Fanatisme Deleyre

fut rétablie que, on se moqua d’eux. III. Condamnation de la sottise. 1. Prétention de la sottise, infaillibilité. absurde, ridicule. (on se moqua d’eux) obscurantisme 2. Dénonciation du fanatisme : intriguer, former des enthousiastes, fureur, juger. Champ lexical de la religion Le fanatisme : je prétends savoir, j’ai des fidèles, j’accède au pouvoir (savoir = pouvoir), je m’en mets plein les poches (l 14) Conséquences : malheurs, discordes. 3. Dogmatisme : se mit à juger souverainement

-explication : j’ai cherché la définition du mot « fanatisme » dans le Robert, selon ce dictionnaire c’est une foi exclusive en une doctrine, une religion, une cause, accompagnée d'un zèle absolu pour la défendre, conduisant souvent à l'intolérance et à la violence. Fanatisme religieux, politique. Combattre, exciter le fanatisme. -illustration : Pour replacer la phrase « J’aime les gens tranchants en énergumènes, on ne fait rien de grand sans le fanatisme » dans son contexte, elle est extraite des pensées

lumières Corpus composé de trois textes d'auteurs des lumières: 1- La remise en cause de la monarchie absolue comme le montre le Chapitre XXII De la tolérance universelle de Voltaire - Traité sur la tolérance (1763) 2- Texte sur le fanatisme religieux article Fanatisme de Voltaire,1764 3- Texte sur l'abolition des inégalités sociales Contrat social de Rousseau (œuvre complète) Texte 1: «Il ne faut pas un grand art, une éloquence bien recherchée, pour prouver que des chrétiens doivent

de la liberté de conscience et ouverture d'esprit à l'égard de ceux qui professent une religion ou des doctrines religieuses différentes. -Dans ce Traité sur la Tolérance, Voltaire invite à la tolérance entre les religions et prend pour cible le fanatisme religieux (plus particulièrement celui des jésuites chez lesquels il a fait de brillantes études étant jeune homme) et présente un réquisitoire contre les superstitions accolées aux religions. -L'intolérance est devenue reine, enrobée de bonnes

personnel « je » ou le complément d’objet direct « me » :« je vous envoie », « Il me parait », « j’ose », « je suis très persuadé ». Ensuite, cette lettre permet à l’auteur d’informer son lecteur. Il reproche à Pascal de traduire son fanatisme religieux à travers son fanatisme littéraire. Cependant, lors de l’antithèse : «  c’est en admirant son génie que je combats quelques-unes de ses idées », Voltaire précise au lecteur qu’il reconnait que Pascal soit un génie mais que ses idées vont à l’encontre de

engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. C’est aussi une figure emblématique de la France des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre «  l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. Il est cependant déiste et son idéal reste celui d’une monarchie modéré et libérale, éclairée par les « philosophes ». Il s’agit d’ailleurs auprès des élites éclairées de l’Europe des Lumières en se

xviiie siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française. Figure emblématique de la France des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’Infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Déiste en dehors des religions constituées, son objectif politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Intellectuel engagé au service de la vérité

dans ses agissements et ses dires : « Je suis de ma religion comme vous de la vôtre. » La tolérance est donc la meilleure voie à adopter, écrasant ainsi les fanatismes de toutes sortes qui créent des injustices comme le texte l’a prouvé maintes fois. En somme, Voltaire a réussi à montrer, à partir du regard de l’Ingénu, l’absurdité du fanatisme religieux pratiqué sous le règne de Louis XIV. L’homme n’a alors pas besoin d’une religion pour dicter sa conduite. Il peut user de sa raison pour son propre

entreprises de colonisation et de mise en esclavage des peuples indigènes. Sous-conclusion de la partie I : Finalement, nous pouvons dire que les combats des philosophes du XVIII ème siècle ont été des armes redoutables pour aplanir le fanatisme religieux et la ségrégation sociale. Sous-conclusion de la partie II : Par conséquent, nous voyons que les engagements des philosophes ont interpellé les consciences, orientant ainsi les gouvernants vers l'instauration de monarchies éclairées

rites et les dogmes, qui selon eux favorisaient le fanatisme religieux et divisaient les Hommes. Pour certains comme Rousseau, la religion est essentielle en témoigne son œuvre Les Confessions. D’autres philosophes, comme Diderot ou le Marquis de Sade, vont aller jusqu’à douter de l’existence de Dieu et deviendront athées. En effet, dans les écrits de Sade, l’athéisme est un thème récurrent, lui qui se définissait comme « un athée jusqu’au fanatisme », il met en scène des personnages niant avec force