Faut Il Rejeter Toutes Croyances

Dans la vie quotidienne, tout un chacun est souvent en proie au doute tant au niveau de ses pensées qu’au niveau de ses actes. « Philosopher, disait Platon, c’est s’étonner ! » Cependant s’étonner en philosophie c’est reconnaître sa propre ignorance, c’est reconsidérer une chose que les hommes avaient définie comme allant de soi. Douter de ce qui semble indubitable est un acte voulu par le philosophe pour remettre en cause ses connaissances, les évidences et les croyances communes de l’opinion publique

la Vie_________________________________ 22 Sur le territoire de vos ressources _________________________ 25 Utilisez vos ressources___________________________________ 37 Dans la jungle de vos croyances___________________________ 43 Vos valeurs, croyances essentielles ________________________ 69 Vivre ici et maintenant __________________________________ 73 Conclusion ____________________________________________ 75 2 Comment développer vos ressources personnelles Introduction Vous vous trouvez

institutions humaines et aussi parce qu'elle va faire de ce lien, un lien personnel, individuel. I)La disqualification de la raison : a) Le Dieu des philosophes : Il n'est pas un dieu avec une figure religieuse ; il n'est pas de l'ordre de la croyance ou de la foi, c'est d'abord dans le champ du savoir que la philosophie a besoin d'un dieu. Mais pourquoi la science aurait-elle besoin d'un dieu? Depuis ces premières ambitions grecques, notre soif de savoir cherche pourquoi le monde existe et

cesse référence à un fondamentalisme religieux qui serait incompatible avec notre modèle républicain. Tout au long de cet essai, l’auteur s’interroge sur la spécificité française de la laïcité et sur ce qui semble rendre incompatible l’islam avec cette laïcité. Ceux qui dénoncent la menace de l’islamisme, sont ils allergiques à une religion en particulier (l’islam) ou bien également hostiles à toutes les autres ? Pour y voir plus clair, Olivier Roy opère une distinction entre la sécularisation (« un

scientificité. B. L'usage de la scientificité Afin de mener son travail à bien, le sociologue doit mener un travail d'observation et de recherche dans la structure des phénomènes et non pas de décrire et admettre leurs façades. Selon Durkheim, il faut rejeter les prénotions c'est-à-dire évincer les préjugés, les idées à priori d'un phénomène. Peter Berger dans le 2ème chapitre d'invitation à la sociologie dit que « poser des questions sociologiques […] demande une certaine méfiance à l'égard de l'interprétation

son interlocuteur. -On s'affranchit de toute autorité extérieure => Rejet de l'argument d'autorité Ex : Le pape l'a dit donc c'est vrai => Rejet de l'argument de consensus Ex : Tout le monde le pense donc c'est vrai =On s'affranchit de toute subjectivité, de toute particularité personnelle ( de ses opinions qui ne sont au fond que des préjugés, de tout ce qui exprime nos besoin, nos intêrets personnels) Illusion ; Croyance motivée par un désir Ex : Opinion raciste, expression d'un désir de

A-t-on besoin de religion ? Introduction : Le développement de l’esprit scientifique fait de la religion une chose du passé. L’esprit scientifique a vocation à chasser le fanatisme religieux, la croyance inconditionnelle aux dogmes, c’est à dire l’adhésion indiscutable à des textes qui passent pour vrais sans discussion, sans preuves. La philosophie peut s’en réjouir. Toutefois l’esprit scientifique lui-même n’échappe pas toujours au fanatisme technocratique caractérisé par l’étroitesse

sans application. Il sent alors son néant, son abandon, son insuffisance, sa dépendance, son impuissance, son vide.” Dans ses écrits, Pascal établit la dichotomie de l’être humain : l’homme n’est rien comparé à l’infini, et en même temps il est un tout par rapport à rien. Aux yeux du philosophe, l’homme est comme un roseau; le roseau le plus faible dans la nature, qui est sujet à être écrasé par l’univers. Mais l’avantage de l’homme sur l’univers est qu’il est conscient de son existence précaire

désabusée face à la vie : quelqu'un qui ne croit en rien est quelqu'un qui a perdu tout idéal, toute foi – il faut cependant ici prendre cette expression dans un sens philosophique, et poser la question de la possibilité de n'entretenir une relation de croyance avec aucun objet, autrement dit de n'avoir avec le monde qu'une relation de savoir rationnel. Cela demande d'interroger le rapport de l'homme avec la croyance : ce rapport est-il nécessaire, ou bien peut-il être dépassé ? Le rapport au

qu’une opinion qui est vraie ne peut être dite avoir tort sans contradiction puisqu’elle ne peut être vraie ou fausse en même temps. Et pourtant, on valorise la science qui démontre et ne s’en tient pas à de simples avis. Ce qui impliquerait de rejeter les opinions, en tant qu’opinions et non quant à leur contenu. Dès lors, on peut se demander si l’opinion a toujours tort ou bien si elle est dans certaines conditions dans son bon droit. I def des termes Depuis Platon , l’opiniona été opposée