Faut Il Favoriser Le Libre Echange Ou Le Protectionnisme

40% la route des Indes, le canal de Kiel et celui de Panama. B) Quel est le cadre juridique ? : 1- Le libre-échange : Le libre-échange est adopté en Grande-Bretagne en 1846 et les droits de douanes sont abolis par Richard Cobden. Dès 1776, Adam Smith prônait la division intérieure du travail, c’est-à-dire leur spécification. La richesse doit venir du libre-échange en diminuant les coûts. Ricardo en 1815 déclare qu’un pays a intérêt à se spécialiser dans une production.

pensée, mais aussi par les honneurs ou le plaisir. Il admet, dès lors, que les objets matériels puissent concourir au bonheur des Hommes. Il distingue l’échange tourné vers la satisfaction des besoins, qu’il nomme « chrématistique naturelle », qu’il faut encourager, et « la chrématistique mercantile » qui consiste en l’acquisition ou l’échange en vue de l’enrichissement, qui elle doit être condamnée. En conséquence, la monnaie doit rester un instrument d’échange et ne pas servir à l’accumulation des

simple et générale de la mondialisation économique Augmentation des échanges économiques internationaux Echanges de biens, services, facteurs de production (capital, travail, technologie et connaissances) Intégration et interdépendance croissante des économies nationales Relations entre les pays qui deviennent de plus en plus intenses L'activité économique dans un pays affecte celle des autres (contagion). Il ne faut pas confondre mondialisation et libéralisme : Le libéralisme : courant

Royaume Uni par rapport à 1880 qui constitue la base 100, la base de cette étude des prix. Cela s’explique sans doute par le conflit opposant le Royaume Uni à la France républicaine et bientôt à l’Europe Napoléonienne et aux Etats Unis (1812-1815). Il ne faut oublier les effets du blocus continental de 1806 instauré par Napoléon afin d’asphyxier le Royaume Uni. On constate que l’indice est de 157 points en 1800 et atteint les 194 points en 1812. Ensuite à partir des années 1820 on constate une baisse régulière

base d’une union douanière. Il y a suppression des droits de douane et restriction quantitative (quotas) sur le commerce intra zone. Parallèlement, un tarif extérieur commun est instauré sur les importations extra zones de produits industriels. Il faut noter toutefois que le marché commun au sens strict du terme aura du mal à voir le jour. Il demeure en effet des différences de réglementation, de normes entre les pays, d’où la nécessité ressentie plus tard d’instaurer un véritable marché commun que

développés et l’establishment international de la pensée sur le développement, qu’ils contrôlent, exercent une forte pression sur les pays du Sud afin que ces derniers adoptent de « bonnes politiques économiques » et de « bonnes institutions », censées favoriser leur développement. [1] Cet article est un résumé de mon dernier ouvrage, Kicking Away the Ladder. Development Strategy in Historical Perspective (Anthem Press, Londres, 2002). Le lecteur pourra y trouver une bibliographie complète. Comme chacun

limites du libre-échange » de Paul Krugman. Pierre-antoine Meens Fiche de lecture « La mondialisation n’est pas coupable – Vertus et limites du libre-échange » de Paul R. Krugman. Plan : Introduction : présentation de l’auteur I/ L’ouvrage II/ La thèse de l’auteur III/ La méthodologie de l’auteur IV/ L’analyse critique Fiche de lecture « La mondialisation n’est pas coupable – Vertus et limites du libre-échange » de Paul

manque de gain : pour acheter un bien inférieure (comme le sucre, par exemple) on devait faire la queue pendant des heures, et heureuses étaient le personnes qui pouvaient obtenir le bien désiré, car la pénurie était bien présente. L'absence des échanges mène donc à une stagnation des économies, au lieu d'enrichir et d'améliorer le niveau de vie. Par rapport à celles du XVIIIe siècle, les économies contemporaines dépendent de la spécialisation dans certaines activités et sont reliés par

l'économie ne jouait qu'un rôle mineur, les échanges étaient contraint par une infinité de règles, de barrières et de passe droit. Les prix résultaient d'avantage de décisions publiques ou corporatistes (par volonté gouvernementale) que du marché. L'essentiel de la production était destiné à l'auto-consommation ou était livré à titre de redevance au propriétaire du sol (seigneur ou clergé). Seul quelques marginaux s'intéressaient à l'économie. Il faut attendre Adam Smith (1723-1790) et son ouvrage

améliorer sa condition, s'enrichir, il faut fournir l'effort « travail ». En effet, dans la mesure où on ne vit pas dans une société d'abondance, il faut faire un effort. À l'inverse, dans une société d'abondance, il n'y aurait pas d'économie. → L'épargne : c'est effort que l'on fait puisqu'elle consiste à remettre une consommation à plus tard. L'effort solidaire veut dire que pour progresser et pour améliorer les conditions d'existence de chacun, il faut faire un effort collectif. Cela pose