Faut Il Combattre Ses Passions

se passe à Trézène dans une ville du Péloponèse et unité d'action. C) Les procédés pour montrer la passion de Phèdre Pour exprimer sa passion envers Hippolyte, Phèdre utilise le lyrisme, un procédé courant dans la tragédie. On voit aussi l'utilisation de catharsis, les spectateurs voit les personnages s'emparer d'une passion dangereuse, ils se disent ensuite que c'est mal et qu'il ne faut pas reproduire les mêmes erreurs commises par les personnages. Comme dans Antigone de Jean Anouilh, les

De nos jours, le mot « amour » se faufile un peu partout, comme si c’était “une nouvelle drogue“. Nous pouvons ressentir de l’amour pour un être, un animal, un objet, en le montrant par de l’affection, de la tendresse ou encore par de la passion. Prenons le verbe « aimer », peut-on encore dire qu’il a la même signification qu’à l’époque de nos grands-parents ? Camus a dit : « Aimer un être, c’est accepter de vieillir avec lui ». Mais est-ce toujours le cas ? Peut-on aimer d’une manière permanente 

tous les hommes éduqués et raisonnables peuvent éviter les excès en tout genre, soit en trop, soit en moins. Il ne faut que rechercher le juste milieu, qui est synonyme pour Aristote de bonheur. La vertu concerne donc, les passions et les actions des hommes, et c’est dans nos actions et nos passions qu’il y a soit excès, soit un manque ou dans le meilleur des cas, un juste milieu. Il faut savoir éprouver les sentiments comme il convient et savoir conserver la vraie mesure, afin de ne pas exagérer ou

engendre : « sujets de larmes » v. 265, « haine » 269, « périsse » 273, « supplice » 274, « cruel » 275, « criminel » 276, « venge » 277, « tout perdre (…) par vos coups » 280, « menacé » 282, « tout le sang » 285, «  en cendre » 286, « périls » 289, « combattre/ combattant » 292-295-307, « ennemis » 296-305, « captive » 301, « pleurs éternels vous avez condamnés » 304. Troie est vue alors sous deux aspects, comme un passé idéal face à un présent malheureux avec des références à la famille, au jeu des pronoms

bonheur, il faut noter qu’un chemin est meilleur que l’autre pour y parvenir et donc se rapprocher davantage de cet état. Ainsi, le problème est le suivant : Quel est en réalité le meilleur des deux moyens ? Autrement dit, à défaut de parvenir au bonheur idéal, la satisfaction de ses désirs doit elle passer par l’intensité ou la modération ? Pour répondre à ce problème, Rousseau tranche entre les deux. Il défend la thèse selon laquelle la modération de ses passions est le meilleur

par rapport à la comédie. Cette comparaison peut s’expliquer par l’impression d’éloignement qu’elle donne au spectateur tant par sa forme que par sa mise en scène. Mais peut-on dire que les héros tragiques sont trop éloignés des spectateurs ? Il faut d’abord situer le heros tragique et définir son impact sur le spectateur. Les origines de la tragédies remontent aux rites festifs en l’honneur de Dyonisius à Athènes, les cérémonies funéraires et le culte des héros. La tragédie aurait emprunté

III, scène 6 :  Don Diègue, son père , lui conseille: «  Ton prince et mon pays ont besoin de ton bras… Les Maures vont descendre … Là, si tu veux mourir, trouve une belle mort…Fais devoir à ton roi son salut à ta perte…. Viens, suis-moi, va combattre et montrer au roi. Que ce qu’il perd au Comte il le recouvre en toi». L’acte IV est entièrement centré sur tous les succès et la vaillance de Rodrigue ou non, toutes les scènes chantent sa gloire à l’exception de la scène. Sc 1 : Chimène : « Et

..................................................................... 2 I.1. La passion............................................................................................. 2 I.1.1. La passion du pouvoir : ...................................................................... 2 I.1.2. La passion c’est la passivité................................................................. 3 I.1.3. Ces deux passions de Néron expliqueront qu’il s’en prenne à Britannicus. . 4 I.2. L’insensibilité

« Il faut nous quitter, ma fille, lui dit-elle, en lui tendant la main ; le péril où je vous laisse et le besoin que vous avez de moi augmente le déplaisir que j’ai de vous quitter. Vous avez de l’inclination pour M. de Nemours ; je ne vous demande point de me l’avouer : je ne suis plus en état de me servir de votre sincérité pour vous conduire. Il y a déjà longtemps que je me suis aperçue de cette inclination ; mais je ne vous en ai pas voulu parler d’abord, de peur de vous en faire apercevoir vous-même

que « l'héroïsme cornélien n'est autre chose que l'exaltation de la volonté. », car elle met en valeur la volonté en repoussant l'amour. On voit ici l'influence de la pensée stoïcienne. En effet, la morale stoïcienne dit qu'il ne faut pas laisser naître en soi les passions, mais les détruire, ce qui se fait grâce à la raison et donc la volonté. Passons à la suite de cette citation : « La volonté aspire à réaliser ses déterminations, elle est active ; de la vient que l'action, chez Corneille, ricoche