Faut Il Sacrifier Son Bonheur Pour Son Devoir

propre volonté. Sa seule motivation a poursuivre son travail est la récompense reçue soit l'argent, le salaire bien qu'insuffisant. De plus, dans une forme du stalinisme, l’individu ne travaille pas que pour le prestige de son État. Il est prêt à sacrifier son temps, son énergie, pour se mettre au service de l’État. Ce système nie l’individu ainsi que son droit à la liberté. Le travail empêche toutes libertés. Si l'homme est soumis a des contraintes, il n'est pas libre. En effet, toujours dans le

mort de Thésée et Oenone, la confidente de Phèdre la presse à avouer son amour pour Hippolyte. Dans l’acte II scène 5, elle a du plaisir à lui parler ; elle ressent un véritable vertige des sens, et glisse malgré elle vers l’aveu. Elle éprouve un bonheur intense durant quelques minutes et se met à espérer mais la répulsion d’Hippolyte la rend à sa solitude et elle a en horreur sa propre personne. A- ANALYSE (acte II scène 5, vers 671 à 711) EXLICA LINEAIRE PHEDRE SITUATION DU PASSAGE

Le désir et le bonheur "Ce que j'aime le plus, ce qui m'a fait le plus souffrir." Proust "Je l'ai trop aimé pour ne pas le haïr." Racine "Un seul être vous manque et tout est dépeuplé." Lamartine "Quand on aime quelqu'un on n'aime plus personne. " Proust Mots à maîtriser : eudmonisme / hédonisme, béatitude, euphorie, extase, félicitée, ascétisme, vertu, besoin, concupiscience, convoitise, envie, fantasme, jalousie, ataraxie, éros. I. Complexité du désir Le désir est ambigu car il est pris

contradictoires « Que je sens de rudes combats » v11. Avant d’être énoncée, cette violence était déjà présente dans la distorsion de l’expression « misérable vengeur » v3 qui représente une sorte d’oxymore dans le code chevaleresque. Faire face à son devoir ne saurait inspirer de la pitié, mais, de l’admiration. Dans le v11 « Que je sens de rudes combats ! », la polysémie du verbe « sentir » renvoie aussi bien aux pressentiments de combats à venir qu’à la sensation de cette lutte intérieure et acharnée

coule sur un autel. (Agamemnon à Iphigénie, p. 237) Notre mémoire traite l´analyse de l´œuvres du 17e siècle, intitulée Iphigénie dont l´auteur est l´écrivain bien connu – Jean Racine. Le choix de cette œuvre était influencé par la condition de devoir choisir une pièce de théâtre de l´époque du classicisme ou du rationalisme et même de notre intérêt de la thématique antique. La problématique majeure à laquelle l´œuvre s´intéresse-t-elle concerne d´une part le thème du conflit entre les dieux

partagent globalement une culture et ont des statuts et des rôles. Un individu est un être humain considéré isolement par rapport à la collectivité. Pour qu’il y ait des individus, il faut 2 conditions : • Chacun doit pouvoir se considérer isolement des autres mais il faut faire attention à l’isolation. Il faut créer du lien social. Un individu doit se sentir unique et doit continuer à appartenir à un groupe. • Chacun doit disposer d’une dose suffisant de liberté, d’indépendance et de la

Devoir dans le cadre du séminaire : Roman et Morale au XIXème siècle. La morale au sein de L’Education Sentimentale, de Gustave Flaubert. Lors de la parution de L’Education sentimentale en 1869, Flaubert assiste impuissant à un vrai fiasco. Après le succès qu’il a connu avec Madame Bovary, c’est maintenant à l’échec qu’il doit faire face. Comme nous le confie Emile Zola dans Le Messager de l’Europe, en novembre 1875, « cette œuvre si complexe et si profonde, tombée dans les dernières

vaincue et surmontée par une inclination qui m'entraîne malgré moi ; toutes mes résolutions sont inutiles ; je pensai hier tout ce que je pense aujourd'hui et je fais aujourd'hui tout le contraire de ce que je résolus hier. Il faut m'arracher de la présence de M. de Nemours ; il faut m'en aller à la campagne, quelque bizarre que puisse paraître mon voyage ; et si M. de Clèves s'opiniâtre5 à l'empêcher ou à vouloir en savoir les raisons, peut être lui ferai-je le mal, et à moi-même aussi, de les lui apprendre

vie de la cité ? » Pour finir, il prit les hommes en haine, et vécut à l’écart dans les montagnes, se nourrissant d’herbes et de plantes. « Il faut prêter l’oreille », être musicien, laisser résonner ces « possibilités de vie », les multiples expressions de l’énergie créatrice, ce déploiement indéfini de différences d’intensités, de points de vue ; il faut permettre la diffusion de « la joie et de la force », la propagation de l’énergie. Il y a une telle surabondance créatrice chez le penseur qu’elle

et interdit qu'il soit donné une sépulture à Polynice, coupable à ses yeux d'avoir porté les armes contre sa patrie avec le concours d'étrangers. Ainsi l'âme de Polynice ne connaîtra jamais de repos. Pourtant Antigone, qui considère comme sacré le devoir d'ensevelir les morts, se rend une nuit auprès du corps de son frère et verse sur lui, selon le rite, quelques poignées de terre. Créon apprend d'un garde qu'Antigone a recouvert de poussière le corps de Polynice. On amène Antigone devant lui et il