Faut Il Toujours Obeir Aux Lois Plan

raisonnable, il souhaite une loi qui limite la liberté de tous, son penchant animal à l’égoïsme l’incite toutefois à se réserver dans toute la mesure du possible un régime d’exception pour lui-même. Il lui faut donc un maître qui batte en brèche sa volonté particulière et le force à obéir à une loi universellement valable, grâce à laquelle chacun puisse être libre. Mais où va-t-il trouver ce maître ? Nulle part ailleurs que dans l’espèce humaine. Or ce maître, à son tour, est tout comme lui

désobéissance qui s'insurgeaient contre des lois considérées comme injustes. La loi, c'est en effet d'abord la loi juridique, celle qui est produite par un pouvoir législatif et exécutée par un pouvoir exécutif, légitimes ou pas, et auxquelles les membres d'un Etat doivent se soumettre. Or, la désobéissance, pacifique ou violente, peut d'abord être entendue comme une action de contestation dont la finalité est d'aboutir à la remise en question des lois ou du régime qui les a produites, pour espérer

de problème, il n’y a pas de dissertation possible. Il faut donc impérativement poser un problème correspondant au sujet. Le problème philosophique n’est pas seulement la question du sujet ; mais c’est le conflit, sur une même question, entre deux opinions communes et/ou thèses philosophiques différentes, voire même opposées, apparemment aussi convaincantes et légitimes l’une que l’autre. Il faut bien lire la question posée. Puis il faut la transformer en un problème philosophique précis (qui se

d'édicter les lois. On parle parfois de législation comme synonyme de loi même si la législation englobe également le règlement qui lui aussi fixe des règles générales et impersonnelles, mais dont l'auteur est le pouvoir exécutif. La notion de loi se définit par rapport d'une part au contrat et au traité (qui résultent d'une négociation entre égaux (sur le plan du droit)), d'autre part par rapport à d'autres sources de droit : la tradition (us et coutumes), la jurisprudence, les lois fondamentales (constitution

Eléments de philosophie) : « La justice suppose certainement un état de nos relations avec nos semblables qui ait leur libre et franche approbation, et la nôtre. » Alain (« De la justice », Eléments de philosophie) : « La justice est une chose qu’il faut faire et refaire, sans aucun secours étranger, par soi seul, et aussi bien à l’égard d’un homme qu’on ne connaît point, qu’on n’a jamais vu. » Compte-Sponville (Petit traité des grandes vertus) : « La justice est à la garde, non des partis, mais

marcher où bon me semble et pouvoir le faire si je ne suis pas malade Þ liberté de droit (au sens de légal) et de fait se concilient ici - je peux avoir le droit « légitimement parlant » (au non d’une justice « plus haute ») de refuser certaines lois ; sans pouvoir le faire « de fait » si les appareils de contraintes m’y forcent. Par ex, ma liberté de cacher une personne injustement poursuivie (cf ex des juifs pdt la seconde guerre mondiale) existe « de droit » (au sens ou légitiment parlant, j’ai

raisons divergentes, il est apparu une nécessité de sortir de cet état de nature. Pour Hobbes, il s'agit de sortir d'un état d'insécurité générale ou chacun est en guerre contre chacun. Pour Locke, il faut apporter une réglementation pour garantir la propriété de chaque individu et pour Rousseau il faut garantir les droits fondamentaux tels que l'égalité et la liberté en vue que seul la volonté générale, en somme le peuple soit souverain. Le contrat social légitime la souveraineté. Le souverain crée

de coordination qui appartient à l'appareil dirigeant du pays. Ce pouvoir permet de déterminer et de conduire l'ensemble de la politique nationale». B- Les différentes conceptions du pouvoir 1- Origine divine du pouvoir Le pouvoir demande toujours le respect, mais il peut sacré, relié a la religion => régime théocratique comme en Iran actuellement 2- Origine contractuelle du pouvoir C'est par le débat religieux qu'est remis en cause la conception divine du pouvoir notamment lors de

groupe(s) dans lequel nous vivons, et dont le but essentiel est de fonder les conditions nécessaires à la survie du groupe, à commencer par l'assurance de sa cohésion. Ce devoir nous dicte donc de respecter les structures de ces groupes, en obéissant à des lois qui nous permettent de vivre en communauté. D'un autre côté, il y a en nous l'élan profond de la vie, essentiellement dynamique, qui nous lie aux autres, indépendamment de toute institution humaine. Les deux peuvent éventuellement entrer en conflit

menace de mort ? D’un point de vue abstrait, ce n’est pas de la contrainte car on peut toujours s’y rendre physiquement  juridiquement : considéré comme de la contrainte, pour le législateur on est pas considéré comme responsable à partir du moment où l’on nous menace de mort  il ne nous oblige pas, car ce n’est pas une obligation légitime ⇒ pas réellement de la contrainte physique ni une réelle obligation lois ne sont pas considérées comme des contraintes mais des obligations les droits // le