Faut Il Douter Pour Atteindre La Vérité

chose parce qu’on la juge bonne, on la désire parce qu’elle est bonne. Rousseau : « Malheur à qui n’a plus rien à désirer », l’imagination permet de représenter par avance le plaisir de la possession. Descartes : « Pour être toujours heureux, il ne faut pas désirer l’impossible », « Il vaut mieux changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde » Freud : Deux pulsions, la vie et la mort Travail : Toute activité contrainte dont la fonction première est la satisfaction de ses besoins. Marx : Travailler

L'ART PEUT IL MANIFESTER LA VERITE? Par définition l’art est l’expression d’une société, la production d’un objet par l’homme en opposition avec un objet produit par la nature. La vérité est une représentation mentale ou une expression conforme à la réalité. L’art peut il manifester la vérité ? est une question paradoxale car, elle semble indiquer que malgré l’opposition entre les deux termes : « l’art » et la « vérité » ont lien. Mais comment cela se pourrait il ? Comment l’art pourrait

souffrance si l'on n'arrive pas à la satisfaire d'où le fait de se libérer du désir. Nous pouvons donc nous interroger sur la nécessité du désir: faut il le libérer ou s'en libérer ? Pour répondre à cela nous pouvons tout simplement établir une construction en miroir avec dans un premier temps, faut il libérer le désir ? Et dans un second temps, faut il se libérer du désir ? Tout d'abord, le désir n'est il pas l'essence même de l'être humain ? N'est ce pas le désir qui donne un but à notre

de la Méthode). Descartes cherche un fondement sûr pour bâtir la connaissance, un point fixe à partir duquel fonder le savoir et accéder aux vérités. Il propose alors une méthode pour y parvenir : le doute. Celle du doute consiste à volontairement mettre en doute ses connaissances et ses opinions. Le sujet prend alors conscience qu'il est en train de douter. Or, un sujet qui doute serait un sujet pensant. Donc, selon sa théorie, si je doute, je pense ; et si je pense, je suis. Par conséquent, dans

Faut-il se méfier de ses certitudes ? La certitude est le « caractère de ce qui est certain, assuré, indubitable. Elle est la conviction, l’assurance pleine et entière que l’on a de la vérité de quelque chose. » On est certain d’une chose lorsque l’on porte un jugement qui exclut le doute et la crainte de l’erreur. Il est important de constater que c’est un état qui touche chacun de nous dans le rapport que nous entretenons avec la réalité. Certaines expressions telles que « j’en mettrai ma main

penser les autres à sa place. On a le choix et les humains sont les seuls à pouvoir délibérer. • Il traduit aussi la légitimité → En a-t-on le droit ? Si oui, en a-t-on le devoir ? Problématique : Est-on capable de penser par soi-même et si oui, faut-il revendiquer ? La pensée autonome n’est pas immédiate : Il existe des déterminations qui pèsent sur ces pensées La Bruyère : « Quand on vient au monde il est trop tard. Tout est dit ! » Première détermination : La culture et la langue

QUIRIN Jules - L1 Philosophie 1 Faut-il redouter l’ignorance?15/20La copie, bien qu’inégale, se structure de plus en plus pour parvenir à construire une réponse qui utilise le cours judicieusement. Le redressement est spectaculaire au fil des pages, et relativement à votre première copie, d’ailleurs.Voir aussi mes commentaires en marge.Nous redoutons, il est présupposé, ce qui nous apporte un mal, alors que nous désirons ce qui nous est un bien. Ce qui est source

ETUDE - PENSÉES, PASCAL Fragment 78 – L'imagination “C'est cette partie dominante dans l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté, et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours, car elle serait règle infaillible de vérité si elle l'était infaillible du mensonge. Mais étant le plus souvent fausse, elle ne donne aucune marque de sa qualité, marquant du même caractère le vrai et le faux. Je ne parle pas des fous, je parle des plus sages et c'est parmi eux que l'imagination a le grand

produites un sens. Entre temps il s’est aperçu que ce qu’on lui a dit était faux. Descartes veut faire Table rase, pour s’assurer qu’il n’y aura plus à y revenir. Il lui faut de l’audace et une très grande liberté car il réinterroge tous les philosophes, tout le savoir. Il a d’ailleurs attendu d’avoir « un age mur »pour atteindre la sagesse, et ne pas se précipiter ni trop attendre. Dans le premier paragraphe, il explique ce qu’il va faire et les raisons et l’objet des méditations. Pour trouver

conformément à l’entretien qu’il a eu avec M. de Saci, jauge en particulier deux philosophies qui s’opposent : le pyrrhonisme d’un Montaigne et le dogmatisme d’un Descartes. Mais plutôt que de stigmatiser les erreurs de chacun, il montre en quoi la vérité peut être approchée de la combinaison des deux. En fait, c’est le caractère extrémiste qu’il condamne, partant du principe que le doute est acceptable car la raison ne peut pas tout démontrer et vice-versa. Du coup, il cherche à déplacer le point