Faut Il Compter Avec Ou Sans Autrui

Laura Philosophie Surtour TL2 « Faut il haïr les autres pour être soi même ? » Être soi même relève un problème lorsque l'on prend en compte que l'homme est un animal vivant en société. Le problème est donc le suivant, dois je me détacher d'autrui pour être un individu unique, avec une personnalité propre ? Nous verrons dans un premier temps qu'au contact avec autrui, j'ai tendance à l'imiter, et que m'en détacher serait le mieux pour moi. Dans une deuxième partie, nous verrons que l'affect

Peut-on juger autrui ? Juger à l’origine c’est opérer une distinction. Identifier qui je suis et qui est l’autre, en quoi je lui ressemble et en quoi nous sommes différents. Autrui est l’autre, mon semblable, qui partage mon quotidien. Il arrive souvent que lorsqu’il fait un acte, banal ou pas, il entre en désaccord avec moi. Que faire ? Suis-je à ma place pour le juger ? Peut-on juger autrui alors qu’il est notre égal ? Le plus souvent je le juge même sans le vouloir car je ne peux m’empêcher

AUTRUI LA PERSONNE INTRODUCTION Pourquoi étudier ensemble ces deux notions ? Quel est leur lien ? Elles renvoient toutes deux à une même réalité depuis un point de vue différent: l’existence de fait des autres autour de moi. Autrui: insiste sur la différence irréductible entre moi et les autres, sur l’altérité des autres et la spécificité du moi. Autrui, c’est surtout ce que je ne suis pas, ce que je ne peux pas comprendre. Personne: insiste sur l’identité de fond qui fait que je suis

Introduction : « Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même : j’ai honte de moi tel que j’apparais à autrui. […] La honte est, par nature, reconnaissance. Je reconnais que je suis comme autrui me voit.» Jean-Paul Sartre, L’Être et le Néant (1943). La communication intra personnelle n’est autre que le jugement que nous portons sur nous-mêmes, bien que celui-ci apparaisse comme indissociable du jugement que les autres portent sur nous. L’Autre me scrute, me perce à nu, et

Sartre, Descartes, Nietzsche, Hume ou encore Freud ont essayé à travers leur thèses bien que différentes à découvrir la source de la connaissance de l'homme. L'identité d'un l'individu peut être altéré par différents éléments comme nos relations avec autrui, notre volonté ou ce que nous ne pouvons percevoir soit l'inconscient. On peut exprimer l'idée que le temps nous fait sans cesse changer, en effet, on ne peut faire aucune similitude avec se que je fus lorsque j'était jeune, avec ce qui je suis aujourd'hui

D) AUTRUI Le mot « autrui » désigne l’humanité entière, autre que moi-même. Certes, autrui pour nous est souvent constitué des personnes de notre entourage, quartier, école, famille etc. Cependant, il suffit d’aller faire des études supérieures, pour rencontrer des gens issus des sociétés les plus lointaines. Il suffit de voyager à l’étranger pour voir une société et une culture différentes. Les guerres, les échanges commerciaux, culturels font se rencontrer les cultures. Nous sommes

Autrui : -Autrui est un sujet, un statut particulier parmi les choses qui m’entoure. -Il m’est donc a la fois semblable et irréductiblement différent (le moi qui n’est pas moi) : Nous sommes deux êtres uniques  -Reconnaitre autrui, c’est lui devoir ce qui n’est pas exigible pour une chose : Le respect moral. Autrui, c’est l’autre et je le reconnais comme une personne, un être humain ayant une valeur morale. -Je dois chercher à déduire une morale ( une attitude obligée) de la perception de ressemblances

conscience de ses faits et gestes, il peut donc se prendre lui même comme objet de réflexion et s'analyser. On dit souvent "je suis moi-même" c'est-à-dire qu'être soi-même est d'assumer son originalité. Quand à la solitude, c'est une éclipse des liens avec autrui, l'isolement en est la privation. Nous allons donc nous demander : Est-ce dans la solitude que l'on prend conscience de soi? Dans un premier temps nous allons nous pencher sur une réponse positive à la question, c'est-à-dire que la solitude favorise

Autrui : « Autrui c’est l’autre, c'est-à-dire le moi qui n’est pas moi » Sartre. Il faut réserver ce terme aux être humains. L’autre, c’est l’être humain que je ne suis pas, et il est autrui dans la mesure où je ne suis pas lui. Par définition, autrui se distingue de moi : c’est ce que l’on appelle l’altérité→ caractère qui fait qu’il n’est pas comme moi. Lorsque l’altérité est très forte, elle peut devenir étrangeté : différence par la couleur de peau, physique, mœurs, coutûmes, langue, vêtements…

L'existentialisme est un humanisme est un ouvrage philosophique de Jean-Paul Sartre, publié en 1946 et considéré comme l'exposé de sa conception philosophique. Le texte que vous avons à étudier est un extrait de cet ouvrage qui soulève la question du rôle qu'à autrui dans la connaissance de soi. Selon Sartre, l'autre serait indispensable à mon existence ; c'est lui et lui seul qui serait apte à nous juger ainsi qu'à nous permettre de mieux nous appréhender. En effet il serait le "médiateur entre moi et moi-même"