Faut Il Opposer Nature Et Culture

nouveau que le passé est de l'histoire ancienne, que ce qui a été commis n'est pas réparable et s'implique personnellement en parlant de « la déchirure et la souffrance africaine » comme sa propre déchirure et sa propre souffrance. Il entend par là qu'il faut à présent aller ensemble de l'avant, avancer ensemble. Il admet que la colonisation a été « un grand tord », une « grande erreur ». Néanmoins il est à souligner que lorsqu'il parle de l'Homme il emploi le terme « nous » et lorsqu'il parle de la colonisation

tout être humain, existe une diversité de potentialités. Mais celles-ci ne deviennent pas spontanément des capacités accomplies dans leur plénitude. Qu'un tel accomplissement puisse différer, en degré ou en nature, selon la singularité des individus, ne peut être opposé à la nécessité de la culture, entendue ici au sens premier et essentiel de processus de développement et de formation - procédant par sollicitation des dispositions naturelles. - La capacité de jouir des oeuvres d'art, de saisir leur

8 LA CULTURE 1 L•ES•S La culture, négation de la nature La culture invente un ordre • Le terme « culture » est ambigu : au sens ordinaire (et scolaire), il désigne l’acquisition de connaissances portant sur les arts, la littérature, la musique, etc., ou les lieux où peuvent s’acquérir et se développer de telles connaissances – musées, bibliothèques, salles de cinéma ou de concert. • Dans son acception anthropologique et philosophique, le mot « culture » a un sens beaucoup plus vaste : il

de celle-ci. Dans les sociétés primitives, il y avait des familles qui s’agrandissaient de l’intérieur. Pour qu’une société réelle existe, il faut favoriser l’union entre famille différente. C’est pour cela que l’on a prohibé l’inceste, CAD l’union charnel entre membre d’une même famille. Pour Claude, c’est par cet acte que l’homme est rentré dans la culture. On va donc favoriser l’exogamie, CAD le mariage en dehors du cercle familiale. Pour Claude, il y a société que quand il y a l’union de plusieurs

Hegel constitue le domaine de la culture (art, religion, histoire) qui, d'un simple mode de vie, se meût en sphère des vérités absolues. La religion n'est plus seulement le culte mais une vérité métaphysique, l'art n'est plus qu'une ornementation, c'est la présence visible des vérités philosophiques. Plan. Dans cet extrait de L'esthétique, Hegel commence par concéder l'existence d'un « art asservi » qui sert au divertissement et à la décoration (l.1 à 7). Mais il oppose l'art en lui-même, « indépendant

recherchedubeau . I/ Qu’est-ce qui fait l’originalité de l’œuvre d’art ? Tout art en effet présuppose une certaine technique. Tout artisan n’est pas artiste. L’art présuppose un don qui relève de la nature et de l’inné. Parler de beaux-arts indique que la fin de l’art est la beauté. Une œuvre d’art est désintéressée. La création artistique n’est nullement réductible à la fabrication technique. (Sens strict = production

moderne – Partie 1 – a – Principes et perspectives 1 B- La représentation de la science moderne : un miroir objectif du monde Avec la découverte du Nouveau Monde, l’homme de la renaissance a dû changer ses représentations : • De la nature • Des autres cultures • De la place qu’il occupe dans le monde A partir de la Renaissance s’effectue une transition entre la vision du théocentrisme (Dieu est le centre de tout) à une

et de l'acquis. Le comportement s'applique autant à l'homme et qu'à l'animal ; la violence est, dans ce continuisme, acquise. La nature est à l'intersection de la biologie, de l'anthropologie, de l'étude de l'organisme et de celle des communautés humaines. La violence rend compte à la fois des combats pour la vie et des luttes pour les valeurs, sans abîme entre nature et liberté. Il n'y a pas de ligne de démarcation entre les manifestations, les causes et l'origine de l'agressivité (Lorenz) •

favorable ou défavorable. En linguistique, on les appelle mélioratifs lorsqu’ils expriment un jugement positif et péjoratifs ou dépréciatifs lorsqu’ils expriment un jugement négatif. Exemple : Un ciel menaçant, de beaux cheveux, des théories farfelues Il faut aussi remarquer les adverbes qui se joignent aux adjectifs pour en moduler le sens : ils peuvent contribuer à donner une impression positive ou négative. (Les plus courants sont : assez, autant, bien, davantage, moins, plus, peu, presque, quasi, tant

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