Fatalité Du Destin Dans Phédre

à ceux-ci ils peuvent ressentir une certaine jouissance. Mais celle-ci peut être nuisible pour les autres puisque lorsqu’on est sur l’est sur l’effet des stupéfiants on n’est pas conscient de ce que l’on fait. Enfin, la passion est une fatalité. Les passions participent de notre affectivité. Elles ne peuvent pas être dominées, car nous ne sommes pas maîtres de nos émotions, ni de l’intensité de celles-ci. Ainsi, dans les tragédies grecques les dramaturges voulaient évoquer la notion de

début de l'acte IV de Britannicus (tragédie). 3. … il peut faire progresser l'action, il « met de l'action » Le conflit permet aussi des révélations qui font progresser l'action. Exemple : Cléante confronté à son père Harpagon qui lui révèle qu'il se destine à lui-même celle que le jeune homme aime ; celui-ci comprend la rivalité et la « guerre » est déclarée ; l'action prend un nouveau tour.  Le conflit porte à leur comble d'intensité les enjeux de la pièce. Il « met de l'action », met de la vivacité

conflit naît dans l’âme du héros partagé entre une passion et son devoir : c’est toujours le devoir qui l’emporte. | Le conflit naît d’une passion longtemps contenue qui se déclenche dans toute sa fureur et fait précipiter tous les êtres vers un destin tragique. | Raison &Passion | C’est la raison qui l’emporte sur la passion. | C’est la passion qui l’emporte sur la raison. | La place de l’amour | L’amour a une seconde place par rapport à des passions plus mâles (la

affirme que le théâtre est un « sport du regard », comme si ce dernier n’existait qu’à la condition qu’il soit vu par un public. Le théâtre, par opposition au roman ou à la poésie, est effectivement un genre littéraire particulier puisqu’il est destiné à être représenté. Il s’appuie sur une convention qu’acceptent auteurs, comédiens et spectateurs : les personnages évoluent sur scène dans une pièce à laquelle il manque un mur et c’est comme si le public assistait à la représentation à leur insu

personnages peuvent s'adresser au public, ce qui créé une sorte de lien avec la réalité. Les spectateurs vont s'identifier à travers des situations ou des personnages, par exemple l'adultère de Phèdre, peut être commun à beaucoup de personnes, quelqu'un pourrait comprendre la situation de Thésée ou celle de Phèdre si il est fautif... Le théâtre est semblable au monde réel. Le théâtre peut être fictif Le théâtre peut également relevé de la fiction. En effet, on le voit notamment avec les personnages qui

dans lequel des comédiens interprètent des personnages et prêtent leurs voix et leurs gestes pour donner vie à un texte. Remarque : le mot « théâtre » s’applique aussi à l’ensemble des activités liées à l’art dramatique (voir théâtre) et au lieu destiné aux représentations, voir théâtre (édifice). Sommaire  [masquer]  1 La spécificité du théâtre 2 L'énonciation théâtrale 2.1 Le texte à lire 2.2 Le texte à dire 3 L’action théâtrale 4 Les personnages de théâtre 5 La diversité des genres

 La tragédie classique La tragédie classique met en scène des personnages de haut rang (Demi-dieux ; héros antiques ; personnages de la Bible…)  livrés à la fatalité et à un sort funeste. A partir de ce canevas, le dramaturge inspire aux spectateurs des sentiments de crainte, de terreur et de pitié. Il expose les contradictions, la misère et la grandeur de la condition humaine. Les contraintes liées à l’élaboration du théâtre classique au XVIIe siècle sont inspirées du théâtre grec et notamment

[[Fichier:Alexandre Cabanel - Phèdre.jpg|thumb|[[Phèdre]] par [[Alexandre Cabanel]].]] La '''tragédie''' est un genre [[théâtre|théâtral]] dont l’origine remonte au [[théâtre grec antique]]. On l’oppose à la [[comédie]] au contraire de laquelle elle met en scène des personnages de rangs élevés et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Aristote lui assigne pour but d’inspirer « crainte et pitié ». '''Autre définition''' : Œuvre dramatique (surtout en vers), représentant

III. L'engagement de l'écrivain. LECTURE ANALYTIQUE N°13 : Phèdre, Racine, Acte V, scène 7 (1677). Problématique : En quoi la mise en scène tragique de la mort de l'hérïne permet-elle une fin morale ? Introduction : -dernière scène : aveu et dénouement. -Phèdre avoue a Thésée le crime dont elle est coupable, celui d'Hyppolyte car il a rejeté son amour. -Phèdre s'empoisonne → mort sur scène alors qu ela règle de la bienséance l'interdit + mort nécéssaire car

fait qu’elle met en scène des personnages de rang élevé, noble qui sont impuissants face aux forces supérieures (des dieux le plus souvent) qui les manipulent. L’enchaînement des événements et le dénouement nécessairement dramatique relève d’une fatalité implacable, qui peut sembler injuste. Elle touche donc le public par la terreur ou la pitié qu’elle fait naître. La tragédie se structure en cinq actes : Le premier acte correspond à l’exposition des personnages, à leur situation. Le second voit