Faut Il Assimiler Le Vivant à Une Machine

progrès technique a longtemps été assimilé à un facteur de croissance indispensable pour les sociétés industrialisées, car il a engendré des révolutions technologiques, sociales et scientifiques. Cependant, depuis quelques années déjà, la question se pose : le progrès technique est-il réellement au service de l’homme ou l’homme en est-il devenu l’esclave ? Le corpus de documents est composé de deux extraits d’articles de magazines spécialisés : « Entretien avec Edgar Morin » de A. Rapin, extrait

jusqu’à nos jours, des passions se font déchaînées sur ce qu’elle a apporté, apporte et apportera à l’homme. D’un côté, il y a les fervents défenseurs de la science qui trouvent en elle celle qui va sauver l’humanité, dont Ernest RENAN qui affirme qu’ « un monde sans science, c’est l’esclavage, c’est l’homme assimilé à la bête de somme ; le monde amélioré par la science sera le règne des hommes libres » et d’un autre côté, il a ses détracteurs qui ne présagent rien de bon dans l’avenir avec ce

| |Chaque progrès de la civili- |Paradoxe de la rév. Ind. La | | | | |-sation occidentale présente |machine est une menace |Impact néfaste sur la | | | |aujourd’hui un revers (indivi- |pour les techniques hum. |société : | |

> Peut-on assimiler le vivant à une machine ? .......................................................................... 311 Cours-PH00 173 © Cned – Académie en ligne > S’abstenir d’interpréter, est-ce une condition de la connaissance objective ? N. Simondon Cours-PH00 175 © Cned – Académie en ligne lan de la leçon Introduction Première partie > > Position du problème Connaître c’est pouvoir dire ce que sont les choses sans les rapporter à soi ; interpréter

Le vivant Introduction : Le vivant est un adjectif substantivé qui désigne l’être doué de vie. Ainsi, pourront être dits vivants tous les êtres depuis les cellules protozoaires (unicellulaires) et les bactéries jusqu’aux organismes complexes. Le premier problème évident qui se pose est le suivant : le vivant renvoie-t-il à un objet réel ? Ce qui existe, ce sont les vivants, dans leur diversité irréductible : aucun vivant, de l’animal au végétal, n’est la copie conforme de l’autre. Face à l’extraordinaire

L'entreprise est une organisation économique autonome, disposant de moyens humains, techniques et matériels qu'elle combine pour produire des biens et des services destinés à être vendus sur un marché. D'un point de vue générique, l'entreprise se distingue par : * Son objectif : c'est l'essence même de son existence. Il est souvent confondu avec la nature du bien ou service qu'elle produit. On parle parfois aussi de métier ou de domaines d'activités stratégiques[1].  * Les moyens qu'elle

Explication d’un texte de Bergson extrait de L’énergie spirituelle C’est à la méditation d’une expérience concrète que nous invite Bergson dans ce texte extrait de L’Energie spirituelle. A sa lecture, guidés par une pensée qui sait ressaisir sous les événements somme toute banals de notre vie les principes sous-jacents à toute existence, nous prenons connaissance de la fonction et de la valeur de la conscience, de ce qu’agir consciemment veut dire. Deux questions commandent

l’incohérence des hommes en 4phrase « sous » montre la condition pénible d’un enfant accroupi. Vers 5 et 6 : Compare leur lieu de travaille à la prison. Métaphore du lieu de travail. « De l’aube au soir » les 15h sont concrétisé. « Éternellement » travail répétitif. L’adverbe « même » renforce la répétition et la pénibilité. Vers 7 et 8 : Personnification de la machine en monstre. Les enfants ne savent pas pourquoi ils travaillent. La personnification montre que le travail est horrible car ils ont peur

enseigné que nous avions l'aide de nos prochains afin de mieux vivre et apprendre à vivre. Selon Paul Valery, « Rien de plus original, rien de plus soi, que de se nourrir des autres, le lion est fait de moutons assimilés » A travers cette citation, il nous démontre que nous devons mener notre existence en s'appuyant sur les autres. Quant à André Gide : « Vous trouverez conseils qu'en vous même si apprendre à vivre qu'en vivant » Il démontre que seule la méditation sur soi est la clé de la connaissance

Histoire des conceptions philosophiques du vivant C. Lefève I. La philosophie aristotélicienne de la vie : Aristote (384 av. J. –C. – 322 av. J. – C. ) 1. Le vivant, modèle de la physique aristotélicienne Avec Aristote, la philosophie se définit d’abord comme science de la nature : elle s’identifie avec la physique (phusis de phuein : pousser, croître). La physique est l’étude des êtres naturels : ceux-ci sont définis, d’une part, comme changeants et, d’autre part, comme possédant en eux-mêmes