Faut Il Sacrifier Son Bonheur Pour Son Devoir

fille de Tourgueniev, une figure type que l'on retrouve entre autres dans Roudine (Natalia) ou Une nichée de gentilshommes (Liza). Elle est caractérisée par une série de paradoxes : elle est à la fois douce et forte, prête à tout sacrifier aussi bien par amour que par devoir. Dans Un mois à la campagne, le personnage de Natalia Pétrovna reflète ses influences : comme la mère de Tourgueniev, elle est tyrannique et possède d’autre part toutes les caractéristiques de ses jeunes filles. On assiste à un

offre donc plus qu'une partie des jouissa,ce ques les anciens u trouvaient et en même temps les progrès de la civilisation la tendance commerciale de l'époque la communication des peuples entre eux ont multiplité et varié à l'infini les moyens de bonheur particulier. Donc on est plu sattaché à notre indépendance individuelle. But des modernes : sécurité et jouissance privées liberté = garanties accordées par les institutions à ces jouissances. ****** exil politique = attentat politiquedespotisme plus

Le thème de la mort dans l’Odyssée d’Homère L’Odyssée d’Homère fut écrit entre le IX e siècle av. J.-C. et le VIII e siècle av. J.-C. C’est une épopée qui relate le périple d’un héros ; Ulysse qui revient à son pays natal ; Ithaque. Il va donc devoir affronter de nombreux dangers, que l’on découvre dans les chants V à XI, où Ulysse et ses compagnons vont être confrontés plusieurs fois à la mort. On va donc dans cet exposé, s’intéresser à la représentation de la mort qui est présente partout durant

accumule, au fur et à mesure du texte, les précautions comme pour diminuer les risques anthropomorphiques : “semble” et “comme si” apparaissent deux fois chacun. Par ailleurs, la réponse de l’homme à la volonté de la nature se fait sous la forme du devoir (sollen) : l’homme “ne doit pas être dirigé par l’instinct” mais “doit tout tirer de lui-même”. - Mais cette nature est “étrange” : et la fin du texte paraît désamorcer la dérive théologique de la proposition. Cette nature est, en effet, à

semblait lui causer ni peine ni plaisir. Fort souvent malade durant sa première jeunesse, depuis qu'il avait recouvré des forces et de la santé, on l'avait toujours vu se soumettre sans balancer à ce qui lui semblait prescrit par le devoir; mais on eût dit que si le devoir n'avait pas élevé la voix, il n'y eût pas eu chez lui de motif pour agir. Peut-être quelque principe singulier, profondément empreint dans ce jeune coeur, et qui se trouvait en contradiction avec les événements de la vie réelle, tels

PLATON : La sophistique comme la rhétorique est une flatterie. En revanche, le dialogue implique ‘’donner ses raisons et accueillir celle d’autrui’’, réfuter ce n’est pas avoir raison contre quelqu’un d’autres, c’est se prévenir soit de l’erreur. Il ne faut pas prendre garde que du propos lui-même pas à une lutte entre deux prétendus adversaires. L’allégorie de la caverne L'allégorie de la caverne met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée

l’analyse physiologique et psychologique du phénomène.1 Il procède en naturaliste. Il établit six passions principales : admiration, amour, haine, désir, joie et tristesse qui donnent naissance, par leur combinaison, aux passions particulières.2 Il faut savoir aussi que Descartes « ne condamne pas les passions, mais conseille de les connaître pour « éviter leur excès » ».3 Évidemment son rationalisme se reflète à son tour dans l’œuvre racinien. Racine munit ses personnages de la conscience et de la

Gouges a combattu avec détermination les ennemis de sa cause dans son texte. Enfin nous verrons dans quelle mesure elle a visé à obtenir une large adhésion aux idées qu’elle exposait. Pour que l’on puisse affirmer qu’une œuvre écrite est engagée, il faut que ce texte poursuive un but qui vérifie un certain nombre de caractéristiques. Pourrons-nous qualifier d’engagé le texte de Gouges au regard de ces critères ? Tout d’abord, premier critère, la notion d’engagement suppose une noble cause. Or,

Tant il est nécessaire que chacun se caresse soi-même, et obtienne pour ainsi dire son propre suffrage, avant que de prétendre à celui des autres ! Être content de ce que l’on est et de ce que l’on a, n’est-ce pas la plus grande partie du bonheur ? Eh bien, c’est mon cher Amour-propre qui vous procure cet avantage ; c’est lui qui fait que chacun est content de sa figure, de son esprit, de sa naissance, de sa condition, de ses mœurs, de sa patrie. Admirable effet des soins prévoyants de la

séduire les Européens, car il exprime le même déni de la vie par son invitation à renoncer au désir. Enfin, le libéralisme, qui peut sembler s’opposer aux doctrines précédentes, n’est jamais qu’un autre moyen de parvenir aux mêmes effets, à savoir le « bonheur du plus grand nombre », en accord avec la philosophie morale des utilitaristes anglais. Nietzsche voit dans toutes ces morales l’expression du nihilisme, c’est-à-dire la tendance de la vie à se nier elle-même, un déclin et régression de la puissance