Faut Il Juger Sur Les Apparences

pour laquelle Socrate n'a que peu d'estime. Si Criton est mal vu par l'opinion publique, où est le problème ? Sachant que l'opinion publique se permet de juger sans avoir la pleine connaissance du problème, ce qui pour Socrate est une faute : l'ignorance du problème empêche de lui trouver une juste solution, sans connaissance des faits on ne peut juger. Le peuple juge selon l'apparence, non selon les faits, il juge selon le vraisemblable. De fait, pour Socrate seule compte l'opinion des plus raisonnables

« l'habit ne fait pas le moine » puisqu'il s'appuie lui aussi sur l'ordre du visuel, de l'apparence, de l'aspect extérieur. Mais est-ce que Pascal détourne le proverbe? Et est-ce mal ou est-ce bien d'être impressionné par cet avocat, par cette apparence? Pascal utilise le terme « grimace » à la page 45 dans ses Pensées. Contrairement aux rois qui ont la force et la puissance, qui n'ont pas besoin de grimacer, ni de « déguisements » pour avoir une posture social considérable, ceux qui en ressentent

qui ne l’est pas, est injuste. On voit donc se dessiner sous nos yeux une opération de prestidigitation qui consiste à détourner le regard de celui qui voit l’injustice, et supposons-nous s’en plaint, en le convertissant : vous ne regardez pas où il faut, si vous regardiez bien, vous verriez les fins ( traduisez les causes d’une action) et non pas les moyens et alors ce qui vous échappe à cause de votre trop courte vue vous apparaîtrait : la justice, qui suppose, pour être réalisée ici bas, quelques

comparent à objets communs du lecteur « comme nous en voyons […] apothicaire » (l7), les caractérisent (l8). Parallélisme, au moment de les décrire, entre décor des boites et ce qui est au-dedans, ce qu’elles contiennent, pour faire comprendre apparence boites et contenu sont opposés. Extérieur « figures frivoles » (l8), intérieur « de précieuses essences » (l12-13). -Disproportion entre partie exter et partie inter. Exter est développé et fantaisiste, énumération comique, assonance

visées dans les faits,on montre qu'une certaines violence est maintenue et imposée par le droit lui-même. Est-elle necessaire?toutes les politiques ne sont pas comparables et certains états se montrent plus tyranniques que d'autres. =>Il faut donc juger la part +ou- excessive de la violence en politique. La violence s'exerce effectivement dans le champ politique. A. la violence du pouvoir sur ses citoyens légitime car necessité des lois et donc de la répression, c'est légitime parce que

l'extrait _ Un constat amer sur la  nature humaine : d'un coté comme de l'autre, babouc émet un constat très sévère sur les Hommes._ Des scènes  paradoxales : action de générosité, grandeur d'âme, d'humanité._ La morale : Il faut savoir dépasser les apparences et ne pas juger trop attivement. Babouc --> la saleté de la ville puis ses merveilles et rencontre ses habitants eux-mêmes habités par la jalousie, (la discorde=== ) et la vengeance. Le savoir et la compétence ne sont ni reconnus à leur

prison pour une affaire d’emplois de complaisance en 1990 où il reconnaît avoir détourné des fonds publics notamment. - Des procédures de votes, de mis en œuvre et d’application des lois extrêmement longues. Remarque : entre deux élections, il ne faut pas oublier qu’il s’opère une confiscation du pouvoir. Transition : → On constate que dans ce système : La liberté d’expression même pour des partis extrémistes, le droit de vote pour tous, même pour les plus ignorants sont autant d’éléments

Introduction : Un sujet est un être conscient, doté de conscience mais est-il capable de savoir qui il est ? Une identité est ce qui détermine une personne ou un groupe. Pour définir notre identité il faut savoir ce qu'est un jugement, l'inter subjectivité, une introspection et savoir qu'es qu'est l'essence d'un homme. une faculté . L'inter subjectivité c'est les relations entre les personnes. Faire son introspection c'est faire une analyse de notre sujet par nous mêmes. Si nous savions d’emblée

Faut-il suivre, selon vous, la mode ? La mode est une façon d’agir, de voir les choses différemment. C’est une tendance propre à une période donnée. De nos jours, nos comportements sont pour la plupart mimétiques, incitatifs. En effet, c’est un phénomène qui est source de créativité dans divers domaines, comme la chanson par exemple, il y a certaines chansons qui sont plus d’actualité que d’autres. Mais il y a aussi les décorations d’intérieurs qui changent comme par exemple, dans les années 1990

une telle acceptation étant signe de soumission ou de paresse ou de sommeil de la raison. Penser, c’est donc d’abord être éveillé, être en activité et faire preuve de vigilance. Pourtant, suffit-il de refuser, de s’opposer pour penser ? Par ailleurs, faut-il dire non à tout ? Au vrai ? Au juste ? Au bien ?…Alain va donc s’attacher ici à préciser sa pensée. La pensée ne réside pas dans un refus systématique qui pourrait être le signe d’un esprit borné. La pensée doit d’abord dire non à elle-même. Penser