Fantastique Pas Miroir

prendre l’exemple de « Parfum exotique » de Charles Baudelaire, où à partir d’une odeur, un parfum, la dimension sensorielle de la réalité, le poète réalise un voyage par exotique dans l’imaginaire, qui se mêle a la réalité provoquant un effet fantastique. La poésie est capable transfigurer la réalité en ressuscitant d’autres mondes, des époques dont la mémoire reste floue et dissipée. Les Parnassiens par exemple, font revivre des civilisations antiques ou barbares. Cela peut être vu dans « Les

aux enfers pour capturer Cerbère) Péripéties extraordinaires [Exemples] Verne : Michel Strogoff (courrier du tsar de Russie, il doit aller de Moscou à Irkoutsk, route pleine d'obstacles) J.K.Rowling : Harry Potter à l’école des sorciers (scènes fantastiques : déjouer les sortilèges pour prendre possession de la pierre philosophale). 2. Dans ce contexte, certains personnages sortent de l’ordinaire, se démarquent Par leur physique. Certains personnages romanesques se démarquent de la société par leur

sensation d’étrangeté. Le miroir est lié au thème du double et il constitue aussi une image dans l'abîme, c'est-à-dire une image dans une autre. De plus, il ne reflète pas l'image qu'il aurait dû faire apparaître, c'est-à-dire la mariée de dos. Aussi, il ne représente pas les trois qui figure autour d'elle. Enfin, les monstres de la composition comme celui représenté en bas à droite qui comporte quatre seins, font échos aux bestiaires médiévaux rappelant les visions fantastiques de Jérôme Bosch ou encore

et le conte ont des rôles communs. Ces rôles amène le lecteur à : comprendre la leçon, et faire la morale pour faire avancer les choses et se rendre compte du monde qui l’entoure. Le rôle des fables est de révéler aux hommes, un peu comme un miroir fantastique, cette image d'eux-mêmes que leurs habitudes journalières dissimulent à leur vue. La fable permet aussi d'aborder les problèmes de société, comme de courtes comédies très proches de la nature. La fable et le conte permettent de faire réagir

l’encadrent aux sonorités proches (cor/cro). Le « je » objet : « devant moi », « mes regards ». • Caractère absurde de certaines visions : « Je vois le centre de la terre »(v.10) + « Un bœuf gravit sur un clocher » (v.12). - registre fantastique du poème : angoisse et incertitude, doute du lecteur / aux visions du poème : rêve ou réalité ? L’angoisse, l’étrangeté des visions = liée aux nombreuses personnifications qui animent les visions de ce poème : « Une ombre offusque… » (v.2), « les

seraient remplacés par les seules formes grises indéfiniment déformables, des dessins fantasques et sans volonté. A tous moments nos ombres sont prêtes à nous trahir. *     La littérature fantastique.  j.l. steinmetz.   Chamisso (1781-1838), quant à lui, occupe un espace de fiction plus proche du fantastique quand il écrit La merveilleuse histoire de Peter Schlémihl, ou l'homme qui a perdu son ombre (1814), qui promène son héros (dont le nom en yiddish signifie le malchanceux) dans la réalité la

troisième colonne et regrouper les idées qui vont dans le même sens ) I. Une description naturaliste 1 ) ancrage dans le réel 2 ) description ordonnée 3 ) aspect pictural II. la "dérive" fantastique 1 ) le choc 2 ) portrait effroyable 3 ) la dimension fantastique III. une leçon moraliste 1 ) leçon de vanité : retour au néant (ou grandeur et décadence ) 2 ) solitude et abandon 3 ) fin d'un symbole et d'une époque Le naturalisme, mouvement fondé

fonction de l'irréel. Sous cette forme de l'irréel, l'imagination est une fantaisie qui joue avec les formes du réel et prend une certaine liberté / détachement à l'égard du réel. L'imagination révélante implique que l'image soit une force, un miroir entre 2 niveaux de lettres, càd le sensible et l'intelligible. Cette fonction est retrouvée dans le Mysticisme (= ce sont des images du Divin) a une fonction de surréel → pouvoir de penser à l' IMAGINAL. On la retrouve dans certains domaines tels

romancier du XIXeme, définit le roman ainsi dans Le Rouge et Le Noir : “Eh, Monsieur, un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l’azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers. Et l’homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé d’être immoral ! Son miroir montre la fange et vous accusez le miroir ! Accusez plutôt le grand chemin et plus encore l’inspecteur des routes qui laisse l’eau croupie”. Les réalistes cherchent

comme lui gauchers et, comme lui bégayaient. Ainsi, le psychanalyste américain John Skinner estime que la gaucherie est à l’origine de cette obsession du renversement qui constitue l’un des thèmes dominants de Lewis Carroll. Dans De l’autre côté du miroir, le temps aussi bien que l’espace se trouvent inversés. On écrit à l’envers, on souffre d’abord, on se blesse ensuite. Dans ce monde bizarre, il faut s’éloigner du but pour l’atteindre. Quant au bégaiement, il serait peut-être à l’origine des fameux