Faire Son Devoir Implique T Il De Sacrifier Son Bonheur

"La guerre peut-elle être juste ?". La guerre, par la violence qu'elle implique, est moralement injuste. Elle porte atteinte non seulement à la vie, mais aussi à la dignité de la personne humaine (en tuant des innocents, des civils, mais aussi par les actes de barbarie qu'elle permet, et par les conséquences psychologiques qu'elle a sur les militaires). Elle a pu servir de légitimation à l'esclavage, le vaincu devant se soumettre corps et âme au vainqueur (…) PLAN I) La guerre ne peut être juste

1 La quête du bonheur Philippe Fontaine "Quand l'expérience m'eut appris que tous les événements ordinaires de la vie sont vains et futiles, voyant que tout ce qui était pour moi cause ou objet de crainte ne contenait rien de bon ni de mauvais en soi, mais dans la seule mesure où l'âme en était émue, je me décidai en fin de compte à rechercher s'il n'existait pas un bien véritable et qui pût se communiquer, quelque chose enfin dont la découverte et l'acquisition me procureraient pour l'éternité

Chapitre 2 : Morale, devoir     I] Quelle est l’origine de nos croyances ?       ∙         ​ A. À première vue, la morale provient d’une éducation :  ­ Origine de nos croyances morales  ­ Examiner « la valeur des valeurs »  ­ La morale est d’abord une affaire de pulsions     ∙         ​ B. Mais, n’y a­t­il pas un sens inné de la morale ?  ­ Etat de nature / état civil  ­  Opposition Hobbes / Rousseau  ­ Pitié  ­ Expérience de Milgram           ∙       ​ A. À première vue, la morale vient de notre

de questions, donc plus de réponses, mais des jugements et des propositions. L’unité de la pensée sera, depuis les Grecs, asexuée quant à la différence question-réponse, pourtant la véritable unité de base de la raison. Car si parler de réponse implique qu’on se réfère à la question sous-jacente, cela signifie que l’unité de la pensée comme du raisonnement, voire de la rationalité, est désormais à situer dans l’articulation de la question et de la réponse. De l’interrogation socratique au doute

langage, il parle ensuite de lui à la troisième personne. C’est dès lors que l’enfant dis « je » qu’il prend conscience de lui-même. Pour se connaitre, il faut donc avoir conscience de soi. Mais cette conscience n’est pas suffisante. La connaissance va devoir être acquiseC’est la conscience qui permet d’acquérir de nouvelles connaissances.Dans la tradition, la conscience est à peu près synonyme de conscience, et les 2 sont une partie de l’âme. Pour Aristote, nous aurions une tripartition de l’âme : · L’âme

mètres ou n’en utiliser qu’un seul, n’a pas reçu de nom jusqu’à présent. Car nous n’avons pas de terme commun pour désigner à la fois les mimes de Sophron et de Xénarque et les Dialogues socratiques, pas plus que toutes les représentations qu’on peut faire en employant les trimètres, les mètres élégiaques ou d’autres mètres de ce genre. Faute de quoi, les gens se contentent d’accoler le mot « poète » au nom du mètre et nomment les uns « poètes élégiaques », les autres « poètes épiques » ; c’est qu’ils

plus conscients, plus joyeux. Les faire plus hommes et moins esclaves. Les délivrer de leurs idoles pour les rendre à eux-mêmes. Les débarrasser de la fausse morale et des préjugés sociaux , dit avec raison De Pourtalès. Car pour Nietzsche, de même que le chemin de la liberté, le bonheur aussi est individuel : 223 « A l’individu, dans la mesure où il cherche son bonheur, il ne faut donner aucun précepte sur le chemin qui mène au bonheur : car le bonheur individuel jaillit selon ses lois

astre disparu, c’est la nostalgie d’une étoile. Cette étymologie souligne bien l’ambivalence du désir : d’un côté il est le constat douloureux d’une absence, d’un manque et de l’autre le pressentiment d’un bien susceptible de nous combler. Le désir implique une dynamique, renvoyant à un manque, d’importance, et que nous devrons tant bien que mal combler. Platon dans Le Banquet, nous éclaire grâce à un récit mythologique sur sa raison d’être et sa puissance (récit d’Aristophane) : au départ les hommes

mais une valeur d’échange faible ou nulle : c’est le cas, par exemple de l’air, qui est vital mais gratuit. Symétriquement, des choses ont une valeur d’usage nulle mais une valeur d’échange importante : c’est le cas de la monnaie. On ne peut rien faire d’un billet de banque, à part l’échanger. La monnaie selon Aristote est un « moyen d’échange pour ce qui nous fait défaut » qui « soumet tout à une même mesure ». Grâce à la monnaie, on doit pouvoir obtenir en remettant l’argent obtenir ce dont on

pour cuisiner il faut savoir ce qu'est la cuisine, de même pour exercer un pouvoir politique, il faut savoir ce qu'est que le politique. De plus, ce terme recouvre un ensemble très vaste de conceptions et prônée une conception particulière c'est déjà faire de la politique. Néanmoins, on peut réduire ce terme et se concentrer sur la notion de politique comme art de gouvernement. Dès lors, la question du savoir politique se recentre sur l'idée d'un potentiel savoir de l'homme politique, du gouvernant.