Faut Il Connaître Un Objet Pour Le Trouver Beau

les relations entre la raison et les passions, c’est-à-dire entre la représentation et le désir. Est-ce la représentation qui suscite le désir ou le désir qui produit la représentation ? D’un côté il faut que je voie une chose et comprenne par la pensée qu’elle est bonne pour que je la désire . Et il faut admettre que le désir est parfois déclenché par une représentation : quand par exemple je rencontre une femme dans la rue, et que cette perception (image, représentation) déclenche en moi un désir

la citation est d’appuyer, de justifier, d’étayer et d’apprécier d’un argument ou d’une idée encore appelée thèse ou position. Ce rôle nous laisse comprendre sans toutefois le dire explicitement qu’il faut savoir utiliser les citations où il faut, comme il faut et quand il faut. Cependant, il ne faut pas en abuser car, « tout ce qui est de trop, nous dit Boileau, est rebutant et fatigue »le correcteur. Donc, 3 à 4 citations et 5 au maximum, suffisent pour renchérir et crédibiliser son devoir de dissertation

qui se fait sans que l'homme y « prête la main »), alors force est de reconnaître qu'il n'y a rien de plus quotidien que les objets d'art : ce sont eux qui constituent notre monde. Mais parmi toutes ces créations du produire humain, nous en distinguons certaines, les œuvres d'art, nées du travail d'un artiste et non d'un artisan, et qui semblent trancher par rapport aux objets peuplant notre réalité quotidienne. Certes, je peux passer devant cette statue sans la regarder, parce que je la croise tous

fort aise. Eh bien! dansez maintenant. Jean de LA FONTAINE (1621-1695) Ce qui m'a plût dans « la Cigale et la Fourmi » est sa moralité. LA FONTAINE veut dire que avant de s'amuser il faut travailler pour ainsi ne pas se retrouver sans rien. Le travail est donc une valeur fondamentale et qu'il faut savoir être prévoyant. Il dénonce également l'avarice de la Fourmi ! J'aime également cette fable comme toutes les autres de LA FONTAINE qui révèle les principales défauts des hommes en se

d'hommes que les seuls Européens ; encore paraît-il aux préjugés ridicules qui ne sont pas éteints, même parmi les gens de lettres, que chacun ne fait guère sous le nom pompeux d'étude de l'homme, que celle des hommes de son pays. Les particuliers ont beau aller et venir, il semble que la philosophie ne voyage point, aussi celle de chaque peuple est-elle peu propre pour un autre. La cause de ceci est manifeste, au moins pour les contrées éloignées. Il n'y a guère que quatre sortes d'hommes qui fassent

mais même d’une femme bien née ».  Logique avec lui-même, Platon ne recherche d’ailleurs pas le beau dans l’art mais dans le monde des Idées, le monde sensible, l’âme et le corps humains. Le Platonisme cherche en effet les modèles du beau dans la nature, les actions et la plastique humaines et, bien évidemment, dans le monde des Idées, parfait par définition. En bref, à ses yeux, l’art et le beau artistique ne sont que fantômes et tromperies, illusions au second degré de la vraie réalité, c’est-à-dire

théologico-politique : 1. L'originalité de l'auteur : Chez les anciens, le Beau se définit en termes objectifs ("mesure et proportion" - Philèbe) qui expriment l'ordre divin ou cosmique et non pas en termes subjectifs. On ne cherche pas le nom de l'artiste alors qu'aujourd'hui on connaît le nom de certains artistes sans connaître leur production. Le Beau ne s'impose pas comme un espace a priori commun. La vérité de l'œuvre d'art se trouve maintenant dans l'artiste (Nietzsche), elle est devenue totalement

réponde, à cause de l'harmonie de l'âme et du corps; mais les impressions qui qui sont dans l'âme et le corps, destituées des attraits de la nouveauté, ne sont pas assez fortes pour s'attirer notre attention et notre mémoire, qui ne s'attache qu'à des objets plus occupants. Toute attention demande de la mémoire, et quand nous ne sommes point avertis pour ainsi dire de prendre garde à quelques unes de nos perceptions présentes, nous les laissons passer sans réflexion et même sans les remarquer. Mais si

absolu […] ». Cela démontre clairement ses intentions, c’est-à-dire de vouloir se lancer dans la politique tout simplement, car il croit être meilleur par sa beauté, ses contacts appartenant au premier rang et l’influence de ses tuteurs. Cependant, je trouve qu’Alcibiade se lance dans la politique sans y avoir réfléchi puisqu’il ne connait aucune technique en politique. Il croit être apte à diriger un État en les éclairant sur les éléments qu’il maîtrise bien, ces éléments se résument « à lire et à écrire

les relations entre la raison et les passions, c’est-à-dire entre la représentation et le désir. Est-ce la représentation qui suscite le désir ou le désir qui produit la représentation ? D’un côté il faut que je voie une chose et comprenne par la pensée qu’elle est bonne pour que je la désire . Et il faut admettre que le désir est parfois déclenché par une représentation : quand par exemple je rencontre une femme dans la rue, et que cette perception (image, représentation) déclenche en moi un désir