Fantastique Dans Alcools

comme un architecte et un créateur dans « Paysage » et « Rêve parisien ». Il est le réalisateur du projet qu’il a proposé dans « Paysage » et réalise dans « Rêve parisien ». Un monde étrange, il propose de sortir du monde réel pour rentrée dans le fantastique. on retrouve cela dans «  Les sept vieillards », «  Les petites vieilles », « Le squelette laboureur » et « Danse macabre ». * Le « frère » des « éclopés de la vie ». On retrouve cette posture dans « Le cygne », « Les aveugles » et les petites

où les vignes se mirent Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter La voix chante toujours à en râle-mourir Ces fées aux cheveux verts qui incantent l'été Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire Guillaume Apollinaire (1880 - 1918), Alcools Analyse : I- L'univers fascinant des légendes. Ici le poème se met à l'écoute d'un autre poème (" Écoutez la chanson... " => mise en abyme). Cet autre poème raconte une hallucination (sans doute due à l'absinthe, évoquée par les femmes aux cheveux

islamisés et sous le règne des Moghols (1527 à 1707) le commerce d'opium est un monopole d'État. Son usage se poursuit au Moyen Âge via diverses préparations médicamenteuses dont le laudanum (connu comme « teinture d'opium »), une solution d'opium en alcool à partir du XVIIIe siècle.. Dès le XVIIIe siècle la Chine fait état de phénomène de consommation abusive et en 1729, l'empereur de Chine interdit - sans résultat - les importations d'opium notamment pour ces raisons. Au XIXe siècle, le trafic d'opium

Premier grand recueil d'apollinaire, Alcools, compilant 15 ans d'écriture poétique rend compte de tout un pan de l'existence de son auteur, de sa sensibilité et de son époque. Sa poésie est façonné tout à la fois par son expérience personnelle, ses nombreux voyages, ses déboires amoureux, le rapport même qi’il entretient avec la poésie et par une culture livresque gargantuesque : la mythologie, les histoires bibliques, les contes et la littérature médiéval sont autant de domaine participant de

à la substance-même de la production de ces effets, de ces états d’esprit. Et il s’agit surtout de la nuit qui est la période pour laquelle il éprouve une prédilection, mais aussi le crépuscule qui tien bien le rôle de parrain pour l’atmosphère fantastique : « L’intensité de cet éclairage m’étonna. S’il ne faisait plus jour, la nuit ne pouvait déjà être tombée, et il devrait exister quelque part un ciel couchant, miroir en éclats, derrière le mur fissure de pluies. »[11]. Dans les Sortilèges

facteurs biologiques Des agents infectieux, toxiques ou traumatiques ont été évoqués comme à l’origine de troubles schizophréniques, survenant de façon brutale chez l’adulte : • Les agents toxiques : la prise de drogues (amphétamines, cannabis, alcool…) [3] L’implication de ces facteurs biologiques pourrait favoriser la survenue de la maladie, mais le lien causal est discuté ; il pourrait s’agir davantage de facteurs révélateurs de la pathologie, chez des sujets prédisposés à développer l’affection

comme l'alcoolisme. Deux auteurs ont souvent insisté sur ce thème, Zola et les frères Goncourt. Dans L'Assommoir, Zola raconte la vie de Gervaise, une pauvre femme qui sombre à petit feu dans l'alcoolisme. Elle finit par se prostituer pour payer son alcool et boire. Dans Germinie La Certeux, les frères Goncourt racontent la vie cachée de leur domestique qui finit aussi alcoolique. Dans Boule de Suif, Maupassant a quant à lui évoqué une autre classe sociale : les prostituées. Pour sa part, Flaubert a

répertoire tel que « Giselle » (1884), « La fille mal gardée » (1885) ou « La sylphide »(1892) qui n’avaient pas abouties auparavant et qui connaitrons un tout autre succès. Cependant, Petipa créé aussi de grands ballets dont la majorité sont fantastiques, s’inspirant des contes de Charles Perrault pour leur réalisation (« Cendrillon » (1893), « la belle au bois dormant » (1890),  « barbe bleu » (1896)). Une grande partie de ses ballets rentreront dans le répertoire classique des grandes institutions

utilise les contrastes comme sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il prône la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie (lyrique, épique ou engagé), le théâtre ainsi que les contes fantastiques. Les caractéristiques et principes dominants sont : l'imagination et la sensibilité, l'expression du génie individuel, le goût pour l'exotisme, le mystère et la surnaturel, la poésie avec la libération du vers et le drame avec le mélange des genres

l'angoisse, la terreur... La tonalité d'un texte ne dépend pas forcément de son genre - un roman, par exemple, peut être comique et pathétique. Dans un texte, on peut rencontrer les tonalités tragique, pathétique, lyrique, épique, comique, ironique, fantastique... * La tonalité tragique La tonalité tragique vise à inspirer la terreur et la pitié. Elle est très souvent liée au genre théâtral. Elle se caractérise par la mise en valeur d'une sorte de fatalité qui pousse inévitablement l'homme à l'échec