Fausse Mort Paul Valéry

danse macabré des femmes de Marcial d’Auvergne, c’est un discours sur la mort mais c’est aussi la vision de cette dernière au Moyen Age. Ici, la mort annonce à plusieurs femmes (toutes dans une étape de la vie) qu’elles vont mourir. Le XVIème siècle est celui de l’humanisme, de l’école de la Pleiade, et j’ai choisi 5 poèmes, tous de Ronsard chacun appartenant a un thème différent, présents dans la poésie lyrique : la mort, Je suis un homme né pour mourir, la nature, Comme un chevreuil que le printemps

« erroné », ce qui n'est pas vrai, « ce qui est contraire à la vérité », comme dans les expressions : « Avoir des idées fausses sur une question », « Fausses conclusions », « C'est faux ! vous n'avez pas compris ! ». Le mot peut s’appliquer autant aux choses abstraites (« Une fausse morale. De faux principes. »…) qu’aux choses concrètes (« Un faux rapport. Une fausse nouvelle. Une fausse version des événements »…). b) Opposé à réel, le faux serait ce qui n’a pas de « réalité », ce qui est « irréel »

Afrique du Nord. De là, il écrit « Paludes » un recueil de poésies symbolistes et après la mort libératrice de sa mère, il épouse Madeleine. Cette union est en fait un mariage blanc. A la même période en 1897 il achève les « Nourritures terrestres, l’un de ses chefs d’œuvre. La critique le salue. André Gide soutient les Dreyfusards mais ne s’implique pas de manière militante. Il fréquente Paul Valéry et d’autres figures littéraires de l’époque. C’est donc tout naturellement qu’il crée la «

LECTURE, INTERTEXTUALITÉ DES ŒUVRES « Valéry incite à penser en termes de bibliothèque collective et non de livre seul. Pour un vrai lecteur, soucieux de réfléchir à la littérature, ce n’est pas tel livre qui compte, mais l’ensemble de tous les autres, et prêter une attention exclusive à un seul risque de faire perdre de vue cet ensemble et ce qui, en tout livre, participe à une organisation plus vaste qui permet de le comprendre en profondeur. Mais Valéry nous permet aussi d’aller plus loin en

l'ami de Flaubert (1867), rencontre Zola (1876) et fréquente les dimanches naturalistes de Médan. Il publie Boule de suif dans le cadre des Soirées de Médan, recueil collectif publié par les écrivains naturalistes réunis autour de Zola, dont Huysmans, Paul Alexis, Léon Hennique et Henry Céard. La nouvelle de Maupassant est un succès, et il peut quitter son travail administratif. Outre de nombreux contes, il écrit des chroniques pour des journaux (Le Gaulois, Gil Blas, Le Figaro et L'Écho de Paris).

manifeste des 363, Gambetta), majorité républicaine, Mac-Mahon se « soumet » (c’est la « fin des notables » et la dernière grande bataille de la « République des ducs », comme le dit Daniel Halévy) - Le Tour de la France par deux enfants, G. Bruno - mort de Thiers 1878 - exposition universelle à Paris - Léon XIII succède à Pie IX (pape depuis 1846) 1879 - révolution des mairies - majorité des Républicains au Sénat - conquête des hauts emplois - Mac-Mahon démissionne et Jules Grévy est élu

s’apparente à l’aventure mentale, à la quête initiatique que poursuit le poète dans sa descente au fond de lui-même par l’exploration du langage. Orphée revit en chaque poète, et tout poème tient son pouvoir de séduction du héros qui séduisit les dieux de la mort eux-mêmes. De tels pouvoirs s’enveloppent nécessairement de quelque obscurité, or la force du poème ne peut que s’augmenter du mystère dans lequel on le drape, d’où la tendance de certains poètes à dissimuler leur activité aux yeux profanes (ex Mallarmé

jours suivant la naissance. Auparavant elles travaillaient enceintes jusqu’au cou et prenaient quelques jours déduis de leur salaire lorsqu’elles ne pouvaient vraiment plus tenir. Puis elles restaient alitées et accouchaient, faisant par moments de fausses couches dues à un stress trop important : elles s’en remettaient difficilement et avaient beaucoup de mal à repartir travailler pour gagner l’argent dont elles avaient besoin pour elles et leurs autres enfants. Dans le premier cas, elles n’avaient

qu’elles sont devenues des « clichés ». Et de ce fait il n’est plus tellement opportun de les reprendre. Depuis Paul Valéry, nous savons tous que « le temps du monde fini commence ». Cette assertion est évidemment encore beaucoup plus vraie à l’ère de la mondialisation. Mais elle a été trop souvent citée à tort et à travers par des millions de candidats… Il en va de même pour la (vraie ou fausse ?) définition de la culture : « La culture est ce qui reste quand on a tout oublié ». Qu’elle ait été prononcée

d’autres genres romanesques. Cet horizon d’attente est dessiné par Jacques Rivière qui, dans une série de trois articles publiés en 1913 dans la Nouvelle Revue Française3, invoque le “roman d’aventures” contre le roman d’analyse ou psychologique prisé par Paul Bourget. La conception de Rivière ne laisse pas Gide indifférent. “Il dit à peu près ce que j’aurais souhaité dire4”, écrit-il dans son Journal. Il en introduit dans son roman quelques formules : le roman abondant “tout entier en actes”, “composé que