Faut Il Juger Sur Les Apparences

(contrainte des lois de la nature) : liberté, volonté ; domaine politique (obéissance aux lois) : Etat, pouvoir ; domaine moral (influence des autres) : autrui. 2 - Analyser les termes secondaires : tout sujet est singulier, c'est-à-dire que, malgré les apparences, il ne se réduit pas à un sujet voisin sur le même thème. Or ce qui donne à un sujet son sens particulier, ce sont les termes secondaires (n'appartenant le plus souvent pas au vocabulaire traditionnel de la philosophie) qui éclairent la notion principale

L'art est-il utile ? Quels seraient les critères valables pour juger de l’utilité ou non de l’oeuvre d’art ? L’art ne doit-il être jugé que pour son utilité ? Le peut-il ? Doit-il avoir une utilité, ou doit-il justement ne pas en avoir pour être art ? Ne pourrait-on pas montrer que l’utilité de l’art, ce serait paradoxalement de ne pas en avoir et le soustraire ainsi à cette catégorie qui détermine tant de choses de notre existence, entravant souvent la liberté, pour pouvoir considérer l’art

était ainsi fait). Toutefois, à l'intérieur, on conservait de fines substances : baume, ambre gris, amormon, musc, civette4, pierreries et autres choses précieuses. Tel était Socrate. Car en jugeant son aspect et en l'estimant selon son apparence, vous n'en auriez pas donné une pelure l'oignon, tant il était laid et ridicule : le nez pointu, le regard bovin, le visage d'un fou, simple dans ses mœurs, rustique dans ses vêtements, pauvre, malheureux avec les femmes, inapte à toutes les

entre eux. A- Caractérisation de la notion d'art 1) Signification générale du terme d'art On notera tout d'abord que le terme d'art est ici pris dans toute sa généralité : il ne s'agit pas des beaux-arts à proprement parler. Il faut noter que le terme d'art n'a pas toujours signifié l'activité créatrice d'oeuvres belles. En effet, jusqu'au 18e, il a été synonyme de "technique", et a englobé le domaine de l'activité humaine capable de production. Ainsi pour Aristote l'art

cantonne dans l’exécution d’un seul objet, il ne faut pas y voir une supériorité de l’artiste. Il faut simplement comprendre qu’il copie les apparences de ces imitations de la Réalité que sont les productions de l’artisan, alors que l’artisan, au moins, copie la Réalité elle-même. Il ne copie que les apparences, et peut donc les copier toutes puisqu’il ne va jamais chercher l’essence. L’art est donc dévalorisé, dans son attachement à des apparences des copies de la réalité. Nous comprenons donc que

que l’existence précède l’essence. Nos actes sont jugés par les autres, c’est donc l’image qu’un individu donne de lui-même, appelée par Sartre le pour-autrui, qui permet de définir si nos actions correspondent à nos idéaux. Le pour-autrui permet de juger de nos actions, et donc de notre essence. L’Homme étant libre d’agir, il a une responsabilité. S’il assume ses choix, ceux-ci seront en accord avec le pour-soi. Son pour-soi et son pour-autrui seront donc compatibles. Nos actes ne reflètent cependant

réaction d’incrédulité de son entourage. S’il jugeait une idée vraie (comme : le tyran est le plus malheureux des hommes), il ne variait pas dans son jugement sous prétexte que les autres ne partageaient pas son avis.   Pour penser par nous même, il faut donc savoir se recentrer sur nos propres idées. Mais cela veut-il dire qu’il ne faille tenir aucun compte de la pensée des autres ?   Reprenons le cas de Galilée. Se désintéressait-il totalement de la pensée de ses contemporains ? Non, il ne se

une culture. Selon Hegel, tout comme l’esprit ou le génie d’un peuple, les critères pour décider du beau sont en rapport avec une forme de religion et il y aurait toujours une religion objective et une religion subjective. Par religion objective, il faut entendre celle qui s’adresse à la mémoire et à la raison en ayant des commandements fermes et définitifs qu’il ne faudrait pas tellement sentir mais comprendre . Au contraire la religion subjective s’adresse au cœur et à l’imagination et accepte d’être

que l'Homme trouve en lui. C'est la conscience morale, cette conscience qui juge de ce qui est bon ou mauvais pour moi mais aussi et surtout pour autrui. Pour ainsi être capable d'opérer un assez bon jugement pour satisfaire sa conscience morale, il faut alors reçu une éducation ou pouvoir se référer à un modèle. Peut-on dire que le respect stricte des règles de la morale fait de moi un homme moral? Puis-je me placer aux yeux d'autrui comme un homme moral par le simple fait que je respecte un certain

compte.) 3/Qu’est-ce qu’on fait du probable ? Les sceptiques ne trouvent jamais le vrai. Est-ce que le sceptique suit le probable ? Important chez Hume c’est que nos affirmations sont des croyances, de l’habitude donc si je sais ça, je peux affirmer, juger, nier. => doute beaucoup plus modéré qui n’empêche pas le doute. Aporie = ce qui est sans limites, sans fins, sans résolutions. On utilise ce terme aussi dans l’Antiquité et jusqu’au MA pour qualifier les sceptiques. (aporétikoï) Ce terme a son