Farce Métaphysique

 «C'est ce qu'on fait de sa vie dès le plus jeune âge qui est le plus important.»   Dans Ecce Homo, Nietzsche semble s'intéresser autant au corps qu'à l'esprit. C'est sans doute en réaction à ces philosophes mystiques détraqués, ces spéculateurs en métaphysique qui ont tendance à ne compter qu'à la spiritualité au détriment de la santé du corps et de l'équilibre psychique. Il semble donner des conseils de santé ; mais attention ! Cela a double sens, car il y a surtout les nourritures de l'esprit ! Venons-en

libre, car seule elle est sa propre fin." Aristote, Métaphysique il pourrait se demander pourquoi il doit faire cela, pourquoi réfléchir... Pourquoi les hommes philosophent-ils? Quelle est la spécificité de la philosophie? Ces questions ont déjà été posées au quatrième siècle avant notre ère par Aristote, disciple de Platon à l’Académie et membre en quelque sorte de la première génération de philosophes. Dans un extrait de sa Métaphysique, le philosophe traite ainsi de la spécificité de la

realité n’est pas satisfaisante. Donc, d’un point du vue littéraire, Flaubert appartient au courant réaliste. D’un point du vue philosophique, il est un moraliste. Car s’il abhorre la métaphysique qu’il considère comme une discipline vaine et inutile (“Philosophie : on doit toujours en ricaner” ou encore : “Métaphysique : donne l’air supérieur“), Flaubert fait montre d’un profond pessimisme sur la nature humaine, ce qui rappelle la philosophie de Schopenhauer : en somme, l’homme, cet animal borné, doit

auxquelles il était attaché. Il montre que l'on peut améliorer la vie des hommes, qui sont la seule source du mal. Tandis qu'il enfonce la philosophie de Pangloss qui ne tient pas dans la vrai vie. Dans l'excipit Voltaire souligne le refus des métaphysiques et optimiste qu'il critique pendant tout le conte. Analysons maintenant le personnage de Candide qui donne le nom à l’œuvre. Il est évidemment situé comme le héros du conte par Voltaire. Même si c'est le personnage principal du livre le lecteur

antidote naturel sous la forme d’une quête accrue de sens. Alors que les modes intellectuelles dominantes du 20ème siècle (nihilisme, structuralisme, hédonisme, individualisme…) avaient cru reléguer la question du sens dans les oubliettes de la métaphysique, depuis quelques années elle revient en force… Programme semestriel. * 1- Introduction générale, présentation du cours. 2- Quatre penseurs de l’absurde : Sade, Sacher-Masoch, Kafka, Mishima 3- La crise du sens dans la pensée occidentale

courage, Arès donne le courage) L’âme pour les Grecs avant Platon 1. matérielle 2. n’est pas le moi ou l’individu, mais le fantôme 3. interiorité faible, fondé de l’extérieur (je ne suis pas la cause de mes pensées) L’âme pour nous 1. immatérielle (métaphysique au delà) 2. est le moi ou la personalité 3. interiorité forte (je suis la cause de mes pensées) *Platon + Descartes lient les 2 pensées Conception de l’humain chez Platon Ne dit pas que l’âme est le moi le corps ne peut se détenir lui-même,

sauver son amant. Micromégas est un conte philosophique de Voltaire,  Le récit relate le voyage sur la Terre d'un jeune scientifique venu de l'étoile Sirius nommé Micromégas. Micromégas est accompagné du secrétaire de l'Académie de Saturne. La métaphysique est vaine parce que l'homme ne peut trouver de solution à un Univers qui le dépasse, c'est le sens de la parabole du livre blanc qui clôt le conte. L'homme doit esquiver la tentation de rechercher la vérité absolue : la raison du monde échappe

géomètre de l’Antiquité grecque. - Blaise Pascal : mathématicien, physicien et philosophe français du XVIIe siècle, célèbre pour ses Pensées : l’homme se situe quelque part entre l’infiniment grand (l’univers) et l’infiniment petit (l’atome). - La métaphysique : partie de la philosophie qui étudie la nature de l’homme et du monde. - Le muphti : chef de la religion musulmane, chargé de résoudre les conflits juridiques et religieux. - Vétillard : qui s’intéresse aux détails sans importance. - Hérétique

Dieu, fanatisme, guerre, hommes, jésuites, juif, ignorance, inquisition, liberté, martyrs, miracles, philosophie, providence, religion, style, superstition, supplice, tolérance, tragédie. Au nom de la raison et de la tolérance, l'auteur dénonce la métaphysique d'école, l'absurdité des religions, l'historicité des livres saints, les abus politiques et sociaux, les erreurs judiciaires, et défend la «loi naturelle» et le déisme comme les seuls fondements de l'humanité. Condamné en 1765 par le Parlement

de la philosophie se ramène aux questions suivantes : Premièrement, que puis-je savoir ? Deuxièmement, que dois-je faire ? Troisièmement, que m’est-il permis d’espérer ? Et quatrièmement, qu’est-ce que l’Homme ? A la première question répond la métaphysique, à la seconde la morale, à la troisième la religion et à la quatrième, l’anthropologie. » E. KANT (1724-1804) Logique. La première réponse fait se poser des question sur la possibilité des questions que l’homme peux se poser, sans vouloir dire