Faut Il Respecter Une Loi Injuste

forces surnaturelles/divines, Agamemnon est conduit à mener cette guerre en suivant le destin (nécessité divine/passivité) que les dieux lui ont donné. Zeus voulait venger la transgression de la loi de l’hospitalité (on ne porte pas atteinte à quelqu’un qui nous invite) qui est une loi fondamentale (loi naturelle, il est interdit de les transgresser). Il subit la décision des dieux. Lors du départ pour Troie, il n’y a pas de vent pour faire avancer les bateaux, les oracles prétendent que les dieux

de force ? ». « Toutes les inégalités sont-elles injustes ? ». « La loi est-elle toujours juste ? ». Travail collectif : recension critique des expressions en rapport avec la notion « Nul ne doit se faire justice soi-même » # loi du Talion (lat. talis = pareil) (in Code d’Hammourabi -1730, Babylone) « Nul n’est censé ignoré la loi » : adage juridique posant un impératif « Sed lex, dura lex » (la loi est dure, mais c’est la loi): sévérité de la loi en raison de sa visée téléologique : l’ordre politico-social

perfectionnement intérieur de l’être humain. Cette finalité n’est pas celle de droit qui régit les rapports entre les personnes. Il vise à établir un ordre social et à en assurer la cohésion. Une autre divergence réside dans les sanctions du non-respect des règles morales ou juridiques. En cas d’inobservation de ses propres règles de morale, l’individu n’est sanctionné que par ses seuls regrets ou remords, càd ; des sentiments internes, expression de sa mauvaise conscience. Les sanctions juridiques

La loi est un ensemble de règles qui proviennent de l’autorité souveraine, et qui s’applique a tous les individus comme une obligation. Celle-ci organise les règles de la société. Spinoza, dans ce texte, cherche à savoir si la loi s’apparente à un commandement ou si elle s’en distingue. En effet, il montre la difficulté que les hommes ont de comprendre ce que sont les lois en elles même a savoir, selon lui, des règles que l’homme s’impose lui-même dans un certain but. La loi garantit une liberté

2002-03) ». On parle alors plus volontiers du Droit. Le droit positif est l'ensemble des textes de loi d'une communauté, et de leur application par la justice, la jurisprudence. C'est le droit des juristes, enseigné dans les universités actuellement. 1.2. La Justice La notion de justice est fortement polysémique ; on distingue ainsi : 1. le principe moral qui exige le respect du Droit et de l'équité ; on parle alors, dans des expressions figées, d'« idée de justice », de « faire

Laplace que nait chez Auguste Comte l'imperieuse vocation de réformateur universel. La science sociale, qui étudie les lois des phénomènes sociaux est bien la science finale qui établit en même temps les principes de la morale et de la politique. Il faut retenir du positivisme sa vocation à fonder une morale sociale à laquelle sera soumise la politique . Cette morale sera donc expurgée de tout esprit métaphysique . S'il s'agit de réorganiser les moeurs il faudra renoncer à l'idée métaphysique de droit

Dans cet état d’esprit il faut bien comprendre que si le juridique ne peut exister dans une société sans morale, le droit quant a lui n’existera pas d’avantage tant qu’il va être confondu avec la morale, parce que si jamais une loi moral tien lieu de loi juridique on va très vite tomber dans des lois qui nous serons totalement personnelles faites par notre clan selon l’idée que nous nous fixons de la morale. I. L’antériorité de l’idée de justice sur celle de droit. Il faut bien reconnaitre l’antériorité

Qu’est-ce qui permet d’affirmer qu’une loi est juste ? Depuis très longtemps, des lois ont été défini au sein de la société afin de préserver l’équilibre entre les hommes. Le nom français « loi » tire son étymologie du mot latin lex . De nos jours, le mot « loi » sert à désigner certaines régularités dans les phénomènes naturels et conjointement des obligations morales et juridiques. Le terme « juste », quant à lui, renvoie au latin justus

différentes. Le positivisme consiste à penser que le droit positivisme se suffit à lui-même. Il s’impose en tant que tel sans prétendre traduire une règle supérieure (règles d’inspiration divine par exemple). Pour les positivistes en droit juste ou injuste, le droit doit être obéit. D’ailleurs les devoirs l’emportent sur les droits. A partir de cette idée de base, deux approches on était développées : positivisme étatique qui fait reposer le droit sur la force qui l’impose, Kelsen au 20ème siècle et

de force ? ». « Toutes les inégalités sont-elles injustes ? ». « La loi est-elle toujours juste ? ». Travail collectif : recension critique des expressions en rapport avec la notion « Nul ne doit se faire justice soi-même » # loi du Talion (lat. talis = pareil) (in Code d’Hammourabi -1730, Babylone) « Nul n’est censé ignoré la loi » : adage juridique posant un impératif « Sed lex, dura lex » (la loi est dure, mais c’est la loi): sévérité de la loi en raison de sa visée téléologique : l’ordre politico-social