Fatalité

passions humaines en lutte entre elles ou contre le destin. Tout d'abord Phèdre vient d'un rand social assez élevée car elle est la fille Roi de Crète et de même parvint a épouser le roi Thésée le roi d’Athènes.Phèdre est un personnage frappé par la fatalité,un personnage qui résiste coûte que coûte un personnage submergé qui n'a d'autre choix que de mourir. Phèdre tombe amoureuse de Hippolyte le beau fils de son mari,mais un tel amour pareil ne peut exister. Phèdre en colère envers Hippolyte après lui

Racine. Tout est fermé. -> 17ème période de crise : révolte contre la rigueur religieuse (gens ouverts/jansénisme). Racine vit cette crise, il est tiraillé -> cruauté. Fatalité: Tragédie qui chute inévitablement (vision janséniste, prédestination. La divinité choisit à votre naissance si vous êtes bon ou mauvais). = FATALITÉ DIVINE. Le pêché détruit l'amour, culpabilité -> mort. La révolte contre la divinité ne suffit pas pour sauver les personnages. Amour tragique: la passion, l'amour est

le spectre. La statue représente le lien entre le ciel et Dom juan, de plus dom juan meurt lorsqu’il entre en contact avec la statue. • L’idée d’une statue de pierre renforce l’idée de fatalité et apporte de la froideur, c’est la froideur que possède que le bourreau. • De plus, On trouve aussi celui de la fatalité avec la mort : « traîne, mort, foudre ». Cela renforce l’idée que la statue est chargée d’exécuter le châtiment de Dom Juan. II Dom Juan personnage fidèle à lui-même : une fin tragique

son sort funeste. Aussi, devons-nous nous demander, en quoi le sort d'Oreste permet-il un tel dénouement ? Il nous semble donc intéressant d'examiner comment Oreste sombre-t-il dans la folie et dans quelle mesure cette folie a été provoquée par la fatalité. I) De la mélancolie à la folie 1.La mélancolie On remarque d'abord un champs lexical du malheur et de la souffrance pronocé "malheur" vers 1613 et 1619, "misère" vers 1617. Hyperboles "au comble des douleurs" vers 1616 et "pour être du malheur

répétition du verbe « tuer » l. 1,13,16,26 répétition du verbe « mourir » l. 28,31,32 l.19-20 métaphore pour dire qu'elle est morte «  a rejoint » + l.21 « dans la même terre » 2 – Poids de la fatalité Jan = victime de la fatalité champ lexical de la présence de la fatalité : Jan est victime car il n'a pas su communiquer l.13-14 « mais il ne savait pas trouver la parole qu'il fallait. Et pendant qu'il cherchait ses mots » 3 – La présence du registre pathétique Le lecteur

pour éviter un débordement. Par hasard, il rencontre un des deux Arabes. Ce texte est poignant car sa progression dramatique semble reposer sur le hasard de la rencontre, et pourtant, de nombreux éléments font du dénouement la suite logique d'une fatalité pesant sur le personnage. Mersault revient à la source car il a trop chaud. La chaleur est devenue intense et insupportable. 1. Le hasard Mersault se retrouve face à l’arabe qui est son adversaire et est surpris de le voir à cet endroit (« j’ai

relatif à la tragédie, à la noblesse de ses héros, à son atmosphère pesante, à son dénouement sanglant ; qui se rapporte à l’art de la tragédie, à ses règles propres, à son style soutenu. La tragédie se caractérise essentiellement par le rôle de la fatalité, du destin qui, inexorablement, conduit le héros à l’échec, au malheur et à la mort, en dépit de ses efforts désespérés. Le spectateur sait, dès le départ, que cela va se terminé catastrophiquement : il vient contempler la marche du destin, partager

la fin de cet extrait : Phèdre appelle la mort qu'elle veut recevoir d'Hippolyte. Nous commencerons par étudier les aveux de Phèdre puis nous étudierons pouquoi Phèdre se perçoit comme un monstre et enfin nous montrerons qu'elle est l'objet de la fatalité. I - Aveux de Phèdre Elle se croyait jeune. Vers 8 : la perspective du départ d'Hippolyte l'amène à se réveiller. Elle passe du vous au tu, cette transition marque le début de ses aveux. Elle qualifie Hippolyte de "cruel" parce qu'elle lui affirme

sens figuré, une machine infernale est un mélange de méthodes odieuses afin de perdre quelqu’un, qu’il est question de ruiner sa carrière ou sa réputation. C’est justement sous cette signification que l’expression prend sous la plume de l’auteur. La fatalité fonctionne telle une machine dans le cas où son mécanisme est implacable. En outre, elle est infernale, car elle est d’une cruauté absolue et préméditée. L’horrible récit d’Œdipe est celui d’un piège tendu de longue date, sans échappatoire possible

matérielle et morale dans Les Misérables Poète ou romancier, Hugo demeure le dramaturge de la fatalité et ses héros sont, comme les héros de tragédie, aux prises avec les contraintes extérieures et une implacable fatalité ; tantôt imputable à la société , tantôt à l'Histoire ou bien à leur naissance . Le goût de l'épopée, des hommes aux prises avec les forces de la Nature, de la Société, de la fatalité, n'a jamais quitté Hugo; l'écrivain a toujours trouvé son public, sans jamais céder aux caprices