissant devenir hors de contrôle dans le cadre des dérapages et dérives financières. La financiarisation de l'économie a été fortement accélérée par deux facteurs : l'un est le développement des financements internationaux et l'autre est la politique fiscale des Etats pour attirer

L’effondrement des formes les plus généreuses de titrisation a révélé que l’innovation financière de ces dernières années a servi non pas à mieux gérer et répartir le risque, mais à accroître le crédit par l’effet de levier. La faillite de la banque d’investissement Lehman Brothers en septembre 2008 a marqué un tournant décisif dans la crise. Elle a déclenché un climat de défiance généralisée sur l’ensemble des marchés financiers caractérisé par une forte progression de la volatilité, une importante aversion