Farce Vingtième Siècle

Héroïnes et héros romantiques Les grandes figures (littéraires) de la première moitié du XIXème siècle Victor Hugo : Très sensible à la peine de mort, à la souffrance, la torture. La mort de sa fille Léopoldine l’influence dans ses œuvres : Les Contemplations ainsi que le poème « Demain dès l’aube… ». Stendhal : Système de gérontocratie : Etat régie par des personnes âgées. Stendhal et Balzac décrivent très bien de jeunes gens talentueux cela dit humiliés par une classe dirigeante

un autre mal plus grave encore. C'est en ce sens, par exemple, que le terme de « maison de tolérance », était encore usité au début du XXe siècle. 1 Tolérance politique La notion de tolérance est fondamentalement une notion morale, devenue notion politique et juridique. Elle a été théorisée sous cet angle par la philosophie à partir des XVIIe et XVIIIe siècles, une époque où sévissaient en Eu- rope les guerres civiles dites guerres de religion (c’est-à- dire une époque où la religion était le véhicule

Le roman de la condition humaine et sa contestation L’histoire du roman au XXème siècle, en France comme dans toute l’Europe, est largement tributaire des traumatismes collectifs provoqués par les deux guerres mondiales. A la « der des der » à laquelle croyaient participer Péguy et ses compagnons d’armes1 et qui allait devenir la grande boucherie de 1914-1918, devait succéder vingt ans plus tard une horreur pire encore, avec l’extermination systématique et froidement organisée de tout le peuple

tous les autres, spectateurs compris, qui sont « trop aveugles ou trop lâches », ayant pris le parti de ne pas voir, de ne pas vouloir voir. Jean-Pierre Mouchon examine, quant à lui, « le thème da la folie dans le théâtre lyrique des XIXe et XXe siècles », rappelant qu’ « il faut qu’il y ait une adéquation parfaite entre la musique et les sentiments exprimés ». C’est dans cette perspective qu’il examine successivement Anne Boleyn (1830) de Donizetti, Les Puritains (1835) de Bellini (avec le personnage

cinquième. Cette séquence s'inscrit dans le cadre de l'étude approfondie de la narration menée au cours du cycle central avec ici, la maîtrise d'un discours 1 plus complexe en relation avec la progression mise en œuvre en histoire (le XIX° siècle) et en éducation civique (les droits de l'enfant, le travail des enfants). Objectifs d'ensemble : -Lire une œuvre complète -Approfondir l'étude du genre narratif à travers un récit complexe -Dégager les caractéristiques du roman d'aventures historique

quatre jeunes hommes ont promis "une surprise". Au dessert, ils s'esquivent pour … ne jamais revenir, annonçant dans la lettre d'explication qu'ils ont laissé, leur retour définitif dans leurs familles en province. Les jeunes filles s'amusent de cette farce, sauf Fantine, la plus jolie, qui est vraiment inquiète. Elle s'était offerte à Tholomyès et attend un enfant de lui. Cosette livrée "aux loups" Printemps 1818. Fantine quitte Paris et porte dans ses bras la petite fille qu'elle a eu de Tholomyès

annuelle en Europe, c’est qu’il y a une raison. Ils s’achètent une conduite morale ; ils font surtout l’économie d’une véritable réflexion qui, il faut bien l’avouer, est loin d’être facile. 3. Commerce équitable, le colonialisme du vingt et unième siècle La première base du commerce « équitable » est de soutenir le prix versé au producteur ; le deuxième principe de nos dispensateurs de charité consiste à donner leur argent à ceux qui le méritent en répondant à un cahier des charges « social ».

AUTOBIOGRAPHIE DE VICTOR HUGO : Touche à tout de génie, exceptionnel par son implication dans les combats de son temps, autant que par la richesse de son imagination, Victor Hugo domine le XIXe siècle du début jusqu’à la fin. Par sa naissance il se retrouve au cœur des tiraillements d'un siècle mouvementé (un père républicain puis bonapartiste, une mère royaliste et vendéenne). Il évolue du royalisme ultra (une mère royaliste) au socialisme républicain, il sera à la fois brocardé et encensé

seul arbre que les révolutions ne déracinent pas. C’est avec joie qu’il vient à son tour, lui chétif, donner son coup de cognée, et élargir de son mieux l’entaille que Beccaria a faite, il y a soixante-six ans, au vieux gibet dressé depuis tant de siècles sur la chrétienté. Nous venons de dire que l’échafaud est le seul édifice que les révolutions ne démolissent pas. Il est rare, en effet, que les révolutions soient sobres de sang humain, et, venues qu’elles sont pour émonder, pour ébrancher, pour

manipulée par des politiques sans affect, sans cœur[23]. Il manque cruellement un sentir-vrai, un homme qui pense aux hommes et un écrivain qui fonde sur l’affect et sur l’émotion sa vision du peuple et du rôle qu’on lui fait jouer dans la macabre farce de l’histoire. A ce titre, la misanthropie de Bardamu est à repenser en émotion haineuse pour ce que sont devenus les autres comme le moi, les produits seconds, dénaturés d’une mauvaise socialisation. On est soi-même, issu de la guerre, de cette débandade