Faut Il Se Méfier Des Progrès Techniques

l’éternité, a-t-elle une histoire? I/L’idée de progrès des connaissances • Idée de progrès ambiguë 1. Anciens Modernes Progrès différence plus et mieux Etymologie : un pas de plus vers un précipice ou un mieux (vision cyclique de l’histoire/ dégénérescence) Tendance générale du toujours plus /mieux = progrès cumulatif / amélioration 2. Progrès en quoi ? Progrès pour qui ? Thématisassions du progrès dans chaque domaine (possibilité : progrès dans un domaine// régression dans un autre)

vie et d’en tirer une réflexion. Grâce aux développements techniques, l’homme est devenu plus libre, mais est-il capable de les gérer ? Les progrès de la science ont fait évoluer les hommes, mais sont- ils toujours utilisés à bon escient ? Il y a quelques années un groupe de rock français bien connu (Téléphone), chantait « la bombe humaine », titre peut-être révélateur de ce qui nous attend demain. « Il faut se méfier des ingénieurs, cela commence par la machine à coudre et

Conférences sur la psychanalyse. Grâce au progrès scientifique, l'humanité peut prendre conscience d'elle-même. Les réponses de la science permettent aux philosophes de trouver eux aussi des réponses à leurs questions. On peut donc penser l'interdépendance stricte des deux mouvements. Mais qu'appeler « progrès » ? C'est évoluer du moins bien vers le mieux, s'améliorer. Il s'agit d'un passage graduel, d'une marche allant dans le sens d'une amélioration. Le progrès sous-entend généralement la sortie de

Dissertation la technique nous libère-t-elle du travail ? LA TECHNIQUE NOUS LIBERE-T -ELLE DU TRAVAIL ? On a généralement coutume de dire que les progrès techniques apportés par la science ont toujours permis à l’homme de s’affranchir des obligations et des exigences, parfois contraignantes, du travail pour mieux s’adonner à ses loisirs ou a des activités intellectuelles. Si l’ont suit la mentalité des grecs de l’antiquité, le travail était méprisé dans la mesure où il soumettait (à cette

naît le phénomène de croissance et qu’en attend-on ? Il faut pour cela étudier ce qui rend possible la croissance (I), mais aussi les valeurs et changements qu’elle implique (II), et enfin à quelle prix la croissance s’opère-t-elle (III). I/ Se poser la question « pourquoi la croissance ? » revient à vouloir mettre en lumière les facteurs et causes de la croissance pour aboutir à l’inévitable constat de sa complexité. Pour cela il faut étudier les facteurs principaux de la croissances, la difficulté

auteurs relatent les dangers de cette dernière. « Faut-il lâcher la bride à l’imagination ? » ou, autrement dit, doit-on se méfier de l’imagination ? A première vue laisser courir l’imagination ne peut-être que profitable à l’individu, en entrant dans un monde qu’il s’est lui-même crée. Mais nous verrons que cette imagination nécessite une certaine méfiance. Enfin nous nous demanderons si, en fait, nous sommes vraiment libres de penser. I/ Il faut laisser courir l’imagination A / L’imagination

Doit-on apprendre à devenir soi-même ? Pourquoi, car on sait déjà bien assez qui on est. Cependant, on est très amplement inachevé, « en devenir », de sorte qu'il faut se compléter en évitant de se tromper. Il faudrait donc apprendre qui on est pour le devenir de mieux en mieux. Mais comment ? Avant toute chose, il faut donc revenir sur l'énoncé. Soi est le terme par lequel se forme l'identité du sujet. Mais cela s'effectue au travers de l'opération de réflexion : je suis le sujet (Descartes)

Ce dont l'absence cause un manque et dont la satisfaction est nécessaire par opposition au désir Désir: Le désir est d'abord la prise de conscience d'un manque, dont la satisfaction procure du plaisir. Platon nous invite, quant à lui, à nous en méfier, car il est insatiable, et de ce fait, source d'insatisfaction toujours recommencée. Nécessaire: ce qui ne peut pas être autrement. 1) La satisfaction des besoins naturels se fait de façon culturelle Tout d'abord, L'attitude naturelle d'un

considérés. La peur peut donner des frissons. D’ailleurs, la peur n’est-elle pas de couleur froide ? On peut être vert de peur ou blanc de peur. On peut avoir une peur bleue. Elle serait ainsi négative et inutile quand elle inhibe, paralyse et prévient le progrès, handicapante quand elle ampute de ses moyens, stérile lorsqu’elle pousse au renfermement sur soi, inefficace quand elle provoque le rejet et l’exclusion. La peur serait donc un mal nécessaire, une injonction à la prudence constitutive

diffèrent sur le progrès des sciences et des techniques, il y a ceux qui trouvent fatiguant d’en entendre parler qu'en termes négatifs auxquels il faut imposer des limites et des précautions. Et qu’il est, selon eux, irresponsable de vouloir fixer des limites au progrès technique ou scientifique, tout simplement car il est impossible d’empêcher des centaines de pays et des milliers de scientifiques de chercher et d'inventer. Alors une question se pose : Faut-il fixer des limites aux progrès des sciences