Fausse Promesse Kant

Impression : Service reproduction Paris I Sommaire Thèmes : l’esthétique et la critique L’ESTHÉTIQUE……………………………………………………….…………………...4 Hume…………………………………………………………………………………………7 Baumgarten………………………………………………………………………………… 9 Kant………………………………………………………………………………………....14 Hegel……......……………………………………………………………………………….21 Nietzsche……………………………………………………………………………………22 Valéry……………………………………………………………………………………….24 Bourdieu…………………………………………………………………………………....25 Timothy Binkley……………………………………………………………………………30

Pourquoi la religion sʼoppose-t-elle à la raison ? Supports de réflexion *** Les tenants de l’utilité sociale de la religion Le drame du XXe siècle n'est pas né d'un excès de l'idée de Dieu, mais de sa redoutable absence. Nicolas Sarkozy, 2008 Une fausse dichotomie entre théisme et authentique humanisme, poussée à l'extrême jusqu'à créer un conflit inconciliable entre la loi divine et la liberté humaine, a conduit à une situation où l'humanité, en raison de tous ses progrès économiques et technologiques

a des actes de volonté qui ne sont pas des actes juridiques car ils ne donnent pas naissance à des obligations. Ex. : un acte de courtoisie est un acte de volonté mais qui n’oblige en rien, acte de complaisance, les engagements d’honneur, les promesses politiques). A) L’acte juridique unilatéral C’est l’acte qui résulte de la volonté d’un seul. Le code civil ne consacre pas une catégorie générale d’acte juridique unilatéral, il ne donne que des exemples. Les actes unilatéraux

liberté : d’après les Lumières la raison est libératrice, au 17eme la raison s’appelle la libre-pensée qui est l’idée que l’on peut par sois même découvrir la vérité. A l’image de Galilée qui dit que la Terre et ronde, même s’il s’oppose à tous le monde. Kant au 18eme siècle dit qu’au fond la modernité c’est ose savoir par toi-même. La modernité c’est le passage de la minorité à la majorité. Quand il est mineur il pense que par les autorités religieuses… alors que majeur il pense par lui-même, ce passage

la pensée?~Maintenant que nous connaissons mieux les opinions, nous allons nous intéresser à l’acte de penser. Étudions la pensée, et alors nous devrions être capables de dire si son association avec les opinions est raisonnable ou non.Penser, selon Kant, c’est faire usage des facultés qui rendent possible une connaissance élaborée, c’est « connaître par concepts et juger ». Relative à la conscience, la pensée doit pour expliquer le monde physique qui l’entoure être capable de s’en abstraire, afin

Textes permettant de prolonger la réflexion sur la question de l’obéissance aux lois   KANT : Sur l’expression courante : Il se peut que cela soit juste en théorie, mais en pratique, cela ne vaut rien. Toute opposition au pouvoir législatif suprême, toute révolte destinée à traduire en actes le mécontentement des sujets, tout soulèvement qui éclate en rébellion est, dans une république, le crime le plus grave et le plus condamnable, car il en ruine le fondement même. Et cette interdiction est

h 21 Annexes PAGEREF _Toc194758058 h 21 Quelques ides supplmentaires PAGEREF _Toc194758059 h 21 Le taosme PAGEREF _Toc194758060 h 21 Le pardon PAGEREF _Toc194758061 h 21 Une thorie de la magie PAGEREF _Toc194758062 h 22 Le devoir dtre heureux (Kant) PAGEREF _Toc194758063 h 22 Il y a tout de mme de belles actions (Montaigne) PAGEREF _Toc194758064 h 22 Juger et comprendre PAGEREF _Toc194758065 h 22 Illustrations PAGEREF _Toc194758066 h 23 Eichmann et la banalit du mal PAGEREF _Toc194758067

définition vide de contenu( état durable de satisfaction complète qui renvoie à un désir absolu). En effet nous nous accordons sur le nom, au sens où le bonheur est recherché pour nous même, mais il y a des accords dans la définition. Néanmoins Kant dans la Critique de la raison pure, « méthodologie transcendantale », chapitre II, 2ème section , formule une définition vide de tout contenu empirique : « Le bonheur est la satisfaction de tous nos penchants, aussi bien extensive quant à leur variété

que l’on ne respecte pas leurs droits tels qu’ils sont définis par la loi (comme lorsque l’on commet un vol, ou un assassinat), soit que l’on nuise à un individu en trompant sa confiance (par exemple par des flatteries, ou des fausses Devoir 03-PH50-09 49 promesses). De là le lien très fort qui unit dans le texte la notion de « vertu », c’est-à-dire d’excellence morale, ou encore de disposition à bien agir, et celle de « justice », c’est-à-dire d’excellence morale dans nos rapports avec

qu’il existerait une nature en dehors de l’homme. Cette nature va venir dicter la conduite des hommes. Plus globalement, l’idée d’autonomie, de volonté est illusoire. C’est illusoire car il y a quelque chose au-dessus de l’homme. Exemple : Dieu ou chez Kant l’idée de loi morale. Exemple ; Chez Platon, l’individu est essentiellement hétérologue. On ne peut pas décider soi-même de son propre sort. C’est la même chose pour Marx, on a également un fort déterminisme, on a chez Marx l’historicisme : il