Fausse Promesse Kant

contemporaines et faire face aux règles juridiques. Il faut se débarrasser des idées simplistes qui consistent à croire que dans le passé il y a eu de mauvais systèmes juridiques. Le droit va pas forcément de progrès en progrès → Cette idée montre une fausse idée de l'histoire, c'est une vision progressiste de l'histoire, vision qui à toujours existé, s'est renforcée avec Hegel et Marx pour eux : l'humanité à connue une route toujours en progression pour améliorer les hommes. Ces visons ne montre pas

philosophique et religieuse, même si certaines formes de mensonges sont légitimées par quelques philosophes – comme Benjamin Constant, dans son célèbre débat avec Emmanuel Kant sur le « droit de mentir ». Ainsi, certains mensonges sont punis par la loi, comme l'usage de faux, le non-respect des contrats dans le commerce, ou la fausse déclaration en justice L'opposition vérité et mensonge est courante. La vérité étant une notion parfois difficile à définir de manière absolue, la notion de mensonge

de toute compromission avec les ambiguïtés du réel, mais laisse le monde inchangé. Le politique « met les doigts dans les roues de l'histoire » (Max Weber) et s'il lui arrive de s'y salir, c'est souvent pour réaliser des fins ayant rapport à ce que Kant appelle notre vocation éthique : sortir de l'état de nature, instituer juridiquement le rapport de l'homme avec l'homme, bref dépasser la violence et incarner le droit. Hegel reprend pour disqualifier la belle âme, la formule de Montaigne, utilisée

matérialistes de son temps lui ont reproché à l’image d’un Hobbes par exemple. Cependant, c’est indiscutablement Kant qui a apporté la critique la plus intéressante du cogito cartésien en insistant sur le saut logique qui consiste à passer de la pensée à l’existence. Pour Kant, Descartes a bien prouvé l’existence d’une pensée, mais pas celle d’un support de cette pensée qu’on appelle « je ». Implicitement Kant a déjà annoncé la critique freudienne du cogito, Freud subsituant le ça pense au je pense. 3)

2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un

et du vingtième siècle, le socialisme a apporté une immense espérance. C'est cette espérance, morte aujourd'hui, qui ne peut être ressuscitée telle quelle. Peut-on générer une nouvelle espérance ? 11 nous faut revenir aux trois questions que posait Kant il y a deux siècles : " Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? " Les socialistes du dix-neuvième siècle avaient bien compris la solidarité des trois questions. Ils ne répondirent à la troisième qu'après avoir interrogé

première doit être universel! Si la question de l’être est universel, est-ce que le fait d’étudier Dieu n’est pas en train de trahir la promesse d’une science universelle? Le discours n’a pas basculer d’une science universel vers une science ultra-particulariste. En effet, Aristote a alors un coup de génie qui marque la philosophie jusqu’à Kant: il ne trahit pas a promesse parce que il fait une philosophie première qui touche un être éminent et cette philosophie est universel parce que première. Le tournant

1. Une production humaine 1 2. La question de l’utilité 1 3. Un statut social 1 B. La notion de beauté 1 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La création artistique 1 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 1 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 1 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 1 4. La création artistique est un acte de communication 1

production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un acte de communication

connaît aucun frein, nous surprenons-nous, en même temps à nous vautrer dans des représentations et des opinions que nous savons ne pas être franchement les nôtres. Mais soit pour nous permettre une faveur, soit pour plaire à autrui, soit encore par fausse bravoure, nous nous laissons conduire par des « démons » dont nous voyons bien l'inanité. C'est que nous percevons avec beaucoup de confusion ce que nous appelons le bonheur. Ce qui devrait être nommé plutôt la représentation du bonheur pèse d'un