Faut Il Tout Soumettre à La Raison

Peut-on dire d’une civilisation qu’elle est supérieure à une autre ? On peut constater que la culture prend toujours des formes multiples, il n’y a pas une culture mais des cultures. Dans ce cas la culture désigne les modes de vie et de pensée d’un peuple. Le problème est de savoir quel comportement adopter face à la culture des autres. Faut-il les respecter dans leurs différences et admettre que toutes les cultures se valent ? Ou au contraire, peut-on penser que certaines cultures sont plus civilisées 

sociétés. "Quels sont les problèmes qui ont poussés les hommes a renoncer a leur indépendance naturelle pour se soumettre a une communauté commune, politique?" -Une question de droit : c'est le problème du fondement de l'autorité politique : Quel est l'acte ou la convention qui rend cette autorité légitime ? 1. L'origine des sociétés Le problème consiste à se demander comment les hommes ont pu passer d'un état nul de société à des rapports sociaux organisés et comment ils firent ce pas

son sujet, c’est le temps au chercheur de passer à l’étape des conjectures théoriques, il s’agit d’élaborer une réponse théorique provisoire et opérationnelle à la question de départ pour le faire il lui convient premièrement d’adopter, modifier ou construire un cadre théorique puis dans une deuxième étape d’opérationnaliser ce cadre théorique Introduction Disposé d’une bonne question de dé Nous nous intéresserons, dans cet exposé, à la première étape qui est l’adoption, la modification

Romaine · Pensée Musulmane Les Romains et les Grecques ont été les premiers à appliquer la pensée à l’action. Toute action est pensée, l’état lui-même en tant qu’organisation sociale a été ordonné en tant que système de pensée. Les Grecques parle de cité, cette dernière ne s’inscrit pas dans l’Etat-Nation actuel. Mais cela n’empêche pas de dire que l’état moderne s’inspire profondément de la cité Grecques. Les Romains quant à eux ne se sont pas penchés sur la philosophie, ce qui les intéresse c’est

esclave ». Mais il faut se défaire de la définition courante de la liberté : « le pouvoir de faire ce que l’on veut ». En faire une simple absence de limites, c’est se condamner à ne pas comprendre la liberté. Hobbes définit la liberté comme un mouvement qui a une cause. Nous pouvons désirer accomplir une action et pourtant cette inclination ou ce désir procède de quelque cause, « et celle ci, d’une autre » (Léviathan, XXI). Hobbes a ici mis en avant une doctrine déterministe (toutes les actions humaines

plus saint, nous passons la vie à vouloir comprendre ce qui ne sauroit être compris ; et il vient des temps de sécheresse et de langueur, où l’on fait de fâcheuses réflexions sur le tourment qu’on se donne pour un bien opposé aux sens, peu connu à la raison, conçu faiblement par une foi incertaine et mal assurée. C’est de là que viennent les plus grands désordres des monastères. Quand la félicité qu’où promet aux religieux leur paroît douteuse, le mal certain qu’il faut souffrir leur devient insupportable

élément nécessaire à l’homme s’il semble maître et responsable de ses actes. Il énonce sa thèse en démontrant qu’elle réside dans le fait de ne pas déshonorer son humanité. On observe deux genres d’argumentation dans ce texte. La première étant que la vie humaine n’a de valeur que si nous ne déshonorons pas notre humanité : « offre son corps à la malice d’autrui pour en retirer un profit ». La seconde étant de ne pas sacrifier sa dignité. Pourquoi un individu renoncerait-il à sa liberté ? Sous quelle

DM de PHILOSOPHIET°2 Dissertation : Qui est autorisé à me dire « tu dois » ? Durant le 20ème siècle, de nombreux auteurs appartenant à des courants philosophiques ou littéraires se sont penchés sur la légitimité de l'exercice d'une autorité extérieure sur l'individu. Ainsi, Aldous Huxley dans Le Meilleur des Mondes nous présentait une dystopie remettant en question la place de l’État et sa capacité à nous imposer son autorité, en décrivant un monde reposant

évitent l’anarchie. Les règles de droit se différencient des règles morales par la sanction judiciaire. Cette sanction est spécifique, elle est apportée à la règle par l’état et ses tribunaux. Mais toute règle de droit n’est pas nécessairement accompagnée d’une sanction. La loi n’est pas toujours générale, elle peut être spécifique à un groupe ou à un espace. L ’égalité n’est pas forcément une valeur invoquée par la société et les tribunaux. Les règles de droit sont diversifiées. La règle de droit

comme des personnes qui vouent un culte à la « folie ». Grangousier veut « réfrén[er] la convoitise et la cupidité ». Montaigne critique la « pompe » des cérémonies autour du roi de 879 et déplore que certains sujets soient « pleins et gorgés de toutes sortes de commodités ». Le respect de l'autre découle de cette modération qui exclut tout abus. En effet, pour l'humaniste, les hommes, même s'ils sont différents, ont droit aux mêmes égards : pour Érasme, il faut « ne viser qu'au bien général » ; Gargantua