Faillite

intégration des politiques budgétaires et l’accélération de la construction communautaire vers un authentique fédéralisme budgétaire ; une solidarité financière entière doit permettre de dissiper les illusions de vouloir transférer la prise en charge de la faillite grecque, même partielle, sur les banques, créant ainsi des risques sur le niveau des concours à l’économie. Enfin, les Européens doivent finir de se convaincre du caractère à la fois artificiel et dangereux des stratégies de croissance fondées sur

Dépression ; comme le montre les entrepôts et les bâtiments vides, abandonnés depuis la dépression. Le Krach mettra à mal Ford qui baisse ces effectifs de 71 % (128 000 à 37 000), contrairement à certaines entreprises qui seront obligées de faire faillite : 22 000 en 1929, 26 000 en 1930, 28 000 en 1931. Qui entraîne bien entendu une baisse de plus de moitié du revenu national, avec une explosion de la pauvreté ; ¼ de la populations active qui est désœuvré. Les grandes villes ouvrières sont durement

Chapitre 1 : L'impact de la crise de 1929 : les déséquilibres économiques et sociauxIntroduction :→ Les traités de paix :· Création de nouveaux états (réparation de la Pologne, pays de l’est…)· Création d’une nouvelle organisation : la SDN (Société des Nations)· Reconstruction financière des pays euro. lourdement endettés (auprès des US)→  “Réparation Allemande” depuis le traité de Versailles, ou les allemands doivent payer très cher chaque année (jusqu'à Angela Merkel).→ L’essor économique des années

que de simples «corrections» à la marge permettraient tôt fait de revenir à l’équilibre… On pourrait en dire autant, sinon pire ! des «agences de notation» qui font la pluie et le beau temps sur la planète financière (comme si les exemples des faillites d’Eron, WorldCom et Parmalat n’avaient pas suffi à les discréditer ! Entraînant au demeurant la chute d’un certain nombre de maisons pourtant prestigieuses). Dès le deuxième trimestre 2009, Goldman Sachs semble ignorer la crise. La célèbre banque

en 2007. La crise de 2007 « crise des subprimes » ne provoque pas la crise mais la révèle. Comme en 73 le choc pétrolier ne provoque pas la crise mais la révèle. Le début et les étapes de la crise : La crise débute en août 2007 par la faillite de ménage américain incapable de rembourser leurs dettes. Subprimes : crédit hypothécaire (immobilier) dont l’hypothèque est la maison que l’on achète. Subprimes= sous prime ; Un crédit= prime Subprimes = crédit à des taux beaucoup plus élevé

l’ensemble des dispositions qui regroupent les défaillances des E. Cette expression se substitue au dr. des faillites ou dr. des procédures collectives. Cette matière constituait à l’origine le dr. de règlement de dettes. Aujourd’hui c’est plus une branche du dr. économique destiné à régler les difficultés (financières) des E s’il y a cessation de paiements ou pas encore. Ce dr. des faillites s’est construit par opposition à la déconfiture civile. Lorsqu’un commerçant ne paie pas ses dettes on met

de crise bancaire. Plus précisément, nous essayons dans ce travail de répondre à la question suivante: la stabilité financière est-elle du ressort exclusif de la Banque Centrale ? La réponse à cette question a été tentée en examinant le cas de la faillite de la banque «Khalifa» et la réactivité de la Banque d’Algérie (BA). L’analyse faite suggère que la BA a fait son travail normatif. L’irruption de l’autorité politique dans le processus a jeté un discrédit sur l’indépendance et la crédibilité de

LA BANQUE CENTRALE ? Mohamed Yazid BOUMGHAR Héla MINIAOUI Mounir SMIDA Résumé On considère souvent que la doctrine du «Too big to fail» est née en 1984 aux Etats-Unis suite au sauvetage de la «Continental Bank corporation-CBC». Avant cette faillite, certes il y’ a eu d'autres, mais c’était la première fois où une autorité monétaire est intervenue pour effectuer un sauvetage en complément au dispositif d’assurance des dépôts existant. Il s’agissait de protéger, non seulement les déposants couverts

contraire que l'emprunteur est en situation de faillite.  Voici le tableau expliquant le système de notation des deux principales agences de notation : Standard and Poor's et Moody's : Que sont ces fameuses notes ? Les barèmes de notes sont propres à chaque agence. Prenons le cas de Standard & Poors, le plus médiatique : *  D’abord le fameux AAA : c’est la crème de la crème, les investissements considérés comme les plus sûrs (risque quasi nul de faillite à 3 ans). L’Allemagne fait partie de ce

bons du trésor et révélant l’illiquidité du marché interbancaire. Le spread atteint des nouveaux records en septembre 2008, montrant une aggravation de la crise de liquidité. Figure 5 Spread du marché interbancaire sur les bons du trésor La faillite de Lehman Brother et le déclenchement de la phase de la crise bancaire (cf. chapitre suivant) a accru encore le phénomène d’illiquidité. En effet, la panique se déplaçant sur le secteur bancaire et plus généralement sur le secteur financier, on a