Faillite

fait craindre un risque systémique. Pour limiter l'augmentation des défauts de paiement et répondre aux besoins des banques commerciales, les banques centrales sont intervenues, représentant le dernier recours pour sauver un monde au bord de la faillite . En effet, à cause de l'interdépendance des banques, la crise américaine est très vite devenue mondiale. Les banques centrales des pôles de la Triade composée de la Banque Centrale Européenne (BCE), la Réserve Fédérale des Etats-Unis (Fed),

la société endettée = Valeur société non endettée + éco d’IS sur la dette. Donc pour eux une société plus endettée vaut plus qu’une société non endettée. 4) Nouvelles théories : Coût de faillite et d’agence Ces nouvelles théories reprennent les précédentes remarques de simple bon sens. Le coût de faillite peut être décomposé en 2 éléments : -un coût anticipé qui représente la réaction des tiers à la dégradation des conditions de gestion : augmentation des taux consentis par les organismes financiers

l’économie la banque centrale crée alors des prêts « subprimes » pour permettre au foyer modeste de devenir propriétaire, c’est à ce moment que la crise commence les ménages n’ayant plus la possibilité de remboursé leurs dette, ce qui provoque la faillite des établissements préteurs qui n’ont plus pu se faire rembourser. Peu de temps après les banque sont touché à leur tour et pour s’en sortir, elles vendent leurs actions ce qui provoque la chute des valeurs sur le marché financier Cependant, On se

l’entreprise se doit de rembourser l’emprunt et payer des intérêts liés à cet emprunt contracté auprès des banques ou sur le marché financier. De plus, un fort taux d’endettement augmente la probabilité de faillite des entreprises : si une entreprise est lourdement endetter, sa probabilité de faillite sera élevée et elle ne pourra pas prendre plus de risque. Les dirigeants devront donc renoncer à certains projets, qui bien que rentables, augmenteront la part d’endettement de l’entreprise. Par exemple

pas non plus d’auxiliaire de justice pour conduire cette procédure sous le contrôle du tribunal. La faillite était une sorte d’arrangement entre le débiteur et ses créanciers. La faillite est donc aujourd’hui devenue une procédure judiciaire depuis le code de commerce de 1807. Le tribunal va déclarer lui-même l’ouverture de la faillite et il va nommer un de ses membres commissaire de la faillite. On va naturellement étudier la situation économique de l’entreprise et il y’aura un traité, un contrat

aux variations d’activité (il dépend directement du chiffre d’affaires) Obtenu très rapidement (pas d’obligation d’atteindre la fin de l’exercice) L’ETE est un bon indicateur du risque de faillite. Il constitue un outil de prévention des difficultés des entreprises. Il est un bon indicateur du risque de faillite car il est plus sensible aux variations d’activité que l’EBE (la production stockée se substitue à la production vendue en cas de baisse d’activité dans le calcul de l’EBE). L’ETE mesure

2005 et 2007, la consommation est importante mais à partir de 2007 les chiffes s’effondrent et 2008/2009 marque le début de tx de consommation négatif. Les entreprises sont en difficulté, faillites sur faillites (GM…) besoin d’intervention de l’Etat chose pourtant contraire à l’économie libérale américaine. Faillite des banques : Cause en partie de la FED qui pratiquait des tx d’intérêt faible favorisant le crédit. Les banques elles prêtent sans regarder et les rehausseurs de crédit font confiance

que fluctués ( Plusieurs taux d’intérêt sont appliqués donc la rémunération est souvent difficile ( Si l’argent n’est pas utilisé pendant une période de 5à8 ans, le compte d’épargne n’est pas intéressant Sécurité ( En cas de faillite de la banque, on a la certitude de récupérer notre argent si on ne dépasse pas le plafond de la protection légale des impôts Liquidité ( On peut faire des versements et des retraits quand on le désire Rendements ( Une partie

financières se révèlent de plus en plus élevées, leur valeur en bourse s’effondre Les investisseurs estiment que les dettes sont tellement élevées que ces sociétés ne valent plus rien Pourquoi faut-il sauver les banques ? Si les banques font faillite fin des crédits Ruine des épargnants et des actionnaires Baisse des investissements des entreprises Baisse de la consommation des ménages Baisse de la demande intérieure le spectre de la récession se profile En septembre 2008 la

Diagnostic Financier L.Vilanova Le cadre de réflexion de la finance d’entreprise Logique financière vs. logique industrielle: Multiplication des faillites de PME / Difficultés d ’accès au crédit bancaire Difficultés de grands groupes pourtant performants au niveau industriel et commercial (France Télécom) Variations importantes des cours de bourse Les entreprises doivent tenir compte des exigences des Les entreprises doivent tenir compte des exigences des apporteurs de ressources financières